Champ Lexical Correspondance Baudelaire

ambassadeurs de cités alliées pour se reconnaître . Les symbolistes ont une conception de la vie propre, le monde ne saurait se limiter à une apparence concrète réductible à la connaissance rationnelle. Il est un mystère à déchiffrer dans les correspondances qui frappent d'inanité le cloisonnement des sens : sons, couleurs, visions participent d'une même intuition qui fait du Poète une sorte de mage. Le symbolisme oscille ainsi entre des formes capables à la fois d'évoquer une réalité supérieure et

écritures. une répétition : touché, - peut-être pourrais-tu préciser les caractéristiques du lyrisme baudelairien, en particulier son ambivalence, je chercherais autre chose que le mélange des sentiments et de l'art, par exemple la cyclothymie, ou la correspondance avec nos propres désarrois, - que signifie singulière ? - ton introduction doit annoncer le plan, - je remplacerais hasardeux par le fruit du hasard. lyrisme de la désagrégation, de l'effritement, de l'effondrement. ce pourrait bien être le lyrisme

remotiver » le rapport des mots et des choses.  Dans le texte poétique, les sonorités produisent souvent des effets de sens, cherchent à représenter la réalité, On appelle harmonie imitative l'organisation des sonorités qui cherche à établir une correspondance avec le contenu du poème. Mais si les sons ont une valeur de sens, il ne faut pas les interpréter en les isolant: c'est toujours en fonction du sens propre à tel ou tel poème que les sonorités pourront être associées à des idées ou à des sentiments

de son expérience personnelle. Répétition de « je sais » → assurance des propos. Bilan accentué par de nombreux connecteurs temporels « avec le temps »(l.2), « aujourd'hui » C. une expérience dominée par la culpabilité sentiment de culpabilité. Champ lexical de l'apprentissage, Tarrou constate ce que lui a apporté son expérience(l.6, 8, 15, 27, 29, 34, 36). constat négatif « j'ai honte, honte à mourir ». la honte est l'hyperthème du discours. II/ Une réflexion universelle sur la nature humaine A

de ce combat; il n’y a rien de plus beau Mouvement 3: l.13-fin: - "courageusement", “force”, “énergie”: Mots connotés: L’auteure encourage à faire preuve de détermination - “opposez”, "réussissez-vous", “déployez”: verbe d’action à l’impératif: champ lexical du combat qui s’installe; ce mouvement est bien celui de l’action; l’auteure cherche à mobiliser ses troupes - “force de la raison”, "les étendards de la philosophie”, “ énergie de caractère”: Compléments de noms qui viennent préciser l’action

à durer, et ayant si tard commencé, …» - C’était une grande fête (l. 21) mais le destin les a quand même rapproché. - Le ciel (l. 19) les a réunis-> « quelque ordonnance du ciel » II - Une amitié différente des autres - Amitié fusionnelle - Champ lexical de l’union - Cette amitié fait penser à une expérience mystique – élection divine - Une expérience chimique avec « quintessence » - Mélange chimique -> « mélange » (l. 7), « confonde » (l. 6), « quintessence » (l. 37) III - Une amitié indicible

Camille Vallet 1er Es1 Groupement de poèmes sur le thème du voyage : -J’arrive où je suis étranger - Louis Aragon -Les oiseaux migrateurs - Jacques Yvart -Le départ - Max Jacob -Invitation au voyage - Charles Baudelaire -Hôtel - Guillaume Apollinaire -Ma bohème - Arthur Rimbaud -Brise marine - Stéphane Mallarmé -La feuille - Antoine Vincent Arnault -Demain dès l’aube - Victor Hugo -Heureux qui comme Ulysse - Joachim du Bellay Préface: « J’ai accomplit

le cadre du parcours associé et sur votre culture personnelle. Sujet B Œuvre : Baudelaire, Les Fleurs du Mal Parcours : alchimie poétique : la boue et l’or. On a reproché à Baudelaire de « tout peindre, de tout mettre à nu » dans son recueil Les Fleurs du Mal. Qu’en pensez-vous ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous ap- puyant sur le recueil de Charles Baudelaire, sur les textes que vous avez étudiés dans le cadre du parcours associé et sur votre

visionnaire: la précision des descriptions anime les objets, les machines surtout, en fait de véritables personnages et même des monstres capables de modifier les comportements humains. La langue de Zola est variée et modulée sur plusieurs registres lexicaux; les descriptions minutieuses se fondent sur un parler populaire, sur l'argot en usage dans des milieux différents, parisiens notamment, sur un vocabulaire technique approprié.En ce qui concerne cet extrait, l’auteur analyse le texte avec comme clés

courante » (v.13) La métaphore du fleuve comme temps qui passe se retrouve filée tout au long du poème dans lequel Seine, temps et amours fuient ensemble. 2) Méditation poétique sur la fuite du temps. a)La fuite du temps et de l’amour. Le champ lexical de l’écoulement et du passage se retrouve tout au long du poème, v. 6,12, 18, 24 « s’en vont », v.9 « passe », v.13 « s’en va », v.20 « passé », v.1 et 22 « coule ». Remarquons la répétition du même « Sous le pont Mirabeau coule la Seine » v.1