Césure

propose une chanson engagée sur l'horreur de la déportation et invoque le devoir de mémoire. STRUCTURE Le chant comprend 9 couplets écrits en alexandrins avec des rimes variées. Le rythme des phrases est identique. Les vers en majorité possèdent une césure à l'hémistiche. Le chant comprend 2 parties: Les 6 premiers couplets représentent le passé: récit narratif, description de la vie dans les camps. Les 3 derniers couplets représentent le présent: changement au niveau de la temporalité:

modernité dans les poème : -inventeur de forme langagière -suppression de la ponctuation -jeux de mot ( calembours :fantaisie verbale ) -altération métrique (décompte de syllabe irréguliers , déplacement de la césure , utilisation (décompte de syllabe irrégulier , déplacement de la césure , utilisation aléatoire de la rime ) Une commémoration : il partage tous les évènements de sa vie « chacun de mes poème est la commémoration d'un événement de ma vie » il met en évidence la mémoire , le

et la tenue morale. Il y a une césure médiane en hémistiche après ''deuil'' de façon à mettre la deuxième hémistiche en relief. Le poète est un peu perdu car pour lui la beauté est une beauté mélancolique qui exprime une certaine douleur, réflexion. Majestueuse veut dire à la fois triste mais aussi élégante. Il y a un crescendo dans les syllabes pour montrer que cette femme s'approche de lui (vers 2). Le vers 3 indique une situation calme, posée; il y a une césure médiane en hémistiche, il y a un

syllabe accentuée. Le vers long comporte souvent plusieurs coupes : La plus importante, placée au milieu du vers, est appelée césure. Dans la poésie, la césure coupe l’alexandrin ou le décasyllabe en deux parties égales, appelés hémistiches. «Hâtez-vous lentement ; // et, sans perdre courage Vingt fois sur le métier//remettez votre ouvrage » [Art poétique, Boileau]{ Alexandrin : césure à l’hémistiche hémistiche hémistiche c’est-à-dire après la sixième syllabe}. Les faits de discordance : L’enjambement :

1/ Dans la 1ère partie de la scène (jusqu’à « … aux intérêts de Rome. »), Corneille fait ressortir le conflit qui oppose une Camille désespérée à son frère Horace, meurtrier de son amant. Ce 1er conflit est personnel : il oppose un frère et une sœur et met en scène le chagrin de Camille, son amour pour Curiace. La scène et le conflit s’ouvrent sur une 1ère réplique d’H qui manifeste une autorité impérieuse sur sa sœur Corneille ouvre la scène sur sa parole qui s’impose à Camille Toute la 1ère réplique

dans le paysage politique français mais elle admet tout de même certaines limites. Pour répondre à cette problématique, nous diviserons notre travail en deux temps: dans une première partie nous étudierons l'utilité politique et idéologique de la césure gauche/droite. Puis, dans une seconde partie nous examinerons ses limites. I) Un clivage nécessaire pour représenter le champ politique tant au niveau politique que idéologique. A) Une condition nécessaire pour un régime parlementaire et

peut être considéré comme la césure du vers 1. Le rêve est "familier" (titre du poème) mais également "étrange et pénétrant" (vers 1) -> confusion et contradiction car ce qui est familier n'est en général pas étrange : Verlaine rêve d’un monde différent ("étrange") mais dans lequel il se retrouve ("familier"). Les allitérations en [r] et en [t] font sonner durement ce premier vers. Rythme confus, flou : nombreux enjambements (vers 1, vers 3, vers 5...), refus de la césure à l’hémistiche, (vers 9,

puis la Guerre de Corée : véritable césure civile. Nous verrons par la suite, les caractéristiques propre à la frontière coréenne, elle est une frontière barrière, sécuritaire ainsi qu'infranchissable mais pas unique barrière puisque la Mer jaune est aussi le lieu d'affrontement direct. Enfin, nous aborderons les différents enjeux de la césure coréenne, en abordant les relations inter-coréennes, entre rapprochement et tensions. Les origines de la césure inter-coréenne se situe dans le contexte

Leur règne dure encore dans la poésie française malgré les nombreuses révolutions poétiques. La césure joue un rôle essentiel dans le cas de l’alexandrin, qu’elle divise en deux parties égales appelées hémistiches. Elle se place alors toujours après la sixième syllabe, comme dans cet alexandrin de Paul Eluard (1926) : « La.cour.be.de.tes.yeux/fait.le.tour.de.mon.cœur. » (barre oblique = césure) Outre l’alexandrin et l’octosyllabe, on trouve aussi le pentasyllabe (5), l’hexasyllabe (6), l’heptasyllabe

miroir : Introduction par outil de comparaison « comme » (v.1) // « ainsi » (v.9) qui comparent « la rose » (v.1) à la femme avec « ta jeunesse » (v.9) Quatrains = sort de la rose // tercets = sort de la femme Anaphore « en sa » (v.2) répétée 2 fois Césures à l’hémistiche Parallélisme « ce panier plein de…» // « ce vase plein de… » (v.13) - Insistance sur la ressemblance entre femme/rose Polyptote de la jeunesse et de la beauté : « jeunesse », « jeune » et « belle », « beauté » Chiasme : « En sa