Chacunes De Nos Perceptions Sartre

Husserl, Descartes, Sartre ont traité de la question d’Autrui, plus précisément de notre rapport à Autrui. Qui est Autrui? Comment l’ego l’appréhende t’il? Quels sont nos rapports avec Autrui ? La pensée développée par ces philosophes peut-elle encore expliquer certaines habitudes ou relations dans la société actuelle ? Il conviendrait donc d’actualiser la pensée des philosophes ci-dessus cités afin de mieux saisir le rapport à Autrui et savoir si les théories posées par chacun de ces philosophes

d’autrui : le regard extérieur que l’autre porte sur nous peut donc venir modifier le point de vue subjectif de notre conscience. De même, en définissant autrui comme le « médiateur indispensable entre moi et moi-même » , Jean-Paul Sartre montre que nous devons passer par le point de vue de l’autre pour nous voir plus objectivement nous-même. Au-delà de cet alter ego avec lequel je suis intimement en relation, la conscience me permet une relation plus globale avec le monde en général

quelqu’un ou par quelque chose. En effet si nous admettons que l’Homme est déterminé par un Dieu, il ne sera pas libre car s’il est défini par le sacré, il n’aura donc aucune influence sur ce qu’il est. Si à l’inverse nous admettons que le destin de chacun est uniquement déterminé par le hasard, en arrivant au monde nous ne choisissons ni notre personnalité, ni notre environnement. De plus d’après la théorie selon laquelle l'être humain est déterminé depuis sa conception par son patrimoine génétique

1933) la thèse qu’il a soutenue l’année précédente concernant la haine amoureuse de sa patienteAimée transférée sur plusieurs têtes successives (1). « L’ambivalence affective envers la sœur aînée dirige tout le comportement de notre cas Aimée ». « Chacune des persécutrices n’est vraiment rien d’autre qu’une nouvelle image, toujours toute prisonnière du narcissisme de cette sœur dont notre malade a fait son idéal. Nous comprenons maintenant quel est l’obstacle de verre qui fait qu’elle ne peut jamais

lecture deviendra légitime (même les contresens). + On voit se profiler à côté des œuvres réelles des fantasmes projetés sur ces dernières. Très loin de ce que l'auteur a voulu dire, faire. On ne pourrait plus parler d’œuvre litt puisque chacun a la sienne. Si chacun peut lire et comprendre la litt comme il l'entend : il n'y a plus d'enseignement possible de la littérature. => A l'existence du lecteur est liée toute la q° épineuse de l'intention d'auteur. « Le lecteur il a une laisse de longueur

défense au capitaine Dreyfus injustement accusé de trahison par la justice. L’affaire reflète un clivage profond autour de principes contraires trouvant à s’exprimer sous la forme de pétitions. TRANSITION OU ANNONCE DE PLAN : Analyser la constitution de chacun de ces camps et les arguments mis en avant apparait comme un moyen privilégié de comprendre les modes de mobilisation autour desquels se jouent les

est toujours plus ou moins libre et certains homme le sont tandis que d'autres non. La notion « se sentir libre » peut être perçue de différentes manières mais aussi, à différentes échelles. « Se sentir libre » relève des sens, en effet chacun a sa propre perception de la liberté. Cela relève du subjectivisme. La liberté se fonde ainsi sur la conscience de soi. En quoi le sentiment de liberté nécessite-il un sentiment de contrainte ? Nous analyserons le fait de se sentir libre est régi par certaines

distinct : une idée est distincte quand on n’a pas besoin d’autre idée pour la concevoir.Ça se distingue de l’idée obscure (ex : amour)Le cogito indique quelle est notre faculté de connaissance :· Entendement (la raison)Puisque les autres facultés (perception, mémoire, langage et. Imagination) suppose le corps sur lequel le doute. Est. Porté puisque l’on peut être en train de rêver.Pour Descartes, il y a de branches à l’entendement :· Intuition : l’intuition est une vue instantanée de l’entendement ·

humain. Il y a des perceptions inconscientes qui se produisent en nous, des changements dans l’âme. Certaines perceptions existent en nous mais nous n’en n’avons pas conscience, elles sont trop petites, trop nombreuses. L’exemple du bruit de la mer montre que nous ne percevons pas chacun des petits bruits faits par les vagues de la même manière que nous ne percevons que confusément le vacarme qui va nous réveiller. Dans nos pensées, tout n’est pas conscient : les petites perceptions inconscientes nous

........................................................................................ 36 Chapitre 3 : Les Tendances :......................................................................................................... 44 Chapitre 4 : La Perception : .......................................................................................................... 50 Chapitre 5 : La mémoire :...........................................................................................................