Chamisso Peter Schlemihl

Œuvres & thèmes, Le Veston ensorcelé et autres nouvelles inquiétantes, guide pédagogique © Éditions Hatier, 2018 • page 1 Le Veston ensorcelé et autres nouvelles inquiétantes Guide pédagogique par Claire Pelissier-Folcolini CARNET DE LECTURE 2 Questions sur La Cafetière 2 Questions sur Le Portrait ovale 5 Questions sur Qui sait ? 7 Questions sur Le Veston ensorcelé 11 Questions sur Le Jeu du bouton 14 Questions sur Fonds d’écran • pages 101 à 108 16 DOSSIER THÉMATIQUE : LES FIGURES

1820, Le cœur de pierre 1817, L'Homme au sable 1817. • Le poème Der Doppelgänger de Heinrich Heine 1828 mis en musique par Franz Schubert (voir Schwanengesang), Radcliff, Les nuits florentines, - Allemagne, un conte d'hiver - • Peter Schlemihl de Adelbert von Chamisso, 1838 • La nuit de décembre (poème) de Alfred de Musset, 1835 • William Wilson d'Edgar Allan Poe 1839 • L'ombre de Hans Christian Andersen, 1846 • Le Double de Fiodor Dostoïevski 1846 • Lui 1883, Le Horla (wikisource) 1887 de

suivants : 867-4542-59180-precipice- 1-21 Page 20 Jeudi, 26. août 2010 5:16 17 20 UN RECUEIL DE NOUVELLES DU XXe SIÈCLE – Bradbury, L’Heure H et autres nouvelles, n° 2050 ; L’Homme brûlant et autres nouvelles, n° 2110. – Chamisso, L’Étrange Histoire de Peter Schlemihl, n° 2174. – Gogol, Le Nez, Le Manteau, n° 2005. – Hoffmann, L’Enfant étranger, n° 2067 ; Le Violon de Crémone, Les Mines de Falun, n° 2036. – Kafka, La Métamorphose, n° 2083. – Maupassant, Le Horla et autres contes fantastiques

instant par l’enjambement) comme « les pauvres fameux », l’absence de ponctuation permettant un instant de voir ces rois devenus des « pauvres fameux ». Ces pauvres auraient « vendu leur ombre », ce qui peut être une allusion au roman de Chamisso où Peter Schlemihl, ayant cédé son ombre au diable, devint très riche mais vit tout le monde le fuir. Strophe 10 : À l’hivernage dans le passé, métaphore de cet engourdissement dans les souvenirs douloureux, confusion entre le froid moral et le froid physique

instant par l’enjambement) comme « les pauvres fameux », l’absence de ponctuation permettant un instant de voir ces rois devenus des « pauvres fameux ». Ces pauvres auraient « vendu leur ombre », ce qui peut être une allusion au roman de Chamisso où Peter Schlemihl, ayant cédé son ombre au diable, devint très riche mais vit tout le monde le fuir. Strophe 10 : À l’hivernage dans le passé, métaphore de cet engourdissement dans les souvenirs douloureux, confusion entre le froid moral et le froid physique

est retenu un instant par lenjambement) comme les pauvres fameux, labsence de ponctuation permettant un instant de voir ces rois devenus des pauvres fameux. Ces pauvres auraient vendu leur ombre, ce qui peut tre une allusion au roman de Chamisso o Peter Schlemihl, ayant cd son ombre au diable, devint trs riche mais vit tout le monde le fuir. Strophe 10 lhivernage dans le pass, mtaphore de cet engourdissement dans les souvenirs douloureux, confusion entre le froid moral et le froid physique, le pote

instant par l’enjambement) comme « les pauvres fameux », l’absence de ponctuation permettant un instant de voir ces rois devenus des « pauvres fameux ». Ces pauvres auraient « vendu leur ombre », ce qui peut être une allusion au roman de Chamisso où Peter Schlemihl, ayant cédé son ombre au diable, devint très riche mais vit tout le monde le fuir. Strophe 10 : À l’hivernage dans le passé, métaphore de cet engourdissement dans les souvenirs douloureux, confusion entre le froid moral et le froid physique

instant par l’enjambement) comme « les pauvres fameux », l’absence de ponctuation permettant un instant de voir ces rois devenus des « pauvres fameux ». Ces pauvres auraient « vendu leur ombre », ce qui peut être une allusion au roman de Chamisso où Peter Schlemihl, ayant cédé son ombre au diable, devint très riche mais vit tout le monde le fuir. Strophe 10 : À l’hivernage dans le passé, métaphore de cet engourdissement dans les souvenirs douloureux, confusion entre le froid moral et le froid physique

s’occupe des patines et des teintures. Par ailleurs, elle assiste Michel Raffaelli, scénographe et costumier, sur de nombreuses créations. Elle travaille aussi à cette époque pour la télévision auprès notamment des réalisateurs Charles Brabant et Peter Kassovitz. Au cinéma, elle assiste Catherine Leterrier sur les films de Claude Lelouch, Richard Effron et Robert Enrico, et plus récemment elle travaille en collaboration avec Olivier Bériot sur les films d’Alain Chabat, Eric Besson, puis avec Sylvie

famille normande émigrée après la révocation de l'Edit de Nantes. Auteur prolixe, il ne s'est survécu que par le charmant conte d'Ondine (1811) que Gœthe appréciait beaucoup. Quant à Adalbert von Chamisso (1781-1838), fils d'émigrés de la Révolution française, il a, dans son Histoire merveilleuse de Peter Schlemihl (en argot allemand : le guignard), l'homme qui a vendu son ombre au diable, traduit le déchirement du déraciné qui hésite entre ses deux patries. Le « dernier chevalier du romantisme », c'est