Chale

physique précise, Frédéric nous fait paraitre cette femme comme quelqu’un de magnifique. Frédéric est ébloui par cette femme. Plus rien n’existe autour de lui excepté cette femme. Il souhaite en savoir plus sur elle mais il reste timide puis l’envol du châle de la femme le fait passer pour un sauveur vis-à-vis de cette femme. Il entre alors en contact avec elle.

est immobile. A la gauche de la table, symétrique au personnage de droite, il ferme le cercle comme pour montrer l'importance et le caractère fermé de la « cérémonie ». Ce personnage est Judas. Comme le Christ en bleu foncé, on le remarque par son châle jaune. Le peintre a accentué les couleurs afin que le spectateur se retrouve facilement et cerne l'important. Judas reconnaissable vraisemblablement, à la bourse qu'il tient en sa main gauche. On a l'impression qu'il la cache. Il est concentré. Après

s'inclina. - Puis-je vous faire une proposition ? dit-il. - Je vous en prie, répondit la femme. - J'ai deux pistolets, ,dont un vide. Voulez-vous accepter celui qui est chargé ? - Je suis assez bien pourvue, dit-elle, voyez vous-même. Elle souleva un châle qui était resté tout ce temps à côté du réchaud. Il recouvrait deux pistolets d'arçon. Le discours direct crée un effet de spontanéité, d'authenticité. Il donne au récit, dont il interrompt le cours, une vivacité particulière. Il met en valeur

mais l'œuvre a été terminée pour pouvoir paraître au salon d'octobre. La palette de Delacroix est riche, dans les tons terreux, mais les couleurs signifiantes se situent dans les variantes du bleu, du blanc et du rouge (rouge : bonnet phrygien, châle du mourant ; bleu vêtement du mourant ; blanc: ceinturons et insignes royaux) : l'effet symbolique (ou allusif) se retrouve dans plusieurs détails Le drapeau tricolore est donc éclaté dans tout le tableau. L'artiste est avant tout coloriste : on

les subordonnées de but inaugurées par la locution en sorte que indiquant bien sûr ce qui va arriver à Télémaque à l’avenir). [...] Elle respecte enfin la loi d’hospitalité en prenant tout de suite les mesures qui s’imposent : « Donnez-lui un châle propre, une tunique,/ lavez-le dans le fleuve en un lieu abrité du vent ! », vers 209 et 210. ] Le personnage de Nestor rappelle ce fait d’une importance capitale dans le chant III, après que Télémaque (lors d’un voyage) lui ait demandé des renseignements

Lieu exigu où la présence de la malle (pathétique personnification avec ses "flancs nus") témoigne de la situation précaire des occupants. Les marques de l'usure et de la destruction sont omniprésentes : adjectifs "pot ébréché", "vieux chapeau", "châle troué". Seule note de couleur dans cet univers sordide : le "rose tendre" (et sa dimension romanesque) des "reconnaissances". Première marque de présence et d'ironie du narrateur. La dernière phrase est de tonalité identique : une chute qui clôt l'extrait

Père Goriot, par Balzac, les descriptions sont longues, et extrêmement détaillé. «demoiselle Michonneau gardait sur ces yeux fatigués un crasseux abat-jour en taffetas vert, cercle par un fil d’archal qui aurait effarouché l’ange de la pitié. Son châle a franges maigres et pleurardes semblait couvrir un squelette, tant les formes qu’il cachait étaient anguleuses. quel acid avait dépouillé cette creature de ses formes feminines? … » Ces question et observations son si abondent que cette description

tommettes. Un christ de bois est accroché au mur, qui rappelle que, si cette famille est dans le besoin, elle n’en est pas moins une famille chrétienne. Une femme élégante donne de l’argent à une pauvre femme assise à gauche, les genoux couverts d’un châle. Ses trois enfants l’entourent et forment avec elle un groupe serré et solidaire, d’une grande dignité dans l’infortune. Selon toute vraisemblance, la généreuse donatrice n’est autre que l’impératrice Eugénie. Nombreuses ont été en effet ses visites

père pour le recueillir. Elle prend grand soin de lui, une manière de lui faire ressentir son amour pour lui, chant VI, v.206 « Mais celui-ci n’est qu’un naufragé malheureux : il nous faut l’accueillir ; » et au v.209.a « Mais allons ! donnez lui un châle propre, une tunique, lavez-le dans le fleuve en un lei abrité du vent ! » A l’inverse, Calypso n’est pas une femme très hospitalière mais elle tente tout de même de prouver son amour pour Ulysse en essayant de le persuader qu’il serait mieux avec

Boche fait tâche au mariage comme à l'enterrement de Maman Coupeau; Bibi-la-Grillade est « boutonné jusqu'au cou, sans gilet » et laissait passer « seulement un coin de sa cravate roulée en corde ». Maman Coupeau tourne elle aussi au ridicule avec son châle vert, son bonnet noir et ses rubans rouges. Ainsi que Madame Fauconnier qui se montre avec « une cravate rose et un bonnet très chargé de fleurs ». Zola a un jour observé les ouvriers et les ouvrières rentrant du travail et a noté leurs tenues : les