Chambre Criminelle 27 Mars 2008

révisions. P. Ancel, O. Gout, Maria, Travaux dirigés d’introduction au droit civil, 3ème éd. Litec, 2012 G. Goubeaux et Ph. Bihr, Les épreuves écrites du droit civil, éd. LGDJ, 11 ème ed., 2008 B. Beigner et C. Bléry, Cours d’introduction au droit, thèmes de travaux dirigés, méthodologie, lexique, LMD, éd. PUF, 2ème ed., 2008 S. Druffin-Bricca et L-C Henry, Introduction au droit et droit civil 2012, éd. Gualino, coll. AnnaDroit LMD, 2011 II. Les Grands arrêts : - F. Terré, Y. Lequette, Les grands arrêts

Se distinguant du 1 Cf. not. s’agissant des travaux proposant une vision d’ensemble : J. BENTHAM, Traité des preuves judiciaires, t. I, Bossange Frères, Paris, 1823. – E. BONNIER, Traité théorique et pratique des preuves en droit civil et en droit criminel, 2e éd. 1852. – R. LEGEAIS, Les règles de preuve en droit civil, permanence et transformation, LGDJ, 1955. – X. LAGARDE, Réflexion critique sur le droit de la preuve, LGDJ, 1994. – F. FERRAND, Rép. civ. Dalloz, V° Preuve, 2006. S’agissant des travaux

pas d’être viable. Etablir la viabilité. L’OMS considère le fœtus fiable à partir des 22 semaines d’aménorrhée (4/2 ou s’il fait 4 gramme), tout enfant né est présumé viable sauf carence d’un organe essentiel. Le 6 février 2008, donne lieu a des décrets, décret du 20 août 2008, il s’agissait de l’acte d’enfant sans vie, ex : j’ai accouché à 21 semaine et demi d’un enfant->était il viable ? Pour le respect de la douleur des parents on va établir une forme d’acte civil d’un enfant sans vie mais sa

formation d’un « pourvoi » par le demandeur. Précisez quel est ce demandeur au pourvoi si l’arrêt le mentionne et quel est l’objet de sa demande (voir la distinction entre un moyen et une branche) - quelle est la position de la Cour de cassation (chambre saisie) : décision et motivation (expliquer la différence entre les motifs et le dispositif) Précision : il peut arriver que certaines de ces informations ne figurent pas dans une décision (par exemple la motivation du juge de 1ère instance) : dans

comparatives et internationalisation du droit Mme Mireille D-M, professeure Cours : Libertés et sûreté dans un monde dangereux Le point de départ de ce cours est la loi française relative à la rétention de sûreté, adoptée le 25 février 2008, qui permet de maintenir un condamné en détention, après exécution de sa peine, pour une durée d’un an, renouvelable indéfiniment, sur le seul critère de sa dangerosité. Préparée depuis quelques années par une succession de lois sur la récidive, la

consacrer le principe « non bis in idem » en ce qui concerne le cumul de poursuites et sanctions pénales et administratives. // Au contraire, la Cour EDH consacre ce principe, tel qu’issu de l’article 4 Protocole additionnel n°7. Toutefois, CC, 18 mars 2015 a abrogé certaines dispositions du code monétaire et financier relatif à la sanction des délits et des manquements d’initié. Comme cette abrogation a été reportée à 2016, le CC a interdit les doubles poursuites d’un même comportement, sous les

perspective civiliste (…) il sait que son jugement sur l’action publique commandera l’indemnisation de la victime par la juridiction civile (…) il sait que s’il relaxe le prévenu, il privera la victime de tout droit à réparation » Traité de droit criminel, 4ème édition). L’arrêt de principe de 1912 préconisait d’ailleurs la répression des fautes même légères (« La légèreté de la faute commise ne peut avoir d’autre effet que celui d’atténuer la peine encourue »). Il s’agit ensuite de la nature même

travail Arrêts : 1 : Cour de cassation, chambre sociale du 16 février 1999 Problème au niveau du vice du consentement : En l’espèce la candidate avait indiqué dans son cv qu’elle avait occupé un emploi d’assistant pendant 4 mois. En réalité, c’était un stage, une formation de 4 mois. La cour de cassation dit que la mention litigieuse est certes imprécise, mais non constitutive d’une manœuvre frauduleuse. 2 : cour de cassation, chambre sociale du 30 mars 1999 Problème au niveau du vice du consentement :

s’agit d’un arrêt de principe du 25 septembre 2001 rendu par la chambre criminelle de la cour de cassation.Autre exemple : arrêt du 29 mai 2013 chambre criminelle, a propos d'un chien qui avait échappé à la surveillance de son maître, qui était sorti de la propriété de cette personne sans être contrôlé ni être tenu en laisse. Et ce chien avait mordu une personne.Dans les deux cas, les tribunaux répressifs surtout la chambre criminelle ont conclu à l'existence d'un lien de causalité et d'un lien de

une clause limitative de responsabilité. Sous l’article 1147 (clauses exonératrices, doctrine…) Ces arrêts, en conclusion, précisent que lorsque la clause limitative porte sur une obligation essentielle, elle doit être réputée non écrite. La chambre commerciale à toutefois fait évoluer sa jurisprudence avec une solution concernant EDF et la fourniture d’électricité dans un arrêt du 18 décembre 2007 : EDF s’engage à fournir de l’électricité sans garantie de continuité, de manière absolue. Une