Ceux qui restent

d’autres irlandais à s’exiler. Ce pays est donc totalement à contre courant du reste de l’Europe au XIXe siècle, dans le sens où elle perd une part très importante de sa population quand le reste du vieux continent voit sa population croitre. Les ruraux restent cependant majoritaires pour différentes raisons : l’exode implique une liberté de déplacement qui n’est pas encore reconnue partout, et si la Grande-Bretagne mène et soutient le rythme de l’industrialisation, la France qui la suit ne la fait pas de

recherche : proposition d'un problème du type « il y 76 passagers dans le tramway, 43 en descendent au premier arrêt. Combien restent-ils de passager dans ce tramway ? L'enseignant précisera l'état initial du problème soit le nombre de passager au départ, la transformation soit le nombre de passagers qui descendent et l'état final soit le nombre de passagers qui restent et s'assure que les élèves ont bien compris qu'il s'agissait d'une situation soustractive. Les élèves recherchent la solution

appelle ça le syndrome de Peter Pan, tout le monde connait Peter Pan, personnage crée par James Matthew Berrie et immortalisé par Walt Disney, représente les jeunes adultes qui ne veulent pas grandir et restent bloqués dans l’enfance tellement ils sont angoissés a l’idée de devenir un homme. Ils restent attachés au monde de l’enfance. Cette angoisse apparait déjà vers l’âge de dix, quinze ans mais s’amplifie bien après. Ces personnes se retrouvent face à un mode de vie qui ne leur plait pas et y échappent

sont ces inégalités ? · Comment peut-on remédier à ces inégalités ? Comment ? · Conclusion · Introduction Ainsi, depuis quelques décennies, les femmes sont entrées en masse sur le marché du travail. Malgré cette amélioration les femmes restent encore victime de nombreuses inégalités. Mais li existe malgré tout des moyens pour réduire ces différences et améliorer le quotidien des femmes dans leur vie professionnelle. · Pourquoi les femmes subissent-elles des inégalités dans leur vie

L’Asie orientale est considérée globalement comme une aire de puissance. Il s’agit d’étudier en quoi l’organisation spatiale de cette région sert sa puissance. Une première partie permettra de dégager les espaces qui sont les moteurs de la puissance. Ceux-ci, pour asseoir et pérenniser leur rôle, ont besoin d’espaces d’appui, qui seront abordés dans un second temps. On esquissera ainsi à la fois une typologie et une hiérarchie des espaces au service de la puissance. Puissance qui permet à l’Asie

etc…qui mettent en place la dérégulation ? (à évoquer aussi avec les acteurs) 3. Des acteurs de plus en plus influents - le rôle des états La mondialisation entraîne un affaiblissement du rôle économique des états. Du moins le rôle de ceux –ci a évolué et reste néanmoins important : à partir des années 1980, dans les pays capitalistes du nord, les gouvernements ont plus ou moins levé les obstacles réglementaires au libre échange des marchandises, des capitaux et des services. Ils incitent

intermédiaires s’articulent aux foyers de développement que sont le delta du Yangzi (Hubei, Hunan) et les municipalités de Pékin et Tianjin (Hebei). Elles peuvent aussi profiter d’une ouverture frontalière continentale (Heilongjiang, Jilin). Elles restent toutefois pénalisées par des structures productives et des spécialisations économiques souvent vieillies. Les terres enclavées enregistrent un développement insuffisant. Elles sont intérieures, encore mal reliées au dynamisme côtier, ce qui les empêche

celui du couple librement formé - et déformé - dans lequel la femme, qui travaille, contrôle les naissances (âge, nombre). Certes c’est une tension, une visée : pratiquement les situations restent très diverses et changeantes, jamais définitives. Les pays de l’ancienne Europe Occidentale, à commencer par ceux du Nord-Ouest, ont largement évolué dans ce sens, y compris les pays méditerranéens autrefois fortement catholiques. Mais même l’Albanie, musulmane, terriblement isolée jusqu’en 1993, toujours

total pour développer leur activité. Or toutes les banques refusent de financer ce trop faible montant à des clients a priori insolvables. Leurs terres sont généralement si petites qu’elles ne peuvent pas constituer une garantie pour les banques. Restent les usuriers locaux, dont les prêts sont offerts à des taux d’intérêt énormes qui bien souvent achèvent de précipiter les emprunteurs dans la misère. En Inde, les vendeurs de légumes qui empruntent à la journée paient jusqu'à 5 % par jour, et dans

sur le marché, agents économiques à réseaux de distribution intégrés, réduisent la part de marché de ces intermédiaires classiques sans que ceux-ci puissent se rattraper, bien au contraire, sur le marché de l'assurance-vie, où leur position initiale est moins forte et qui est aujourd'hui dominée par la bancassurance. Les intermédiaires classiques qui restent cependant le principal canal de distribution dans l'assurance dommages des particuliers ont été bousculés par quatre tendances majeures :