Champ Lexical Nature Sens Dormeur De Val

(en Ukraine et au Moyen-Orient) mais qui a de tout temps divisée les hommes entre eux ; pour l’autre il s’agira de montrer que même s’il y a dans le monde des individus malheureux il existe quand même un bonheur qui n’a pas d’égal : l’amour à double sens. Nous débuterons notre anthologie par le thème de la guerre puis nous la terminerons par le thème de l’amour pour montrer qu’il y a toujours de l’espoir. Au sein de chaque thème les poèmes seront classés par ordre chronologique afin d’observer l’évolution

répondre à l’énigme du monde (nouvel Œdipe) Baudelaire évoque la Nature dans toute sa splendeur, au milieu de laquelle l'homme se promène envahi mais charmé. Le poète retranscrit les sensations rencontrées lors d'une ballade en forêt. Dialogue homme/Nature 2 quatrains= théorie et 2 tercets = démonstration de la théorie. Correspondance = lien entre visible/invisible -> lien vertical Synesthésie = communication entre les 5 sens / Alliance des sensations -> permet harmonie du monde - > lien

Il lui a été inspiré de la tragique mort de sa fille Léopoldine quatre ans auparavant. Hugo a, à plusieurs reprises, écrit des poèmes dédiés à sa fille, dans lesquels il retranscrit l’amour immortel qu’il lui porte. On peut alors se demander quel sens et quel intérêt Hugo porte-t-il à ce poème ? Nous allons donc nous intéresser aux caractéristiques poétiques, avant d’étudier le voyage de l’auteur ainsi que l’aspect romantique du texte. En premier lieu, on constate que ce texte comporte de nombreuses

|Repérer le merveilleux dans Candide : Eldorado | | |III |Lecture |Lecture linéaire |Étudier le thème de la guerre |Relever, identifier le champ lexical de la guerre. |Chapitre III | | | | | |Étudier la description qui met en valeur l’atrocité de la |

chante. On note également une multitude de points d'exclamation ainsi qu'un discours patriotique traduisant la notion de sacrifice au nom de la patrie. Le Dormeur du Val (1870) C’est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD’argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue

moignon enflammé…) Ses poèmes les plus célèbres resteront : « le Bateau ivre », « Une saison en enfer » et « Illuminations » II- Un poème de Rimbaud : « Le dormeur du val » - C’est un trou de verdure où chante une rivière - Accrochant follement aux herbes des haillons - D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, - Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. - Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, - Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, - Dort ; il est étendu dans l’herbe

Volet 1 : Tableau-synthèse Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. |« Le dormeur du val », de Rimbaud | |Tableau-synthèse

hétérogène (de ZEP). - évoquer le contexte de la séquence : séquence proposée en janvier – février, parallèlement au cours d’Histoire consacré à la seconde guerre mondiale. Objectifs : - lecture : Le lyrisme d’Apollinaire ;  L’amour, la nature et la poésie dans un poème de R.G. Cadou ; Le lyrisme africain de Senghor ; de la poésie lyrique à la poésie engagée : Barbara, de Prévert ; Eluard, poète lyrique et engagé: “Notre vie” et “Avis” ; Dénoncer la barbarie de la guerre : « Oradour »,

très hétérogène (de ZEP). - évoquer le contexte de la séquence : séquence proposée en janvier – février, parallèlement au cours d’Histoire consacré à la seconde guerre mondiale. Objectifs : - lecture : Le lyrisme d’Apollinaire ;  L’amour, la nature et la poésie dans un poème de R.G. Cadou ; Le lyrisme africain de Senghor ; de la poésie lyrique à la poésie engagée : Barbara, de Prévert ; Eluard, poète lyrique et engagé: “Notre vie” et “Avis” ; Dénoncer la barbarie de la guerre : « Oradour »,

sonnet, suggère la répétition, l’habitude des actions évoquées : « devenais », « j‘étais » (v. 2-3), « avait », « j’égrenais » (v. 5-6), « écoutais », « sentais » (v. 9-10), « tirais » (v. 13). Ce thème de l’errance se développe à travers le champ lexical du trajet (« course », v. 6 et « routes », v. 9) et la comparaison au Petit Poucet, mise en valeur par le tiret qui la précède : « – Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course/Des rimes. » (v. 6-7). Mais au lieu de semer des cailloux, le poète