Chanson Première De Clément Marot

classique. Au 9e S, le français fait son apparition. Nos contrés gauloises sont envahies par les romains et ensuite les barbares. La conséquence du mixte entre langue gauloise, germanique et latine donnera naissance au français. C’est au 9e S que les premières attestations de langue romane sont conservées. Néanmoins, l’Eglise joue un rôle essentiel dans le maintien du latin comme langue ecclésiastique et d’enseignement. Le fossé entre le latin et les langues vulgaires se creuse de plus en plus. On marque

moyen-âge littéraire :-âge intermédiaire entre antiquité et renaissance. Pendant V siècles.   L’Eglise qui permet ce regroupement. Pouvoir politique.        Pouvoir moral.                 Pouvoir littéraire. A l’époque textes religieux : -Les chansons de geste.                                              -Les croisades.                                              - Les poèmes lyriques reliquaires.         ⎬ Lu Lettrés(clercs).                                              -Les romans courtois

respectivement. Entre le Xème et le XVème siècle, nait et se développe la littérature française, chaque classe sociale se représentant à soi-même et à son idéologie a travers ses propres ouvrages littéraires : La littérature féodale, dont la chanson de geste, comme « La Chanson de Roland », est plutôt épique et raconte les exploits des chevaliers en idéalisant leur valeur. Elle va être très vite suivie d’une littérature courtoise, raffinée, concernant surtout des histoires d’amour, comme celle de « Tristan

théâtrale est son dynamisme. Avant l’écriture de ces pièces, il a existé un théâtre des farces, en marge, qui s’inscrit ponctuellement dans des spectacles religieux et moraux. Discontinuité dans la tradition, renaissance au XVème siècle. PREMIERE PARTIE _ORIGINES DE LA FARCE : LES AMBIGUITES DU THEATRE MEDIEVAL 1 . TRADITION MANUSCRITE ET IMPRESSIONS a) Les formes de transmissions. Format dit agenda => des textes en petits formats, documents de travail non destinés à être

considéraient la poésie comme un art imposant des règles rigoureuses mais fécondes Cependant, cette poésie garde les marques du Moyen-Âge par : Ses structures répétitives Son recours fasciné à l’abondance et à l’excès verbal La nouveauté vient avec Marot (introduction du sonnet, en France ; et cela même s’il continue les efforts des ces prédecesseurs en faveur des formes fixes telles que rondeau, ballade, …). En effet : Il est concepteur et patricien d’une poésie simple Au vocabulaire correct mais

nos erreurs et préjugés. » 35. DESPROGES Pierre, Fonds de tiroir : « Le rire n'est jamais gratuit : l'homme donne à pleurer  mais prête à rire. » 36. DOSTOÏEVSKI Fedor, Souvenirs de la maison des morts : « Il me semble qu’on connaît un homme à son rire et que, si à première rencontre, un inconnu rit d’une manière excellente, le fond est excellent. » 37. ECO Umberto : « Nous savons que nous allons vers la mort et, face à cette occurrence inéluctable, nous n'avons qu'un instrument : le rire. » 38. ESCARPIT Robert, Lettre

sont C’est toujours l’ombre et toujours la mal’heure Sur les chemins déserts où nous passons France et l’Amour les mêmes larmes pleurent Rien ne finit jamais par des chansons Aragon, Les Yeux d’Elsa, “Les Plaintes”, pp.61-64 ____________________________________________ Plus d’un siècle avant l’apparition

hermétique est incompréhensible. Cette vision simpliste des choses m’a toujours choqué, en quelque sorte, car on m’a toujours appris l’amour des mots et de leur sonorité. La poésie, bien qu’elle soit un art à part entière, prend ses racines dans la chanson, et, tel deux arbres qui grandiraient cote à cote, et dont les branches s’entremêlent, ils puisent chacun dans leurs ressources pour arriver à la forme la plus pure et plus complète de ce qu’un être humain peut concevoir . La poésie, c’est la musique

| |HATIER Annabac STG 2006 |Invention : Deux des textes de ce corpus sont devenus des chansons. Vous rédigerez un dialogue dans lequel un écrivain fait l’éloge de la mise| | |en musique de la poésie face à un autre qui affirme que la poésie n’a nul besoin

l’horizon, Aucune maison ! Aucune ! Maint voleur te suit ; La chose est, la nuit, Commune. Les dames des bois Nous gardent parfois Rancune. Elles vont errer ; Crains d’en rencontrer Quelqu’une. Les lutins de l’air Vont danser au clair De lune. La chanson du fou. Voyageur, qui, la nuit, sur le pavé sonore De ton chien inquiet passes accompagné, Après le jour brûlant, pourquoi marcher encore ? Où mènes-tu si tard ton cheval résigné ? La nuit ! – Ne crains-tu pas d’entrevoir la stature Du brigand dont