Chandelle

.1 Son père, Adolf Gottlieb Friedrich, est un fabriquant renommé de savons ainsi que de chandelles. Quant à sa mère, Sophie Dorothea Bechly, elle décède en 1781 ainsi que sa sœur Elisabeth, de la variole lorsque Caspar avait à peine sept ans.2 Par la suite, les enfants sont élevés par une gouvernante qu’ils aiment beaucoup, « mère Heiden ».3 Cependant, le malheur s’abat encore sur la vie de cette famille. En 1787, un de ses cinq frères, Johann Christoffer rend l’âme dans la noyade en voulant sauver

de déguster les têtes de bécasse mais qui devra indemniser les perdants en racontant une histoire. Le réalisme repose ici sur le choix de détails concrets qui appuient l’effet de réel à partir d’un vocabulaire figuratif (« assiette, graisse, chandelle, épingle, bouchon, bâtons, goulot de bouteille »). Les étapes de la préparation sont présentées avec une scrupuleuse précision (« alors [...] puis [...] et ») tandis que l’évocation de la dégustation proprement dite (l. 74-77) suggère la saveur du

L’animateur des AGA doit être capable de proposer une pédagogie adaptée à la spécificité des acrobaties au trampoline (amplitude, rotations multiples, etc). - Débuter l’apprentissage du trampoline par l’acquisition et la maîtrise de la chandelle STOP, - Proposer des situations pédagogiques progressives en intervenant sur les variables amplitude, vitesse, quantité de rotation, réception sécurisante, etc., - Proposer des situations pédagogiques évolutives en respectant une logique

présent  soulignent  la  proximité  du rapport.  Il s’agit d’une  déesse:  jupons  (v.  10);  le  rapprochement du v.  13 est déjà plus déconcertant: «morts, Beauté».  Mais   que  penser  de  l’apposition­apostrophe  de  la  fin  du  v.   17:  «chandelle»,  puis  le  compliment  lié  à  l’insulte:  «Beauté,  monstre  énorme,  effrayant,  ingénu.  Ange  ou  Sirène»   relèvent  d’une  syntaxe   ambiguë,  même s’ils se  décèlent  attributs  du  sujet  d’un verbe: «que  tu  sois»,  sous­entendu! «Fée» 

apparel lecigue» (source ‘Wikipédi): en Poccurence la umiére ci, Nous nous arterons ii pour c= qui est des données scientifiques. ‘Lyhomme a toujours eu bein de 'élarr, il d’sbord commencé pa Jefe, puis pour la lamp dil est rive es bougies ct les chandeles ont alors frtement uslist, pour leur et pratique, ensuite ily eut apparition dela lampe a péwole et gaz, et enfin a iampe

- le rythme irrégulier du v 1, et surtout du second hémistiche évoque la fragilité de l’existence humaine confrontée à la menace du temps (6 +2 + 4) - l’adjectif « belle », mis en relief en fin de vers rencontre à la rime le mot « chandelle » : tout comme la chandelle s’amenuise, diminue avec le temps, la beauté se fane et s’éteint. Les verbes sont d’ailleurs à l’imparfait, un temps qui inscrit cette beauté dans l’ordre du révolu. Le poète lui est alors présenté comme mort, il n’est plus présent

exilé lui-même de toutes ces splendeurs, je vis un pauvre saltimbanque, voûté, caduc, décrépit ; une ruine d'homme, adossé contre un des poteaux de sa cahute ; une cahute plus misérable que celle du sauvage le plus abruti, et dont deux bouts de chandelles, coulants et fumants, éclairaient trop bien encore la détresse. Partout la joie, le gain, la débauche ; partout la certitude du pain pour le lendemain ; partout l'explosion frénétique de la vitalité. Ici la misère absolue, la misère affublée, pour

Commentaire linéaire : Ronsard, « Quand vous serez bien vieille … » Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle. » Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom, de louange immortelle. Je serai sous la terre et, fantôme sans os

Ronsard, Sonnets pour Hélène, II, XLIII Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : « Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle. » Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de « Ronsard » ne s'aille réveillant, Bénissant votre nom, de louange immortelle. Je serai sous la terre et fantôme sans os ; Par les ombres Myrteux

Beauté». Le tutoiement, le présent soulignent la proximité du rapport. Il s’agit d’une déesse: jupons (v. 10); le rapprochement du v. 13 est déjà plus déconcertant: «morts, Beauté». Mais que penser de l’apposition-apostrophe de la fin du v. 17: chandelle, puis le compliment lié à l’insulte: «Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu. Ange ou Sirène» relèvent d’une syntaxe ambiguë, même s’ils se décèlent attribut du sujet d’un verbe: «que tu sois», sous-entendu! «Fée» peut rester apposé, «Ô mon unique