Chacun A T Il Le Droit De Penser Ce Qu Il Veut

que l'on veut. Mais Locke interroge ce préjugé, et affirme que « là où il n'y a pas de loi, il n'y a pas de liberté », que la loi, au-delà de son aspect contraignant, préserve et élargit la liberté. En effet, la loi vise le bien général, elle sert le droit naturel en le préservant, en lui donnant une sanction légale et élargit la liberté des hommes en leur conférant des garanties et des droits. S'il n'y avait pas de loi, en effet, les droits naturels des hommes à disposer d'eux-mêmes et à être propriétaires

autant qu’une aberration ontologique, puisque pour elles l’inégalité entre les êtres est une loi naturelle voire divine inviolable. Mais il a encore rapidement divisé les différents courants qui se proposaient d’assumer l’héritage révolutionnaire.” [1] Dans le langage commun, la liberté se définit souvent comme “faire ce qu’on veut ». Ceci nous conduit à penser que la liberté doit s’étudier sous deux formes : la liberté comme liberté d’action et la liberté comme la liberté de volonté. Il nous faudra

Max STIRNER (1845) L’UNIQUE ET SA PROPRIÉTÉ Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www

copies de ces textes. Il peut être assimilé à un copiste ou un écrivain public. Trois parties : 1 Domaine, objet et méthode des sciences du politique. 2 Les formes de la domination politique. 3 Délibérer, participer, contester. Les formes de la vie politique démocratique. CHAPITRE INTRODUCTIF : DU FAIT SOCIAL AU FAIT POLITIQUE. Comment la distinction entre le social et le politique s’est constituée ? Comment ? Quand ? Sous quelle forme ? A quel rythme ? Pourquoi en Occident s’est

le sujet suivant : « Choisit-on d’être celui que l’on est ? ». Les choix que nous sommes tous amenés à faire sont chacun plus ou moins ardus, mais lorsque l'on se demande si nous choisissons d'être celui que nous sommes, la réponse est d'autant moins évidente. En effet, l'on pourrait penser que la conscience permettrai de faire ce choix et donc d'affirmer " je choisis celui que je suis". A contrario, l'on peut être convaincu que la conscience, seule, ne permet pas une telle affirmation, voir

-Les idées des Lumières prennent leur origine dans le passé. A la fois rationalistes et empiristes, les idées du passé que les Lumières assemblent et articulent sont à l'origine opposées, en conflit : universaliste/particulariste. C'est l'autonomie, la finalité humaine et l'universalité. -Elle provoque une restriction portant sur le caractère de toute autorité, en d'autres termes : la libération de l'autorité religieuse ce qui va amener à une prise en main par l'humanité de son propre destin. C'est

et rien ne serait plus de notre ressort. Nous ne serions qu'impuissant face à lui et nous serions totalement privés d'un des buts majeurs de notre existence. Le bonheur ne deviendrait qu'une sorte d'illusion souhaitable, donnant envie mais laissant un arrière goût amer. Et comment atteindre quelque chose que nous ne maitrisons pas dans ce cas ? C'est pourquoi nous pouvons affirmer que le bonheur n'en revient pas seulement à la chance. Car bien que le bonheur soit une notion assez abstraite, il est

l’on veut ? Introduction : La notion de liberté prend tout son sens au moment de la révolution française de 1789, concrétisée par l’élaboration de la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. A en croire l’article premier, « Tous les êtres humains naissent égaux en dignité et en droit. ». Mais cet homme désormais libre, peut-il faire vraiment faire ce qu’il veut ? On perçoit alors, deux idées qui paraissent compatibles au premier abord ; « être libre » et « faire ce que l’on veut ».

une antithèse, et de la conclusion des deux j’en tire la synthèse. Marx va être inspiré par cette philosophie qui consiste à rechercher dans la contradiction, la vérité. La logique de Marx et des marxistes est de rechercher au cœur de la contradiction les éléments de la vérité. Pour Hegel, la base philosophique est l’idée suivante : La thèse ce serait les idées pures. A ces idées pures s’oppose la nature. C’est dans cette opposition que se trouve la synthèse. Cette idée de Hegel pose un

HISTOIRE DES IDEES POLITIQUES La philosophie a ceci de particulier par rapport aux autres sciences sociales, c’est qu’elle n’a pas d’objet. La philosophie ne fait pas de progrès dans le temps. Dans le domaine technique par contre le progrès peut être mis en évidence sans difficulté. De fait, on ne peut apprendre la philosophie comme une autre matière. La philosophie sera plutôt un questionnement perpétuel. L’histoire de la philosophie est un vaste champ de bataille où les grands auteurs ne