Chanson à boire

A Nîmes Je me suis engagé sous le plus beau des cieux     Dans Nice la Marine au nom victorieux     Perdu parmi 900 conducteurs anonymes     Je suis un charretier du neuf charroi de Nîmes     L'Amour dit Reste ici Mais là-bas les obus     Épousent ardemment et sans cesse les buts     J'attends que le printemps commande que s'en aille     Vers le nord glorieux l'intrépide bleusaille     Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts     Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux

madame M. Madame M c’est la seule personne de la résidence à rester dans son lit pour prendre les repas; en effet madame M reste alitée une très grande partie de la journée suite à une hospitalisation. Elle refuse catégoriquement toute sortie à l’extérieur hormis le petit déjeuner dans la salle prévue à cet effet où elle a l’occasion de saluer certaine de ses amies. Madame M n’ait plus en capacité de se déplacer sans son fauteuil, elle a des troubles cognitifs importants, elle n’entend plus que

sakura a toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samouraïs et aux bushi. La vie était considérée comme belle et courte, telle une fleur de cerisier. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le sakura était un symbole servant à motiver le peuple japonais. Les pilotes nippons le peignaient sur les flancs de leur avion avant de partir pour une mission suicide, en tant que symbole de beauté et de nature éphémère. Le gouvernement encourageait les Japonais à croire

franciscain de Fontenay-le-Compte. Il étudie le grec et le droit dans les universités de Bordeaux, Toulouse, Orléans et Paris, et finira par enseigner la médecine en 1530. Les circonstance de sa mort restent mystérieuses, mais l'année aurait été définis à 1553. Gargantua est le second roman d'une saga de cinq livres, qui seront édités grâce au soutien du roi François premier. Il est publié en 1534, et appartient au mouvement culturel et littéraire de l'Humanisme. C'est une œuvre carnavalesque, mettant

Sequence 5 - Extrait 3 Une Tempête, Aimé Césaire L'indien à deux têtes. (de la page 57 jusqu'à la page 62) Caliban a interrompu un travail inuste (face à une rivalité avec Ferdinand) pour s'abriter de l'orage et des "sept gueules de la malédiction". Il n'a pas peur de Prospero. Stéphano et Trinculo sont deux rescapés du naufrage, l'un est un somelier ivrogne et l'autre un bouffon. Dans cet extrait le registre comique est fortement présent ( mais aussi le mélange des registres qu'on connait

Be Safe, travail de lecture. 1) Justifie le titre : « Be Safe » sont les mots que Jérémy emploi à la fin de chacun de ses mails. Ces deux mots signifient « Fais gaffe » ou encore « Sois prudent ». Cette expression a remplacé le vocabulaire courant de la salutation dans son camp où règne la peur de mourir ou d’être blessé lors d’une attaque. « Be Safe » est également le titre d’une chanson du premier album de Oskar et Marka. 2) Retrace l’évolution du personnage : Au tout début du roman

vénération vis-à-vis de Tristan : Énumération : « vieillards , enfants et femmes » pleurant et priant: ils l’accompagnent mais n’ont pas eux-mêmes de capacités héroïques et ne peuvent que le soutenir moralement. La répétition du mot « espoir »montre que c’est leur seule possibilité puisqu’ils ne peuvent se battre mais cet espoir est limité (le héros doit faire ses preuves) puisque cet espoir se nourrit de « chétive pâture ». Après le combat, les jeunes hommes se jettent à sa rencontre à la nage : la

froidure ; La vie m’est et trop molle et trop dure, J’ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j’endure, Mon bien s’en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois

Petits conseils pour votre premier marathon Vous avez décidé de vous attaquer à votre premier marathon et je vous en félicite. Comme le but de cette opération est de courir un maximum de km pour que l’association Laurette Fugain récolte un maximum de fond, je vais vous donner quelques petits conseils qui vous permettront je l’espère de vivre au mieux ce grand moment et de parcourir un maximum de km. Au niveau de l’entraînement, si vous désirez courir le plus longtemps possible il vous faut