Chambre Commerciale 8 Novembre 1972

* 1.3 Mandat * 1.4 Incapacité * 1.5 Aptitude * 2 Actions commerciales * 3 Conseils au vendeur * 4 Honoraires * 5 Références * 6 Législation * 7 Documentation * 8 Liens internes | Cadre juridique[modifier] En France, les activités sur les immeubles et les fonds de commerce sont régies par la loi 70-9 du 2 janvier 1970 dite Loi Hoguet et de son décret d'application du 20 juillet 1972. Elle encadre les personnes physiques ou morales participant habituellement

toute vraisemblance voulu garantir que le paiement des dettes contractuelles du débiteurs. Autre ex : celui qui se porte caution des engagements d’un commerçant au profit d’une banque n’a voulu certainement garantir que le paiement des dettes commerciales de ce commerçant et pas les dettes personnelles de ce dernier. Quant au législateur son intervention le 1er août 2003 conduit à marginaliser le cautionnement indéfini dans la mesure où les cautionnements souscrit par des personnes physiques en

est fermé et le juge de l'urgence n'accordera pas la suspension. La Cour de cassation donne du reste toute sa mesure à l’exigence de bonne foi en ne la limitant pas à l’analyse du comportement du créancier. En effet, dans un arrêt de la première chambre civile du 22 mai 1996, l'exigence posée par l'art. 1134, alinéa 3 du Code civil est envisagée par les magistrats dans une perspective assez inhabituelle. Il ne s'agit pas de prévenir, de contrôler ou de sanctionner une quelconque déloyauté de la

décisions suivantes : Cour de cassation chambre civile 3 Audience publique du mercredi 9 décembre 2009 N° de pourvoi: 04-19923 Publié au bulletin (Arrêt de) Cassation M. Lacabarats , président M. Assié, conseiller rapporteur M. Gariazzo (premier avocat général), avocat général Me Blondel, SCP Boré et Salve de Bruneton, SCP Didier et Pinet, avocat(s) REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, TROISIÈME CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Sur la recevabilité

revirements de jurisprudence ? L'assemblée plénière de la Cour de cassation a apporté une réponse positive à cette interrogation en 2006. Depuis lors, les différentes chambres de la Cour de cassation n'ont pas suivi avec la même audace l'invitation formulée. Par deux arrêts du 11 juin 2009, promis à une large diffusion, la première chambre civile retient à son tour une solution stricte, en n'admettant la modulation du revirement que si la partie qui s'en prévaut est privée du droit à l'accès au juge

émission). Cf. Com 11 juillet 1988: la régularisation d’une LC pour défaut de signature du tireur est-elle recevable ? Cassation : création part le tireur initial de titres incomplets présentés à acceptation au tiré donc LC non valables. + Com. 22 novembre 1977 : régularisation impossible en l’absence d’une mention essentielle d’une LC telle que la signature du tireur puisqu’il est le premier à s’engager dans les liens cambiaires. 1 Cass. Com., 24 mars 1998 ; Bull. civ., IV, n° 114, p91 ; Dalloz,

..............2 LE CHOIX DU PRENOM ANTERIEUREMENT A LA LOI DU 8 JANVIER 1993________ 2 Civ.1ère, 17 juillet 1984 ................................................................................................. 2 Civ.1ère, 10 juin 1981 .................................................................................................... 2 B. LE CHOIX DU PRENOM POSTERIEUREMENT A LA LOI DU 8 JANVIER 1993_________ 3 Besançon, 18 novembre 1999 .........................................................

à xxxx, fait reprochés par le mandant à un de ses employés, Monsieur BOUBOU Gérard, né le 1 octobre 1961 à xxxx, agent commercial de la société du mandant. Origine du Mandat Monsieur DUPONT Philippe nous a déclaré : Qu'il a contracté, le 7 juin 1999, avec Monsieur BOUBOU Gérard, de nationalité française, né le xxxx, dans le cadre d'un emploi d'agent commercial de la société « Vive les Maisons Jolies » dont il est le gérant ; Que par ce contrat de travail : Monsieur BOUBOU Gérard

de première instance rejette sa demande. La société BMW France interjette appel. Le 19 mars 1990, la Cour d'appel de Paris fait droit à la demande. La société Dominique Fornage forme un pourvoi en cassation. Le 15 décembre 1992, la première chambre commerciale de la Cour de cassation casse et annule l'arrêt de la Cour d'appel de Paris et renvoie les parties devant la Cour d'appel de Paris, autrement composée. 3.) Prétentions des parties : L'auteur du pourvoi en cassation est la société Dominique

d’autant plus controversée au cas où elle permettrait à la caution de se libérer en cas de modification de ses relations avec le débiteur principal, modification qui impliquerait la disparition de la cause donc du cautionnement. Dans les arrêts du 8 novembre 1972 et 9 avril 1973la cour de cassation a réfuté cette thèse en considérant que la caution ne peut être libérée de son engagement par la modification de la forme d’une société alors que cette modification n’impliquait pas la création d’une personne