Champs Lexical De La Folie

la tirade de Phèdre Champ lexical de la passion/du feu Ponctuation interjection 2. cette passion conduit Phèdre à un état émotionnel violent : corporel et verbal champ lexical de la violence antithèse : feu/larmes champ lexical du corps 3. cette passion créée la frayeur parce qu’elle conduit au tragique : le suicide ou le meurtre registre tragique les impératifs de la fin de la tirade 4. par conséquent la passion dérègle le jugement, égare la raison champ lexical de la monstruosité modalisateurs

proie au doute, à la folie 1) Un narrateur en proie à la terreur Champs lexical de la terreur 2) Fantastique Champs lexical du fantastique Doute : somnambule : réaliste, invisible : surnaturel Il parle tout seul 3) Doute Répétitions : l.18, 19 « Moi ? Moi sans doute ? Ce ne pouvait être que moi ? », Paranoïa Conclusion : L’incompréhension et le doute se traduit par un personnage en proie à la terreur, qui tente de raisonner mais saisi par la crainte, voire la folie, n’arrive qu’à tourner

guette de très proche, ce qui l’amène à faire des curieux rêves : « Ah! Oui, je tombe dans un trou, l’eau est glacée. Je suis triste. [...] Je me noie ! [...] Je disparais. Les eaux se referment ! » (p.44) Le champ lexical de la mort présent dans ce passage montre que son état mental frôle la folie, ce qui traduit son désespoir.  Au fil du récit, sa condition mentale ne s’améliore pas, il continue à faire des cauchemars : << La nuit, je l’imaginais [Théodule] entrant dans le dortoir, une hanche

Commentaire I/ Phèdre, torturée par la jalousie A. Une tirade pleine de souffrance - Des vers 1225 à 1258, la tirade de Phèdre est marquée par la souffrance. On le voit au champ lexical de la douleur, dont les occurrences sont nombreuses. On peut par exemple citer « douleur » ou encore « souffrir », des termes qui ouvrent et clôturent son intervention, semblant se refermer sur elle comme un piège. Cette douleur, cette souffrance est d’un genre nouveau pour Phèdre ; elle le déclame d’ailleurs

avant tout la jeunesse qu'il veut toucher, émouvoir et en qui il place son espoir : son rêve d'une société plus juste, libre et fraternelle. III/ invite à plus de fraternité a) champ lexical du cœur, des sentiments, de l'amitié de l'amour entre les humains on retrouve dans le texte le champ lexical de l'amour entre humain : «  sois humaine, sois généreuse » , « cœur révolté » l'auteur insiste sur le fait que être un humain c'est être sensible et c'est pouvoir ressentir des sentiments

tragique dont la colère va atteindre la folie Il est impossible pour Corneille de faire Médée saine d'esprit, il fallait que le spectateur la ressente comme folle, car les spectateurs du XVIIème qui voient une tragédie : aristocrates. Les aristocrates ne veulent pas voir sur scène une criminelle, saine d'esprit, quelqu'un qui leur ressemble. Folie : très inquiétant car colère froide. Elle calcule comment lui faire le plus de mal. 2 champs lexicaux* : -souffrance : « frayeur » ; « misère » ;

Gaby a su devenir le centre de l’attention et des regards. En effet « les autres [l]e regardaient comme si [il] étai[t] devenu fou ». De la folie, il en faut pour s’élever à cette hauteur ; la comparaison des « petites têtes » de ses camarades avec des ballons » souligne ce fait mais met aussi en évidence la supériorité Gaby face au groupe. Cependant la folie n’est pas la seule cause de cet acte, Gaby est poussé par la peur d’essuyer « [l]es ricanements, [l]es sarcasmes sur les fils à mamans qui se

enfants ont été touchés -Problème Lorenzo : problème d’idéal Lorenzo a le rôle du père : mature donne des conseils vouvoie (au début) puis tutoie (l.19) -> proche, prend sous sa protection 3) Justification projet Présentation (l.23) Champ lexical de la vertu Point de départ : Pourquoi ? -providence -Mission divine : sentiment d’être l’instrument d’une divinité ---> très romantique -un « élu » : dimension tragique « je ne sais pourquoi » -Orgueil--> Péché *Contraste entre un Lorenzo

les caractéristiques et les particularités de ce monologue délibératif, apparemment logique, mais en réalité dysfonctionnel, avant d’étudier l’ambivalence irréconciliable des sentiments de l’héroïne en proie à un doute extrême, ce qui la pousse à la folie. Enfin, le dernier mouvement de l’analyse tentera de montrer en quoi la décision prise par l’héroïne monstrueuse apparaît totalement irrévocable, au point de donner l’illusion, à travers les paroles de Médée, que l’infanticide est tangible, si ce n’est

que Pluton s’est réincarné en un autre chat noir dans le but de lui faire rappeler sans cesse l’acte commis par le narrateur. Par ailleurs, ce même chat qu’il avait trouvé, se retrouve dans le même compartiment où sa femme a été enterrée. Le champ lexical du bruit (p.19, l.341) « cri prolongé, sonore » est employé pour prouver là aussi que finalement c’est le « chat noir » qui a pris le dessus car c’est grâce à ces cris que le narrateur a été arrêté. On dénote bien aussi le fait que Pluton a voulu