Chale

La personne qui supervise ce rituel relève le drap blanc juste pour s’assurer que le corps a été débarrassé de toutes impuretés. Il est revêtu d’habits blancs, et le visage doit-être recouvert d’un bonnet (les hommes sont en plus enveloppés de leur châle de prière). Les proches juifs peuvent pleurer la perte de l’être cher. * Familles athées Comme nous l’avons vu ci-dessus, le patient est le premier concerné par les décisions concernant sa fin de vie. Dans les familles athées, il faut respecter

Je me suis renseigné …Il y a un wagon restaurant. J’ai retenu une place… (Très rapide. Il cherche à meubler) ELLE : Je n’ai pas très faim…(Silence) LUI : Etes-vous assez couverte ? ELLE : Oh ! oui. Les trains sont surchauffés…D’ailleurs, j’ai un châle dans mon sac… (Silence) LUI : Vous avez longtemps à attendre la correspondance à Kiev ? ELLE : Une heure, je crois. LUI : C’est long, une heure. ELLE : Cela n’a pas d’importance. (Silence) LUI : (Passant derrière elle pour échapper à la tension

ensembles formels, plastiques, n’a de cesse de redonner du sens à l’image, par les mots, en privilégiant notamment une approche sociale. Olympia : “Une fille que vous rencontrez sur les trottoirs et qui serre ses maigres épaules dans un mince châle de laine déteinte” (in Edouard Manet, étude biographique et critique, 1867). - Rapports texte-image : toutes les approches, tous les commentaires sont légitimes à condition de situer clairement le point de vue d’où l’on parle, sa relativité. Du

grise et lourde. En sortant, le volume de vie l'asphyxia. Elle voulait tendre sa main, se réfugier dans la musique, plonger dans la piscine des cris brisants, remonter couverte d’algues où perlerait le sens des mots perdus, et s’envelopper du châle de la 15 langue arc en ciel de ce chanteur qu'elle aimait tant : _Alain Leprest_. Elle, elle ne regarde pas le ciel, cela lui donne des maux d'estomac et des douleurs à la tête. Elle préfère marcher avec le trouvère sur les routes, ramasser

ses paupières mi-closes, la fixa longuement. Mais, très vite, elle se brûla… et poussa un profond soupir, car ses petits doigts bleuis étaient toujours aussi glacés. Elle se frotta bien fort les mains l’une contre l’autre, puis les glissa sous son châle tout rapiécé, mais en vain. « Je vais encore faire flamber une allumette », se dit-elle. « Seulement une, la dernière ! » Que cette nouvelle flamme était donc jolie ! La petite fille regarda fixement et rêva qu’elle se trouvait devant un bon poêle

dévouement pour consoler. C’était une femme impersonnelle pour ainsi dire à force de cœur, une femme qui ne s’appartenait point : Dieu ne semblait l’avoir faite que pour la donner aux autres. Son éternelle robe noire qu’elle s’obstinait à porter, son châle usé et reteint, son chapeau ridicule, sa pauvreté de mise était pour elle le moyen d’être, avec sa petite fortune, riche à faire le bien, dépensière en charités, la poche toujours pleine pour donner aux pauvres, non de l’argent, 47 elle craignait

le fils naturel de Bruno Schulz, l'écrivain polonais assassiné par les nazis. Il recherche le manuscrit d'un roman mythique et perdu de son père imaginaire, Le Messie[129]. Le Châle, tourne autour de Rosa Lublin. survivante d'un camp de la mort, elle ne se remet pas de la perte de son bébé qu'elle avait enveloppé dans un châle pour le cacher aux nazis : « Ma nièce Stella, énonça lentement Rosa, dit qu’en Amérique les chats ont neuf vies, mais nous, nous sommes moins que les chats, alors nous en avons

BARONNE. Conçoit-on ça ? Je vous le demande. Ma fille qui se sauve à travers champs, et trente voitures qui entrent ensemble ! Je ne survivrai jamais à un pareil moment. L'ABBÉ. Encore si j'avais eu le temps, je l'aurais peut-être retenue par son châle,... ou du moins,... enfin, par mes prières, par mes justes observations. VAN BUCK, chantant. Dites à présent, Charmante bergère, Dites à présent Que vous n'aimez guère SCÈNE III 50 IL NE FAUT JURER DE RIEN Qu'un amant constant... Vous fasse

descendre… Ils sont tous à nous appeler. Rose quittait péniblement le coffre à bois. Elle murmura : — Je descends, je descends… Bien sûr, elle n’a plus besoin de moi… On va mettre une sœur… Et elle tournait, sans pouvoir trouver son chapeau et son châle. Machinalement, sur la toilette, elle avait empli une cuvette d’eau, elle se lavait les mains et le visage, en continuant : — Je ne sais pas, ça m’a donné un grand coup… Nous n’avions guère été gentilles l’une pour l’autre. Eh bien ! vous voyez, j’en

dévouement pour consoler. C'était une femme impersonnelle pour ainsi dire à force de coeur, une femme qui ne s'appartenait point : Dieu ne semblait l'avoir faite que pour la donner aux autres. Son éternelle robe noire qu'elle s'obstinait à porter, son châle usé et reteint, son chapeau ridicule, sa pauvreté de mise était pour elle le moyen d'être, avec sa petite fortune, riche à faire le bien, dépensière en charités, la poche toujours pleine pour donner aux pauvres, non de l'argent, elle craignait le cabaret