Champ Lexical Correspondance Baudelaire

l 2. Ses influences Il s'inspire du préraphaélisme anglais mais des traits annonciateurs se trouvent déjà au sein du romantisme allemand, par exemple dans la peinture de Caspar David Friedrich, britannique (Blake) et français (Chassériau). Baudelaire, Verlaine, Mallarmé, sont les trois poètes français qui ont le plus influencé le symbolisme. Le mouvement symboliste français a, à son tour, influencé le symbolisme autrichien, anglais (E.Hulme écrit: "Nous avons subi une grande influence du symbolisme

rouleront dans ce pays, les greniers ne seront jamais vides, et chaque soir, les chants fébriles s’élèveront au-dessus des villages pour égayer le peuple malinké. Tant que tu vivras et feras vivre nos vastes rizières, tant que tu fertiliseras nos champs et feras fleurir nos plaines, nos Anciens, couchés sous l’arbre à palabres, te béniront toujours. Coule et va plus loin que toi-même à travers le monde entier, étancher la soif des inassouvis, rassasier les insatiables et dicter sans mot

moque de ses premiers vers. En 1925, il suit les cours de L'école de Commerce de Marseille, qui ne l'intéressent pas davantage. Il lit Plutarque, François Villion, Racine, les romantiques allemands, Alfred de Vigny, Gérard de Nerval et Charles Baudelaire mais aussi, vraisemblablement, Rimbaud,Mallarmé et Lautréamont, peut-être des poèmes d'Eluard. Il effectue en 1927 son service militaire dans l'artillerie à Nimes, affecté à la bibliothèque des officiers. Il écrit alors une première critique,

l’alchimie imprime aux grands fronts studieux ; O, Suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges : - O l’Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! - 2. Le commentaire linéaire du poème. Recherche lexicale : « latent » : en latin, « être caché » : qui ne se manifeste pas mais qui est susceptible de le faire à tout moment ; secret. Ex. : un conflit latent : qui couve, qui est sur le point d’éclater. « bombinent » : néologisme créé sur le mot latin

et meurs misérablement » (poème « Abel et Caïn », v.3-4)L’homme est en proie au mal et ne peut s’échapper de ce « chemin bourbeux » du vice (poème « Au lecteur » v.7, p.16) Dans Les Fleurs du mal, Baudelaire explore les différentes boues morales , fleurs du mal, de l’homme et de la femme et la décline sous ses multiples facettes boueuses : la vénalité, l’orgueil, l’ennui, la cruauté, la luxure, la femme

Preuves textuelles Relevez au moins trois mots (ou groupes nominaux) qui constituent chacun de ces deux champs lexicaux. b) Repérage Preuves textuelles Deux adverbes (de manière) sont également mis en opposition. Relevez-les. c) Interprétation Expliquez ce que cette dualité fait ressortir quant à l’état émotif du poète. 2. Verlaine suggère aussi son déchirement à travers d’autres champs lexicaux qui font appel aux mouvements qui s’opposent. a) Repérage Preuves textuelles Trouvez deux verbes de mouvement

et durant ses crises de fureur, il brutalise sa mère. La mort de son père en 1865, son amour fou mais sans aucun espoir pour sa cousine Elisa, contribuent à le désaxer. Verlaine développe ainsi une sensibilité inquiète de la vie. Il partage avec Baudelaire un goût pour la provocation. Cette volonté de rupture se ressent à travers un travaille de la langue qui se veut révolutionnaire. Il a une volonté de rompre avec la poésie traditionnelle. Ainsi, son premier recueil, les Poèmes Saturniens parut en

Harmonie du soir LA HARMONIE DU SOIR Introduction : • Présentation recueil et éléments biographique de la vie de B. : parler des différentes publications et du procès subi par Baudelaire, parler aussi de son sentiment de nostalgie du passé lié à la disparition et au re-mariage de sa mère qui es tsans doute l’une des causes de son angoisse existentielle… (thèmes que l’on retrouve dans ce poème). Ce poème appartient au cycle de poèmes sur l’amour spiritualisé dont l’inspiratrice aurait été Mme

exprimé dans ce texte. Puis nous verrons en quoi l’écriture de Rimbaud, en recourant à un langage familier, vivant et simple, est provocatrice. I- LE BIEN-ETRE DE L'AUTEUR Il se traduit par l’attitude du poète, par la connotation des mots et les champs lexicaux. II- LA PROVOCATION Bien que Rimbaud conserve la forme traditionnelle du sonnet, il bouleverse la syntaxe à l’intérieur du poème. Si le premier quatrain a un rythme assez régulier avec une syntaxe simple, le second, en revanche, a des phrases

bien qu’il n’y ait pas de ponctuation. La figure de style est donc capable de remplacer la ponctuation. Enfin, on observe un champ lexical des sentiments et des émotions dans ce poème : « triste » (v.1 et 7) ; « amour » (v.2) ; « trahi » (v.2) ; « orgueil » (v.3) ; « douleur » (v.5) ; « pitié » (v.6) ; « rage » (v.8) ; « pleurer » (v.10) ; « consoler » (v.12). Ce champ lexical qui s’inscrit dans la longueur permet au poète d’insister sur l’évolution de ces sentiments, après sa réflexion personnelle