Champ Lexical Vieille Chanson Du Jeune Temps

bilingue qui se lit de droite à gauche, le sens de lecture en langue arabe, offre une succession de collages sur papier kraft, le texte arabe faisant partie intégrante de la composition, et le texte français figurant à l’extérieur, dans la marge. Vieilles cartes postales, photos jaunies, dessins, reproductions : avec modestie, l’artiste dévoile son travail sur le regard et la mémoire. On y apprend ainsi que dessiner, ce n’est pas seulement affaire de technique, mais aussi et surtout de façon de

religion et pouvait prêter à confusion entre les vrais et les faux dévots. Pour combattre l’hypocrisie, Molière a choisi de présenter un faux dévot. Donc, bien que Molière s’en défende, la religion semble être un thème important de la pièce. Le champ lexical emprunte de nombreux termes à la religion : Dieu y est constamment invoqué, on parle de péché, d’enfer, de tentation, de dévotion, de repentir, de pardon, de charité, de conscience et de bénédiction. Cléante, dans la scène V de l’acte I attaque

personnages en début de scène ou avant leur réplique, et les didascalies (indications souvent en italique, qui précisent le ton, les déplacements, les gestes, le décor...). b) Le deuxième texte est un extrait de roman. Les indices sont : l’emploi des temps du récit (imparfait – passé simple), l’alternance de deux formes de discours (narratif et descriptif). c) Le troisième texte est une lettre. Les indices sont : l’entête avec les précisions de lieu et de date, les formules d’adresse (« Chère Karima

Commentaire (20 points) Objet d'étude : Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle Vous commenterez le texte suivant : Georges PEREC (1936-1982), Les Choses (1965) – extrait du chapitre 2 Le début de ce roman évoque la situation d’un jeune couple, Sylvie et Jérôme, qui vit dans un appartement exigu à Paris, au début des années 60. Des arrangements judicieux auraient sans doute été possibles : une cloison pouvait sauter, libérant un vaste coin mal utilisé, un meuble trop gros pouvait

Guyane Faculté des Lettres et Sciences Humaines – ISEF – Martinique Master – Arts, Lettres et Langues Mention : Arts, Lettres, Civilisation Spécialité : Langages, Cultures et Sociétés en milieu plurilingue Parcours : Didactique du FLE La Chanson : Vecteur Culturel en classe de FLE MÉMOIRE DE MASTER Présenté et soutenu par Laurence PORTUGUES Sous la direction de Monsieur le Professeur Mohamed MILED LABORATOIRE D’ACCUEIL : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres Langues

accessible au jeune public. Activités autour de Victor Hugo .- La Classe, 05/2002, n° 129 Ce dossier propose des pistes de travail à l'école élémentaire à partir de l'oeuvre d'Hugo : une bibliographie pour l'enseignant, une séquence sur des repères chronologiques, sur la poésie à partir de "chanson" et du "Mendiant", sur le thème du portrait, activités de lecture à partir d'un extrait des Misérables", d'écriture à partir de Notre-dame de Paris. Gamarra, Pierre.- L'ami Victor Hugo.- Le temps des cerises

2. L’énonciation 3. Périodes et mouvements littéraires 4. Les genres littéraires 5. Qui raconte l’histoire ? 6. Comment étudier le temps du récit ? 7. Comment étudier l’espace du récit ? 8. Comment étudier un texte littéraire lors de l’épreuve écrite ? 9. La poésie 10. Notions élémentaires de versification 11. Les figures de style 12. Le théâtre 13. Le champ lexical 14. Le registre 15. L’étude de l’ironie 16. L’implicite 17. Les formes de l’argumentation 18. Les liens logiques ou connecteurs 19.

3- La proposition subordonnée interrogative indirecte est Complément d’Objet Direct du verbe « demandons ». 4- le mot subordonnant qui introduit cette proposition est « si ». 5- Les hommes en bleu répètent en fait la question qu’ils n’ont pas eu le temps d’achever à la ligne 18 : « N’aimez-vous pas tendrement ?... ». La réponse inadaptée et comique de Candide (« Oh ! oui j’aime tendrement Melle Cunégonde ») les amène à reformuler leur question. La subordonnée interrogative indirecte COD de « demandons

le lecteur, le prenant à partie de la situation de solitude dans laquelle il se trouve et lui faisant part du projet qu’il s’est donné en commençant à écrire le déroulement de ses promenades. L’auteur débute son livre par un constat : il est un vieil homme seul, rejeté de tous et dénigré de toutes parts. Il s’est longtemps débattu contre ses ennemis, mais au moment où s’ouvrent les Rêveries, il dit ne plus rien craindre de ses « persécuteurs » car leur malveillance a atteint son paroxysme. Rousseau

au verbe et à son groupe sujet, se mêle rarement de précisions supplémentaires sur le discours introduit. Celles-ci sont toutefois toujours savoureuses, par leur rareté qui leur permet de se détacher davantage, mais aussi par le jeu de créations lexicales qu'elles mettent en œuvre, par exemple, p. 20 : « qui disoit en cailletois », p. 123 : « en disant en son vieillois », p. 5. Voir S. Dùrrer, Le dialogue dans le roman, Nathan, 1999, p. 103. 6. Voir G. Prince, « Le discours attributif et le récit