Champs Lexical De La Folie

synonyme de sa mort. Aussi, la didascalie « il se prend lui-même le bras » souligne la folie d’Harpagon qui ne parvient plus à se contrôler contrairement à la phrase qui suit : « Ah ! C’est moi. Mon esprit est troublé, et j’ignore où je suis, et ce que je fais » (l.7) qui montre clairement que le locuteur (Harpagon) est conscient de ses actes. Cependant, il n’est pas toujours maître de lui-même alternant périodes de folie et de lucidité (cf. découpage tripartite). De la ligne 8 à 17, la lamentation et

FR20 - Proposition de commentaire rédigéCNED SECONDE FRANÇAIS 1 PROPOSITION DE COMMENTAIRE RÉDIGÉ Caligula est un empereur romain qui a vécu dans le premier siècle après Jésus-Christ. Il a marqué l’histoire par sa violence, sa cruauté et sa folie. Suétone l’a d’ailleurs bien décrit dans la Vie des Douze César. Camus, romancier, essayiste et dramaturge du XXe siècle choisit de reprendre ce personnage dans une pièce éponyme. Caligula, pièce moderne en quatre actes, qui fut composée en 1939 et représentée

seul à seule, se déclarent leur sentiment. - le duo amoureux est introduit par la célèbre litote : « Va, je ne te hais point » v. 963 qui permet à Chimène de révéler, avec pudeur, son amour. D’autres négations ponctuent son discours - le champ lexical de l’amour est fortement présent : par la métaphore du feu c) un amour douloureux : cependant si l’amour est réciproque, il s’accompagne de douleur. - Amour et douleur culminent dans l’échange de stichomythies du vers 985 à 991 • le lyrisme

utilise « vous » mais en s'adressant cette fois au cheveux. Tout au long du poème on rencontre plusieurs champs lexicaux notamment celui du sentiment amoureux « ô mon amour » (l.10); « amoureuse » (21);   « caresse » (l.23); « désir » (l.33); ainsi que le camps lexical du plaisir « extase » (l.3); « langoureuse » (l.5); « « pâment » (l.12) « éblouissant rêve » (l.14); « paresse » (l.24); le champ lexical du voyage est lui aussi très présent notamment avec tout les mots en rapport a l'océan, la nature ou

pièce.   b) Des aveux multiples. passage composé en cinq parties, avec trois parties distinctes dans la tirade. Hippolyte déclenche l’aveu de Phèdre, sa culpabilité la pousse à avouer : « pardonnez », « en rougissant », « à tort », « ma honte » (champ lexical de la culpabilité). La dernière réplique d’Oenone apporte la réelle conclusion de la scène : « Venez, rentrez, fuyez une honte certaine ». Retournement de la culpabilité passant d’Hippolyte à Phèdre. Tirade dévoilant une série d’aveux en trois

1ère personne du singulier a) "j'éprouvais, "Je sentais", "j'aurais voulu"  montre que René parle de lui 2) Champ lexical des sentiments négatifs a) "tristesse", "mélancolie", "solitaire", "vide", "manque"  met en lumière la mélancolie engendrée par son état d'insatisfaction CA: Le héros exprime le "mal de vivre" qui l'accable B.- René est exalté 1) Champ lexical des sentiments positifs a) "joie", "bonheur", "enchanté", "possédé"  montre que René connaît aussi de forts moments

faim On sent la tension dans sa tête : lorsqu’il compte sur ses doigts et qu’il n’y tient plus (« ça ne peut plus durer » On constate qu’il devient fou avec le brouillard de mots, lorqu’il titube, hanté par la nourriture => conduit à la folie et au crime (voir exclamatives) Cf ses visions hallucinées (tete de veau) => dessin animé ? - point de vue externe => fait divers annoncé : « un homme estimé a été égorgé… l’assassin lui a volé… » - point de vue omniscient : « elle est

l'imparfait (v.5 « répondaient », v.6 « frissonnait », v.14 « était ») ainsi que le passé simple (v.8 « s'acheva », v.4 « furent »). Ces temps sont utilisés pour les contes. On retrouve aussi un fort champ lexical de la religion, comme au vers 1 « abbaye », au vers 6 « prières » et au vers 8 « moine ». Ce champ lexical rappelle l'aspect religieux des contes, comme au Moyen-Age où ils délivraient un message chrétien, une morale. Le poème d'Aloysius Bertrand laisse aussi une place importante à l'imagination

l’extrait : À la scène 7 de l’acte 5, Thésée vient d’apprendre par le récit de Théramène la mort de son fils. Phèdre arrive à son tour. À la scène 5, Panope avait annoncé la mort d’Oenone et la folie de Phèdre. Celle-ci réapparaît après son absence du Vème acte. Elle n’est plus montée sur scène depuis sa folie jalouse. Il y a donc un effet d’attente pour le spectateur qui se demande ce qu’elle va dire. Présentation de l’extrait : Thésée est empli de doutes quant à la culpabilité de Phèdre. Il préférerait

«cercueil». Puis, Saint-Denys-Garneau représente la mort avec la maison : «Dans la maison morte /Car la maison meurt où rien n'est ouvert / Dans la maison close, cernée de forêts» (v.3-5) Baudelaire fait beaucoup de références à la mort avec le champ lexical de la mort puisque le personnage angoisse avec le fait de la venue de l'hiver. Cette saison représente en quelque sorte la mort de ce personnage et c'est pourquoi celle-ci est si présente. Dans le second poème, encore une fois, le personnage a