Chale

| |Le drapeau dans sa forme actuelle a été hissé pour la première fois à Rishon Létsion en 1885, les auteurs s’inspirant d’un " tallit ", le châle de prière. | |La Bible fait allusion à une étoile dessinée sur les boucliers des soldats de David, peut-être comme moyen de reconnaissance. | |La couleur bleue, appelée " tekhelet " en hébreu, suggère

sa tante, Mme de Rosemonde. Il est chargé d’une lettre de Danceny pour Cécile. Afin de la lui remettre, il crée une diversion, prétend que Mme de Tourvel se sent mal et a besoin de prendre l’air. Tout le monde sort. Il retient Cécile, lui prend son châle et l’invite à revenir le chercher afin qu’ils puissent être seuls un moment ce qui permettra à Valmont de lui donner sa lettre. Cécile sort. Valmont se cache derrière une plante, à gauche de la porte-fenêtre. Cécile revient et cherche Valmont à droite

difficile qu'une autre, j'ai touché à du linge bien dégoûtant dans ma vie; mais, vrai, celui-là, je ne peux pas » En plus de la saleté vestimentaire s’ajoute l’altération du vêtement : « (...) le long des murs, sur le dossier des meubles, pendaient un châle troué, un pantalon mangé par la boue, les dernières nippes dont les marchands d'habits ne voulaient pas ». L’absence de vêtements se fait part aussi : « Le lit des enfants, tiré au milieu de la pièce, découvrait la commode, dont les tiroirs laissés

collective. Cet effacement d’identité individuelle est visible dans ce passage par différentes formes d’appellations génériques que l’auteur utilise. Une d’entre elle est d’utiliser les genres pour définir un personnage. Par exemple : « Cette femme dont le châle dissimule les traits et l’âge » L. (4-5) Ou bien :« L'homme qui dort la tête renversée émet un long râle » L. (32-33) Une autre forme d’appellation générique utilise consiste à définir les citoyens par leurs fonctions. « A quelques pas d'elle, la prostituée

sa perle. Il oublie les valeurs familiales. Ses actions conduisent à la mort de son fils, après quoi il se rend compte que l'argent ne peut pas acheter le bonheur.· Juana : Une femme très timide et discrète, toujours représenté par l’auteur avec un châle autour du cou. Elle représente un peu la sagesse à coté de Kino, c’est une vraie maman.· Coyotito : C’est l’enfant de Juana et Kino. C’est par lui que passe la conclusion de ce livre.Plusieurs sujets sont abordés dans cette œuvre. Tout d'abord nous

chapeau d’homme enfuit sous des chaussettes sales ". Le laisser aller de Gervaise est présent : elle est en chemise et en savates. Toute cette description s’accompagne du champ lexical de la misère (lambeau, flèche attachée au plafond par une ficelle, châle troué, les dernières nippes)     L’univers de Gervaise est comparable à celui que Zola a connu (il a vécu dans un hôtel misérable), Zola est donc ici quelque peu metteur en scène : il plante un décor pour montrer comment vivaient les ouvriers. Mais

| | |Été-automne : les rendez-vous du jeudi | | |Novembre-décembre : épisode du châle | |1845 |Début : première négociation avec Lheureux (la masure de Barneville)

arnaud meme les details sans importance. Frederic construit des scènes fantasmées, elle avait ramene cette negresse avec elle , style indirect libre , impression de ce que pense F mais garde cpherencetemps du recit. Marque du fantasme a propos du châle : il devient un objet de culte « dormir dedans » meme accumulation et rythme ternaire : en envelopper sa taille, s'en couvrir les pieds, dormir dedans. L'objet a ete en contact avec les parties importantes de cette créature « venerée ». Tout cela nous

lexical de la saleté « manger par la boue » L20 personnification ironique « chaussettes sales » L19, « table graisseuse » L16 Renforcé par le champ lexical des vêtements + saleté : « vieux chapeau » L19, « chemises et chaussettes sales » L19-20, « châle troué » L20 + expression L21 « dernières nippes ... voulaient pas » - Thème phare du roman : la trahison, la tromperie « ne reparaissait que tard dans la nuit en racontant » L5, « elle croyait l’avoir vu rentrer au bal » L6 ↘ renforce le mensonge

corrigent la nature, ils mentent. Edouard Manet s'est demandé pourquoi mentir, pourquoi ne pas dire la vérité; il nous a fait connaître Olympia, cette fille de nos jours, que vous rencontrez sur les trottoirs et qui serre ses maigres épaules dans un mince châle de laine déteinte. Le public, comme toujours, s'est bien gardé de comprendre ce que voulait le peintre; il y a eu des gens qui ont cherché un sens philosophique dans le tableau; d'autres, plus égrillards, n'auraient pas été fâchés d'y découvrir une