Chancelier impérial

» qui est entretenu par 1 200 000 personnes en 1914 surtout dans les zones luthériennes avec la culture de l’effort contre l’amollissement de la civilisation industrielle (=> contre les cathos): - deux groupes sociaux menacés par l’Allemagne impériale qui s’industrialise = la bourgeoisie de culture et la classe moyenne traditionnelle. - culture de la communauté (« Gemeinschaft ») où importance de l’individu => après la crise de 1905-1911 : formation prémilitaire (comme la France où la gymnastique

parmi les autres, c’Est la princeps. On désigne donc cette période sous le nom de principat. Il se présente comme le continuateur de la république en apparence, mais en réalité il marque le point de départ d’une monarchie impériale. A partir du IIIème siècle, le pouvoir impérial va devenir une fonction d’essence sacré, mais l’empereur lui-même devient sacré, on se prosterne devant lui comme devant les dieux, c’Est le dominat. L’empereur va éliminer tous les pouvoirs concurrents du sien. On voit apparaître

nombre de feuillets, il les lit et la discussion s’engage. Les notes de Diderot, restées entre les mains de l’impératrice et regroupées plus tard sous le titre d’Entretiens avec Catherine II, vont de la Constitution au Code civil, de la succession impériale à la police, du problème du luxe à la réforme des impôts nécessaire en France, de l’anatomie aux questions monétaires, des rues de Saint-Pétersbourg à la momie des rois. Frédéric II, au moment même où il commence à se brouiller avec Voltaire, trop

être hérité que par un descendant mâle de l’apanagiste, et que Charles le Téméraire, descendant de Philippe le Hardi, n’avait eu qu’une fille, le duché revenait automatiquement au domaine royal dont il était un démembrement. * Une ambition impériale d’une Europe dominée par les Habsbourg, dans lequel il jouera le rôle de défenseur de l’Église Romaine. Ces deux ambitions ne pouvaient que se heurter à l’hostilité de François Ier, gardien de l’intégrité du domaine royal et roi d’une France aux

armées commandées par Mac-Mahon et Bazaine ne regroupaient début août que 235 000 hommes alors qu’au-delà du Rhin les Allemands réunissent 500 000 soldats. Par ailleurs, la France s’était isolée du reste de l’Europe en déclarant la guerre. La guerre impériale fut donc de courte durée. Les français subissent rapidement leurs premières défaites, le 4 août 1870 à Wissembourg puis à Froeschwiller-Woerth, également en Alsace, et à Forbach-Spickeren le 6. Ces défaites trouvent leur explication notamment dans

contrainte de léguer des parties de son territoire aux pays gagnants, des payer une amende colossale et de ne plus posséder d’armés. L’Allemagne était humiliée. C’est alors qu’Hitler qui avait déjà manqué par une fois de faire un coup d’état, fut élu chancelier de l’Allemagne en 1933 avec le parti nazi. Ce dernier arriva en quelques années à mettre de son côté près de la moitié de l’Allemagne et à sortir cette dernière de la crise économique. Il éprouvait une haine considérable envers les juifs, les tsiganes

de Prusse, agacé, fait confirmer la renonciation du prince, en ajoutant qu'il « n'a plus rien d'autre à dire à l'ambassadeur ». Cependant son télégramme (la dépêche d'Ems), relatant son entretien avec l'ambassadeur de France, est réécrit par le Chancelier de Prusse Bismarck (même si Léopold s'est bien retiré), pour laisser croire à un congédiement humiliant de l'ambassadeur de manière à provoquer l'indignation des Français. Le premier ministre cherche en effet à abaisser la France, dont la position

Frank Rexroth, p. 84-85.a. Une royauté élective : manque de stabilitéi. Absence de continuité dynastiqueCharles IV Wenceslas 1378Frédéric III Maximilien 1493ii. Absence de capitale et d’administration permanenteiii. Intérêts de la maison royale/impériale vs. intérêts de l’Empireb. Une influence très diverse sur le territoire de l’EmpirePeter MorawRégions « proches du roi » (königsnah) : Franconie (Nuremberg)Régions « ouvertes au roi » (königsoffen) : Rhin supérieurRégions « loin du roi » (königsfern) :

régime qui succède à la république romaine qui a durée 5 siècles, à la fin du 1er siècle avant JC, l’empereur administre la RES PUBLICA suivant la formule des juristes romains, c'est-à-dire qu’il est titulaire d’une charge publique (la fonction impériale), d’une fonction officielle, qui consiste à gérer la chose publique dans un but d’intérêt commun. Il n’incarne pas le pouvoir il n’en est que le dépositaire au nom de l’intérêt collectif. En effet pour les penseurs romains, le pouvoir n’est pas une

: La République romaine → SPQR -27 jusqu'en 476 (pour le Rome impériale) et en 1452 (pour la Rome orientale) : commencement de l'Empire romain avec Octave, Auguste et César (le sénat ne vote plus les lois, c'est l'empereur qui dirige réellement). À partir du IIIe siècle : période absolutiste de l'empire, l'empereur se comporte comme un monarque absolu, il détient la loi, la justice, le gouvernement, les lois deviendront impériales). 3 périodes en histoire du droit romain : La période archaïque