Champ Lexicale

poème Manoukian argumente donc au moyen d' importants champs lexicaux de la liberté, de l'amour et de la tendresse, de l'évocation de la loi française et du resgistre pathétique mais c'est aussi une véritable poème. On note la construction du texte par strophes et la présence d'allitérations et d'assonances. Une lettre d’adieu Annonce de la mort prochaine de l'auteur dès l'introduction. Champ lexical de la mort qui s’oppose au champ lexical de la vie présent dans la lettre. • Formules traditionnelles

suivantes et dites à quel champ lexical appartient chacune d’elles ! Les séries Champ lexical Votre réponse réponses Scène- drame- coulisses- rôle – décor – jouer – actrice- souffleur Le théâtre Chapitre – préface- lire- page – lecture- bibliothèque – lecteur- librairie- Le livre Journal- télévision – radio- Internet Information Enveloppe- timbre- date- signature- destinataire- expéditeur Poste 2- Dans chacune des séries suivantes, indiquez le champ lexical et retrouvez un mot

de cette histoire. > L'auteur utilise un champ lexical de temps ; autrefois, avant, au début, passé, avenir, etc. Ceci explique bien l'évolution de l'état psychologique du personnage. Au début, il ne se sentait vraiment pas alaise dans ce changement de situation et il pensait au passé. À la longue, il s'est bien adapté à l'idée de vivre dans ce nouvel environnement et maintenant, il ne pense qu'au futur. Utiliser ce champ lexical vient appuyer le fait qu'il a vraiment

décrivant ironiquement la mise en place de la bataille est évidente. Et voyons maintenant comment il va traiter la "boucherie héroïque" Tout d'abord on constate la présence du champ lexical de la mort avec les termes : "mourir", "éventré","bruler" et "couper" est si on prend appui sur les termes de ce champ lexical la mort est décrite comme violente et est un acte de barbarie. On constate une insistance sur l'horreur de la guerre. Les mots sont également détournés de leur propre sens : le terme

patrie » (V.15) Explication : La citation nous montre distinctement que l’esprit est indifférent face à la situation qu’il vit. IS2 : Le but de l’esprit Citation : « Vers les cieux le matin prennent un libre essor. » (V.18) Explication : Le champ lexical de la citation précédente montre clairement la forte ambition de l’esprit à atteindre son but, qui est d’atteindre les cieux. Conclusion partielle : Bref, la désespérance de l’esprit égaré dans le poème le Spleen et le but de l’esprit dans le

hommes et en exploitant le champ lexical de la fraternité. Il en fait notamment usage pour nommer le groupe des pendus, mais aussi pour nommer celui des vivants, créant ainsi un lien de ressemblance entre les deux : «Frères humains, frères, notre confrérie». Ceci nous amène donc à une autre technique utilisé par Villon pour motiver la solidarité des hommes; il rend les hommes égaux dans la mort comme dans la vie. De fait, l’utilisation d’expressions d’un même champ lexical, celui de la fraternité,

bien son fils, remettant en question la confiance qu’il porte à sa femme. On assiste donc à un drame familial. De plus, la tension dramatique est accentuée par le champ lexical de la désolation du fils. Il comporte des termes comme « larmes aux yeux », « sanglota », « les sanglots »,  « les hoquets », « balbutiant ». Et par le champ lexical de colère des parents plus particulièrement du père : « colère concentré », « jetant avec force », « yeux de lynx », « frappa », « un ton sévère ». Plus on approche

page 62. Les mots utilisés ici accentuent par leur appartenance à un champ lexical populaire la véracité des sentiments. « Ma foi d’honneur » exprime l’étonnement et la référence à la foi catholique très importante à l’époque donne de la crédibilité à l’affirmation. Le « presquement » nous rappel tant qu’à lui que l’histoire se passe vraiment dans la période forte du roman du terroir soit entre 1837 et 1945. Donc, le champ lexical du terroir, propre à la littérature canadienne-française qui possède

fou » (v.334) « jaloux à faire rire » « cet homme bizarre »  « Riche, mais des plus sensé, non. » (v.330) : ici le « riche » et le « non » sont mis en valeur et sont en opposition, malgré sa richesse Monsieur de La Souche est sot, bête. Suite à ce champ lexical du ridicule, Arnolphe se sent humilié et fait différent apartés tels que « La fâcheuse pilule » ou encore « Ah je crève ! », il est surpris de ce qu’il entend provoquant ainsi le rire chez le spectateur. A travers leurs propos on peut aussi remarquer

est décrite la naissance de la passion. Enfin, nous étudierons deux points opposés. Commentaire littéraire I Une description subjective qui transfigure la scène 1. Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune