Champ Lexicale De La Correspondance

Les phrases sont majoritairement de type déclaratif ; le temps de base est le présent de vérité générale. Ex. : « L'addition des nombres entiers n'est en effet possible que par temps calme. » Le vocabulaire est adapté au domaine évoqué ; le champ lexical est celui du thème traité. 1.2. Un discours organisé L'explication suit un ordre logique, elle se décompose souvent en trois étapes : — présentation du phénomène et formulation du problème (parfois sous forme de question) ; — explication proprement

nous verrons un apprentissage autodidacte et rigoureux, puis une recherche acharné de la toute puissance et pour finir une révolte orgueilleuse. A) Un apprentissage autodidacte et rigoureux a) Une méthode scientifique inspirée des lumières Champs lexical de la raison et de la science : « profonde réflexion » « observer et réfléchir » « curiosité » « m’instruire » « je m’étudiais » « la science que je voulais acquérir » « cherché « j’observais » « l’expérience m’a appris »…  Apprentissage de

Nous allons commencer à étudier ce poème, en développant sur l’obsession du temps qui passe, et après en développant sur le pouvoir de la nature. Pour le premier thème de ce poème qui est l’obsession du temps, on voit qu’il y a un champ lexical important se rapportant au temps qui passe : (v.2) « nuit éternelle », (v.4) « jour », (v.5) « l’année », (v.13) « un soir », (v.21) « heures », (v.31) « l’aurore », (v.33) « l’heure fugitive »… Le mot « temps » est employé sept fois dans ce poème

explicitement l'automne à travers une correspondance entre une sonorité et une douleur. Verlaine refuse que la poésie soit au service d'un engagement et revendique "de la musique encore et toujours!" On remarque qu'elle est construite sur des sonorités sourdes adoucies par de nombreuses liquides (« l », « m », « n ») sans articulations fortes. Le seul verbe de la strophe (« blesse » v.4) qui appartient au champ lexical de la douleur, établit une correspondance entre la saison et la sensibilité du

dernier " Voyage "l'espérance d'une réconciliation et d'un salut. La dualité qui fait le drame de Baudelaire, et qu'il identifiait aussi dans le Tannhaüser, de Wagner, comme " la lutte de deux principes qui ont choisi le cœur humain pour principal champ de bataille, c'est-à-dire de la chair avec l'esprit, de l'enfer avec le ciel, de Satan avec Dieu ", n'est pas plus effacée par les artifices de l'existence qu'elle n'est dépassée par la mystique de l'outre-tombe. Remarque :

témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans « Le Lac ». L’obsession du temps • Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe

déceler sous ces figures différentes interprétations qui impliquent à la fois le lecteur et la voix poétique. Développement I- L’illustration du titre « tableaux » a) La description d’un tableau : les deux quatrains * relever tout le champ lexical de la vue : omniprésence de la vue « contemple, voit, regardaient, vois, yeux, dardant, globes » * groupe de personnage au centre du tableau et qui suscite l’intérêt de deux spectateurs : le poète et le lecteur. Le pathétique de la description

est la fuite du temps, thème traditionnel de la poésie, déjà privilégié par les épicuriens de l’Antiquité et par les poètes de la Pléiade comme Ronsard. Ici, le temps est représenté par la métaphore de l’eau qui est filée tout au long du poème.
Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps

» : caractère involontaire de la création. Un long travail de gestation (« dans les profondeurs ») ou une illumination qui s’impose. - Définitions des voies d’accès : « veux » : être poète suppose un choix. Rimbaud mène une étude approfondie (champ lexical) dont il est lui-même le principal objet : « âme ». Tâtons : gradation ascendante des verbes. Une connaissance jamais achevée : « doit la cultiver » : injonction. - Mépris pour ceux qui s’autoproclament (sans être) : égoïsme contre « je est un

apparaissent dans le texte. Le principal semble être l’odorat. Le premier paragraphe décline en effet un champ lexical de l’odorat : « respirer », « odeur », « mouchoir odorant », « air ». Presque chaque paragraphe du poème reprend et développe ce sens. On voit par ailleurs qu’une fois l’odorat apparu, d’autres sens surgissent, nés grâce à lui, selon le principe des correspondances baudelairiennes. Au paragraphe 1 : Odorat (« respirer », « odeur », « mouchoir odorant », « air » / goût