Chaman

pouvoir car l'opposition entre le chef et le reste du peuple st caractérisés par cette union. Dans un certain groupe, le pouvoir sacré et profane est uifiée dans une seule personne qui est le chef amérindiens (chez les Guarinis). Pour les autres, le Chaman a une place quasi-identique que le chef indien. Par conséquent, il partage le privilége polygynique avec le chef. La place du chasseur au sein de la société indienne est importante car c'est la chasse qui constitue une source décisive de nourritures

bouddhisme on croit à la réincarnation après la mort, pour l’Islam c’est une forme de continuité de la vie, à la préhistoire on ne faisait aucune distinction entre les humains et les animaux, puis la conscience et les sentiments apparaissent et des Chamans (docteur de la mort) s’occupent des enterrements, mais ce n’est qu’à l’époque de Néhendertal que l’apparition du deuil apparait En Egypte les corps défunt sont momifiés et les morts passent le passage à la vie éternelle chez Osiris. Il y a plusieurs

d’eux. Dans les spiritualités autochtones, la vie après la mort est le prolongement de la vie. Lorsqu’une personne meurt, son esprit va retrouver les autres Autochtones, les animaux et les plantes qui font déjà partie du monde des esprits. Le chaman C’est un spécialiste du monde des esprits. Grâce aux rituels, il entre en contact avec les esprits. Il pourrait prévenir la maladie et suggérer des remèdes aux malades. Les forces surnaturelles Pour obtenir les faveurs des esprits ou pour les

L’union avec les forces invisibles, la Danse est née. En étudiant avec soin l’origine traditionnelle de toutes les cultures, on trouve toujours la danse et sous ces deux aspects différents et complémentaires. 1) Le danseur solitaire: Le prêtre, le chaman, l’initié, il porte en lui toutes les forces premières de son groupe ethnique, de sa tribu, de son village, il entre par sa danse en communication avec la divinité, avec l’essence, avec l’Etre. Il est l’intermédiaire entre le Dieu et les humains.

investi d’un corps. Le corps tout entier, qui cache et montre ce qui se dit, peut prendre le relais de la psyché et devenir un masque. Il offre alors une scène qui accueille la dualité pulsionnelle et témoigne du théâtre privé (tels l’hystérique, ou le chaman des peuples de Sibérie (C. Stépanoff). Le masque s’efforce ainsi de rendre visible l’invisible. Sculpté, il

dû sa survie qu’à la compassion de son clan, puisqu’il ne pouvait chasser, ni se protéger d’un danger, sépulture particulièrement travaillée, laissant penser qu’on lui attribuait une place d’élection dans le groupe, (faisant penser à celle des chamanes), peut-être regardée comme un message de nos lointains ancêtres : si vous en êtes là aujourd’hui, à ce niveau de développement, c’est parce que nous avons mis au cœur de notre développement l’accueil de ce qu’il y a de plus vulnérable en nous, nos

donc le contrôle des femmes qui vont produire ces richesses constitue un enjeu social important. Ce qui est différent dans les systèmes à Great men où le pouvoir est soit mérité (grand guerrier, grand chasseur), soit hérité (maître des initiations, chaman). - 4ème partie. Godelier va énumérer les conditions qui permettent de parler de rapports de classe. Il doit s’agir de groupes sociaux distincts occupants des places spécifiques dans la production (ce qui n’est pas le cas chez les Baruya puisque

nature de l'homme plutôt qu'un axiome, un fait scientifique établi et irréfutable. Les premières civilisations croyaient en la magie, faisaient appel à des puissances irrationnelles, aux forces agissantes, aux dieux. Elles se tournaient vers des chamans, des sorciers, des prêtres. La candeur des débuts de l'Homme est une preuve de la nature de lui-même. Le mysticisme est alors un besoin, peut-être individuel, mais surtout social. C'est ce que l'auteur met en évidence. Il oppose à ça le scientifique

les mythes permettaient au groupe de se différencier. Ils contiennent un message qui est lié aux valeurs du groupe. Les mythes peuvent influencer ceux à qui ils s’adressent parce qu’ils sont racontés par les «maîtres de la vérité», c’est-à-dire les chamanes, les sorciers ou les grands prêtres. L’autorité de ces derniers amène les membres du groupe à respecter les valeurs prônées par le mythe de peur qu’il ne survienne un désordre général menaçant leur survie. Les récits révélés des religions monothéistes

contourne le symbolisme général de ceux-ci, qui est celui des anges, des états spirituels supérieurs. Il est, dansl'antiquité classique, l'oiseau de Zeus, à qui il lui arrive même de s'identifier ; son rôle de roi du ciel est également explicite chez les chamans sibériens. Son identification au soleil, source etrayonnement de la lumière, est essentielle pour les Amérindiens qui, portant des plumes d'aigle, s'identifient à ce rayonnent. Les plumes et le sifflet en os d'aigle sont utilisés dans la danse quiregarde