Champ Lexical Correspondance Baudelaire

sont l’expression de la tristesse et de la mélancolie du poète ainsi que le Carpe Diem. De plus ce texte s’inscrit dans le genre romantique car la fuite du temps, c’est-à-dire le Carpe Diem est omniprésent dans ce poème. En effet ont relève un champ lexical des moments de la journée : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité". De plus « nuit éternelle » et « heure fugitive » aux vers 2 et 32 renforce cette idée de fuite de temps. On remarque une

Charles BAUDELAIRE ! Le sonnet intitulé « La Cloche fêlée » se situe à la fin de la section Spleen et Idéal des Fleurs du Mal. Lʼopposition entre ces deux notions, Spleen et Idéal, constitue un des fondements principaux du recueil. En effet, le poète est constamment dominé par une double attraction paradoxale entre lʼIdéal, cʼest-à-dire lʼélévation, la spiritualité, le Bien, la réussite et le Spleen, cʼest-à-dire la chute, lʼennui, le Mal, lʼéchec. Dans « La Cloche fêlée », Baudelaire se représente

2)Paysage de correspondance Paysage, communiquant des impressions fortes, insiste sur la synésthésie. On relève des sons de la nature : ""tu mugissais"(S3), "flots harmonieux"(S4), "accents inconnus à la Terre" (S5), "frappèrent les échos"(S5). Il insiste de plus sur la musicalité avec des assonances (v15), des allitérations (v19) et des chiasmes (v58). Et des couleurs : "noirs sapins" (S14), "astre au front d'argent qui blanchit ta surface"(S15) Puis tout comme Baudelaire finit sur les

Commentaire : « Harmonie du soir » Les Fleurs du Mal, BAUDELAIRE Comment dans ce poème, Baudelaire parvient-il à transformer son mal en beauté ? Comment dans ce poème la souffrance, source d’insatisfaction est-elle transformée en beauté, source de satisfaction par la beauté de l’art ? I) Inspiration romantique 1) Un paysage état d’âme: - Forme du pantoum (introduite par V. Hugo dans les Orientales) et place donner à la nature : « s’évapore » suggère la chaleur. - Thème du soleil couchant

l'indignation de Rimbaud. Il est cependant peu probable que celui-ci ait réellement assisté à ce qu'il décrit. La nature est une entité extrêmement présente dans ce poème, principalement dans les deux quatrains, c'est ce que traduit la récurrence du champ lexical correspondant (« verdure », « rivière », « montagne », « rayon »...). Mais cette nature apparaît bien particulière, très vive et active, comme le traduisent les nombreux verbes d'action utilisés (« chante » renforcé par l'allitération de consonnes

complainte nostalgique.   Liées par le thème de la souffrance et de l'errance, et marquée par une progression que souligne le « et » du v.13, les 3 strophes ont cependant une autonomie : - La première évoque explicitement l'automne à travers une correspondance entre une sonorité et une douleur. - La deuxième souligne la tentation de la mémoire et des souvenirs comme remèdes à la fuite du temps. - La troisième conclut sur l'impuissance du poète dont la destinée est aussi fragile que celle des feuilles

Perrault) 1715 à 1789 : Les Lumières (Lettres Persanes de Montesquieu 1721, Voltaire) Révolution : « Période Noire » ; ère de terreur Romantisme : 1802 / 1804 jusqu’en 1857 / 1860 avec Chateaubriand, René puis Hugo, Stendhal, les Fleurs du Mal de Baudelaire, Madame Bovary de Flaubert). Réalisme : 1830 à 1880 = Courant artistique, littéraire ou culturel (VS Mouvement : groupe de gens autour d’un texte fondateur) Un courant à la différence d’un mouvement n’est pas une « Ecole ». Un mouvement (le surréalisme

successives, il semble hésitant. Par ailleurs, les conjonctions confèrent au rythme une certaine lenteur qui, associée aux sonorités nasales, contribue elle aussi à l’expression de la mélancolie. • Un hémisphère dans une chevelure, Charles Baudelaire 3. a. Les anaphores qui structurent le poème : l’anaphore inaugurale et finale « Laisse-moi », suivie d’un verbe à l’infinitif, confère un caractère circulaire au poème ; l’anaphore : « Dans », suivi d’un substantif et du complément « de ta

siècle  dans  lesquels les poètes font l’éloge d’un animal ou d’un objet repoussant. Ainsi Victor Hugo se  fait‐il  le  défenseur  de  l’araignée  et  de  l’ortie  dans  « J’aime  l’araignée »  extrait  de  Les  Contemplations publiées en 1856. Baudelaire décrit une charogne repoussante dans « Une  charogne »  tiré  du  recueil   Les  Fleurs  du  Mal   publié  en  1857.  Lautréamont  loue  la  force  destructrice  du  pou  dans  Les  Chants  de  Maldoror,  recueil  paru  en  1869.  Enfin,  Tristan 

poème Liberté, où il nous fait comprendre la notion abstraite de liberté à travers une série d'images concrètes. Le poète, tel que Baudelaire dans L'Harmonie du Soir, peut faire pour ses lecteurs un lien avec la nature, afin de nous redonner un regard neuf sur le monde, ce qui se retrouve dans le courant de peinture des impressionnistes. Par un système d'échos et de correspondances, que l'on peut remarquer dans les Ariettes du recueil Romance sans paroles de Verlaine, le poète nous montre l'unité qui peut