Césure

l’office, l’hospice. Balzac, Le Père Goriot. Onomatopée (f) : terme imitant un bruit ou un son. Bang, boum, cocorico… Eléments de métrique Césure (f) : point de séparation entre les deux hémistiches d’un vers. Que toujours dans vos vers, // le sens coupant les mots, Suspende l’hémistiche, // en marque le repos. Boileau, L’Art poétique. La césure est fixée traditionnellement après la 6ème syllabe de l’alexandrin ; après la 4ème la 5ème ou la 6ème syllabe du décasyllabe (Femme je suis //

Rayons irisés par décor aquatique _ Souhait physiquement impossible : « voulut ». Le deuxième hémistiche du premier vers rappelle l’ancien testament avec « sur » juste après la césure. _ Décor heureux : « bénin », « embellie » _ Allitération en –b + assonance en –an b) Le mystère du « nous » _ Écho sonore à la césure du v3 : « tous » --> mystère sur les pronoms « nous » & « elle » _ Oxymore « belle folie » souligne l’approbation apportée par le verbe « se prêter à » _ Le caractère négatif

qui vous seront utiles pour étudier certains textes : – La  césure  : c’est la « coupe » au milieu du vers de 8 syllabes et plus, qui le sépare en deux hémistiches. Elle intervient, dans le vers classique, après une ponctuation et une unité de sens, et on marque une légère pause (Ex : Je le vis, je rougis, // je pâlis à sa vue). La dernière syllabe avant la césure porte un accent tonique. – L’ alternance  rime

encore"" v9:""Si"" v9:"":""" """donc"": valeur conséquence ""et"": valeur consécutif ""si"": la cause "":"": annonce une description à la fin" Aimer se trouve avant la cesure. Il est encadré par le nom "Marie" v1 et v2 Permet d'expliquer que Marie est liée au verbe "Aimer" La versification "v2:""Marie=Aimer"" v3: la cesure ""moi"" v6:'nous"" v7: l'amour v:7-8: v9-12: v12: v14: " "1er indice Place stratégique qui met en évidence l'amour montre le fantasme montre un plaisir

aussi bien la jeune femme que le lac. Dès lors, la solitude du poète est mise en exergue car , si la présence d’Elvire se fait encore sentir par les pronoms personnels « elle » (vers 2) et « la » (vers 4), l’expression « je viens seul », placée à la césure, marque un moment de rupture. Par conséquent, l’ultime recours offert au narrateur est alors d’imaginer les paroles d4elvire dans les quatre dernières strophes. Cette prosopopée met en valeur la volonté de raviver sa présence, par delà la mort. A

synérèses: La prononciation en deux syllabes de deux voyelles côte à côte s'appelle une diérèse. La prononciation en une syllabe de deux voyelles côte à côte s'appelle une synérèse. La césure: C'est une coupure, un repos placé dans un vers après une syllabe accentuée. Mais si quelqu'un venait /de la part de Cassandre; césure due au groupe fonctionnel L'hiatus :Il se produit un hiatus quand deux voyelles, l'une finale, l'autre initiale se rencontrent. Ceci est surtout mal venu lorsqu'une voyelle rencontre

Nombre de vers L'ensemble forme presque un sonnet (14 vers) : ici, il n'y en a que 13. Mètre Césures Le mètre utilisé est traditionnel, classique : il s'agit de l'alexandrin. Le plus souvent, la césure est l'hémistiche. Nous avons quelques trimètres (deux césures au lieu d'une). La troisième strophe, qui est celle de la rêverie, est marquée par des irrégularités, par rapport aux vers précédents : la césure n'est plus à l'hémistiche, aux vers 9 et 10. Debout chantez plus haut en dansant une ronde

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est comme la tente déchirée d'un cirque pauvre dans un petit village de pêcheurs  En Flandres Le soleil est un fumeux quinquet. Et tout au haut d'un trapèze une femme fait la lune. » 2) Le Rythme a) La césure et les hémistiches. * LAMARTINE « Le Lac » Alexandrin * Césure = sépare les vers supérieur à 8 syllabes en 2 hémistiches. * Hémistiches b) Les répétitions de sonorités. * Assonance = voyelles Pour la première fois l’aigle baissait la tête (Hugo) * Allitération

rappelle sa recherche de la solitude, seul face à sa décision ensuite. Son désarroi s’explique par la nécessité de rompre avec Bérénice, de faire ses « adieux » (v.3). Le renvoi de la reine est ainsi présenté comme un « combat » (v.5) (placé à la césure) à livrer avec celle qu’il aime. Titus se met lui-même en scène comme un bourreau face à sa victime. Il utilise ainsi des termes particulièrement forts appartenant au champ lexical de la violence guerrière : « cruauté » v.4 (qui fait référence par