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selon toute vraisemblance des monstres à forme humaine. Leur monstruosité repose sur leurs chants : "car les Sirènes l'ensorcellent d'un chant clair, assisses dans un près, et l'on voit s'entasser près d'elles les os des corps décomposés dont les chairs se réduisent.' Les sirènes sont mortifères puisque celui qui se laisse envoûter par elles ne pourra "fêter son retour chez lui". Le texte ne dit pas comment ces hommes sont morts mais la vision des corps en décomposition laisse supposer qu'ils n'ont

puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. *Triptyque : oeuvre en trois parties **Retable : Dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints. C'est à la Renaissance

résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédelle représente la mise au tombeau et sous-entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle

- le nom du découvreur des rayons X, - la date de sa découverte, - le domaine des fréquences de ces rayons, - les éléments chimiques présents dans les os, - les éléments chimiques présents dans les chairs. 5. Les sons audibles par l’oreille humaine ont des fréquences comprises entre 20 Hz et 20 000 Hz. ( à illustrer par une expérience HP +GBF ) Comment qualifie-t-on un son dont la fréquence est voisine de 100 Hz ? Comment

infidèle ! La morale internationale hollandaise va frapper les esprits rétifs ! Atlas des mensonges ! Tapis de mensonges ! Tapis de bombes ! Les hollandais djihadistes ont la bénédiction du congrès des cabinets de l’intelligence économique ! Les chairs de Syrie vont embrasser l’entrée en vigueur du nouveau droit international évolutif hollandais ! Nul agent NCIS sur les preuves bushistes, les Empires ont l’expertise des manipulations d’Etat ! C’est le fondement de leur grandeur ! Atlas des mensonges 

présent. Les deux tercets sont consacrés presque exclusivement à ces parfums et odeurs qui envahissent l'âme du promeneur. Dans le premier tercet, les mots " parfum frais " (vers 9) apparaissent alors comme une sorte d 'évocation d'un souvenir : " chairs d'enfants " (vers 9), quelque chose qui en tout cas a déjà été vécu, une sensation connue et reconnue. Puis le mot " corrompus " (vers 11) vient rompre cette harmonie des sens. Dans le premier tercet, les sens s'équilibraient, toutes sortes de

repose à distance, en se bouchant le nez.- Pas poli, l’homme ! il pourrait nous montrer son autre figure, - Je vous dis que c’est un pensionnat de jeunes filles en promenade : regardez les deux qui jouent à saute- mouton - Tiens ! un savonnage : les chairs sont bleues, les arbres sont bleus, pour sûr qu’il l’a passé au bleu, son tableau ! ". Ceux qui ne riaient pas, entraient en fureur : ce bleuissement, cette notation nouvelle de la lumière, semblaient une insulte. Est-ce qu'on laisserait outrager

interpelle au premier regard c’est cette pyramide que forment les corps de la mère et ceux de ses deux enfants. Nous avons l’impression qu’ils ne forment plus qu’un. La lumière naturelle du soleil qui entre dans la grotte par la gauche souligne leurs chairs généreuses. Nous pouvons aussi déceler des éléments qui nous font deviner la sauvagerie de l’instant. Il y a la grotte mais aussi les herbes sauvages qui sont à l’entrée de la grotte mais aussi aux pieds de Médée. Sa chevelure, l’ombre sur son visage

Plus aucun ne sera attrapé, par ce piège des mers ; qui depuis des siècles, voir des millénaires, emportait vies d'hommes, vers les entrailles de la Terre. Piège qui finît dans le ventre d’Ulysse et ses confrères, s'étant délectés d'un repas de leur chairs : « L'abus de la chair humaine est mauvais pour les Sirènes, nous l'avons vu et constaté par nous même ; mais néanmoins je n'avais jamais pu manger, un poisson d'une tel finesse. ».Tels furent les mots d’Ulysse, qui remplît d'ivresse, se réjouissait

soit! Et la lumière fut.», «Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa; mâle et femelle il les créa», «Il insuffla dans ses narines l’haleine de vie, et l’homme devint un être vivant» et «il prit l’une de ses côtes et referma les chairs à sa place». Cette méthode se retrouve aussi dans l’usage de symbole tel que : «l’arbre de la connaissance du bonheur et du malheur». Finalement, ce texte mythologique contient des observations non vérifiables : «il n’y avait encore sur la terre aucun