Chai

je ne parlais que de me faire prêtre, et que tout mon plaisir était à faire de petites chapelles. Je lui trouve de l'air de Manon, reprit le vieillard en me haussant le menton avec la main. Je répondis d'un air niais : Monsieur, c'est que nos deux chairs se touchent de bien proche ; aussi, j'aime ma soeur Manon comme un autre moi-même. L'entendez-vous ? dit-il à Lescaut, il a de l'esprit. C'est dommage que cet enfant-là n'ait pas un peu plus de monde. Oh ! monsieur, repris-je, j'en ai vu beaucoup

La chaise électrique d’Andy Warhol Problématique : En quoi une oeuvre peut-elle être engagée ? PRÉSENTATION : Titre : chaise électrique ( electric chairs ) Auteur : Andy Warhol ( 1928-1987 ) Mouvement : Pop art Date de création : 1967 Dimensions : 63 x 80,50 cm Technique : huile sur toile et sérigraphie. Lieu de conservation : BIOGRAPHIE : Andrew Warhola, né le 6 août 1928 à Pittsburgh en Pennsylvanie, est issu d’une famille slovaque immigrée à Pittsburgh dans le années 1920

jambes de Jésus et mène jusqu’à l’homme qui, monté sur la croix, retient le drap qui enveloppe le corps. Au niveau couleur, la tonalité générale de l’œuvre repose sur une harmonie de gris bleutés et de bruns que rompt l’éclat du drap blanc et des chairs pâles du Christ. Seuls les vêtements de Marie-Madeleine (en bleu) et de Jean (en rouge) apportent des notes de couleurs vives et chatoyantes. Une lumière aveuglante traverse le tableau en oblique. Cette lumière surnaturelle, semble diffuser du

Pendant que l’architecte s’exprime à travers des effets de style, l’ingénieur se penche sur le cœur même de la cave : les cuves. Des cuves cylindriques en béton armé sont implantées à l'arrière de la coopérative en 1963 puis la cour d’entrée accueille un chai de forme rectangulaire et de grande hauteur, semblable à ceux construits à Agde et à Pinet. Les cuves en acier émaillé implantées à l'arrière de la coopérative avant 1984 ne sont pas l’œuvre de Paul Brès qui a pris sa retraite en 1976. On retrouve

tels que l'amour, la désillusion, la solitude et la douleur, offrant un aperçu introspectif de l'âme humaine. À travers ses vers, il exprime cette profondeur émotionnelle avec des mots saisissants, tels que : "Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants" (Les Fleurs du Mal, "Correspondances"). Cette citation illustre la sensibilité de Baudelaire à la fois à la beauté et à la fragilité des émotions humaines. III. La confrontation avec la condition existentielle de l'homme Les Fleurs

montrés avec "corrompus, riches et triomphants" au vers 11. Cette comparaison fait comprendre à l’homme la nature par des choses qu’il connaît déjà. Cela nous montre les caractéristiques négatives de l’homme alors que la Nature est valorisée avec "la chairs des enfants, la musique et les prairies" aux lignes 9 et 10. Un texte qui met en évidence l'esprit des sens avec la question que nous pose Baudelaire : Comment percevoir ce monde sensoriel ? En effet le poète utilise la méthode de la synesthésie

panneau central, le premier plan présente les ravages de la guerre. Des corps décharnés gisent ça et là, des membres épars sont éparpillés : un cadavre propulsé dans un arbre sur la gauche, une main frappée par la mort au centre de monticule de chairs humaines. La plupart des personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet

confrontation à la réalité: tristesse et malheur fetti allégorie fait le lien entre le crane humain et les immortels, c'est elle qui penche sa réflexion sur la vacuité de la vie motin espèce d'état extra lucide qui vise à se considérer comme un tas de chairs pourries ou pourrissantes rattrappées par les vers quel que soit son destin et son âme comme canditate au suicide post mortem la réalité c'est la mort pascal attendue comme suite logique des révélations fetti hummain → crâne, allusion évidente:

résurrection puisque le panneau central est une crucifixion (c'est à dire le Christ sur la croix). GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, mains et pieds arqués,chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules (ergot, maladie du seigle). La prédellereprésente la mise au tombeau et sous entend la résurrection à venir. Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : -Organisation (triptyque, prédelle

frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne Du vin de jour ?... Quand tout le bois frissonnant saigne Muet d'amour De chaque branche, gouttes vertes, Des bourgeons clairs, On sent dans les choses ouvertes Frémir des chairs: Tu plongerais dans la luzerne Ton blanc peignoir, Rosant à l'air ce bleu qui cerne Ton grand oeil noir, Amoureuse de la campagne, Semant partout, Comme une mousse de champagne, Ton rire fou : Riant à moi, brutal