Champs Lexical De La Folie

cette scène théâtrale. On parle même à la ligne 23 de la « Nature » avec une majuscule car celle-ci est personnifiée tout au long du poème et assure une certaine protection maternelle à la femme-enfant qu’est Ophélie. Le champ lexical de la maternité est très présent : « sein » à la ligne 9, « bercés » à la ligne 10 et « enfant » à la ligne 18. Notre personnage principal est décrite comme « un grand lys » et fait donc partie intégrante de la nature. On retrouve plusieurs fois

là : hors de notre monde. Le 19 aout se situe à la fin de la nouvelle, le thème du double, narrateur = folie. Le horla empêche de vivre Maupassant, avec le miroir (puissance de l’être mystérieux), il apparait avec transparence ou lui prive de son image. Maupassant a très peur. Vocabulaire : «  affolés, n’osait plus, avait dévoré, j’eus peur, frissonner, l’épouvante » Champs lexical de la peur. Phrases exclamatives : exprime la peur, l’angoisse. « … » Exprime l’incompréhension. Figures

d’autres.pourquoi Oreste tombe t-il dans la folie ?Dans un premier temps nous allons voir la souffrance d’Oreste puis dans un second de l’hallucination a la folie.Après avoir appris la mort de Hermione il s’est tourné vers les dieux en employant le champ lexical du ciel:  « O ciel,grâce au ciel ».il se dechaine sur les dieux,il compare même sa vie avec sa destiné « j’étais né pour servir d’exemple a ta colère »il est au comble de sa douleur,il utilise le chap lexicale de la souffrance pour exprimer son injustice

de montrer l’évolution des sentiments, de l’état de Victor HUGO : de la douleur à la folie en passant par le déni de la réalité des choses. Nous montrerons tout d’abord que l’auteur exprime une douleur forte qui le mène dans une phase de refus, de déni, pour ensuite étudier comment le poète sombre progressivement dans un état de détresse délirante et repondrons a la question suivante : Quelle place occupe la folie dans ce poeme ? Victor HUGO trouve dans l’écriture de ce poème un moyen d’exprimer

aimée et louée a été idéalisée ; nous analyserons ensuite comment cette femme a mené le poète au bord de la folie ; enfin, nous étudierons l’importance de l’écriture poétique comme exutoire. I - Une femme idéalisée 1) une beauté sublimée son charme (v.1 « il suffit qu’on vous voie » et v.31 « mes yeux séduits ») est intensifié par le poète : cf. champ lexical du corps // champ lexical des fleurs (ex. : vers 19-20) ; les Nymphes en sont jalouses (v.18) 2) en vérité, une femme artificielle

nombreuses phrases interrogatives au discours indirect libre, “D’où venait ce souffle? Qu’était cette folie?” qui nous donne accès aux questionnements du personnage. Ces questions restent sans réponses, accentuant l’effet de confusion créé par la multitude des

  I – Image original du poète a) Victime de la paresse - Champs lexical de la Paresse : « paresse », « rêve », « lit », « fagoté », « langueur », « dort », « oisiveté », « dormant », « draps ».  - Participe passé « accablé » mis en valeur par sa position dans le poème (premier mot). - Affaiblissement physique : « accablé », « sans os », « s’enfler », « yeux entrouverts ». Il y a donc une dégradation physique. - Champ lexical de l’enfermement : « âme », « langueur », « ensevelie », « dormant

:des personnages généralement faibles sont confrontés a la violence, la mort. Emouvoir le lecteur en éveillant une forte émotion de pitié (commisération , compassion ). La mort , la maladie la tristesse le souffrance les larmes l’injustice … Champ lexical de l’émotion , de l’affectivité souvent violente , exagérations, exclamations , phrases interrompues , apostrophes interjections… Romans , tragédies , romans autobiographiques , poésies, etc. Lies aux émotions personnelles Registre lyrique

(…) -L’Homme n’a pas modifié la forêt : (une antithèse entre l’artificiel et le naturel est employée afin de mettre en valeur le naturel par la négation de l’artificiel) Champ lexical de l’artificiel : « embellissait », « à coups de ciseaux », « mode », « semer », « sabler », « modérer », « ménager » Champ lexical de la nature : b) Un extrait réaliste: -Goût pour la précision, la minutie du détail : Recours à des CCT : « à vingt ans », « dans ces temps anciens », « un beau matin »

quotidienne dans sa banalité (par opposition au roman romantique traditionnel, qui retrace des destins exceptionnels. L’œuvre se situe dans le cadre de la révolution industrielle de la fin du XIX ème siè-ècle. C’est pourquoi Zola se réfère au champ lexical · · récurrent du chemin de fer : « les roues », « la machine », « la chaudière », « le charbon », « le foyer », « sifflet », « gares », « mécanicien », « chauffeur ». · · Il fait aussi allusion à une ligne existante, Le Havre-Paris, il