Chant D Automne

non seulement Didace Beauchemin, prêt à épouser Blanche Varieur, une étrangère du Bas-dufleuve, mais aussi toute la communauté du Chenal du Moine qu'il a rapidement marquée, au point que l'on parle maintenant, depuis le pas- 90 QUtBKfrançais «AUTOMNE 1995 «NUMÉRO99 sage de l'inconnu, de l'avant et de l'après Survenant. Dans une première version, l'auteure dévoilait l'origine de son héros. Alors qu'il se présente au presbytère pour discuter avec son curé de son éventuel mariage avec l'Acayenne

siècle décore, Tu t’honores toi-même, et celui qui honore L’honneur que tu lui fais par ta docte chanson. Las ! et nous cependant nous consumons notre âge Sur le bord inconnu d’un étrange rivage, Où le malheur nous fait ces tristes vers chanter, Comme on voit quelquefois, quand la mort les appelle, Arrangés flanc à flanc parmi l’herbe nouvelle, Bien loin sur un étang trois cygnes lamenter. Joac him du Bella y REGRETS, XXXI Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau

son siècle décore, Tu t’honores toi-même, et celui qui honore L’honneur que tu lui fais par ta docte chanson. Las ! et nous cependant nous consumons notre âge Sur le bord inconnu d’un étrange rivage, Où le malheur nous fait ces tristes vers chanter, Comme on voit quelquefois, quand la mort les appelle, Arrangés flanc à flanc parmi l’herbe nouvelle, Bien loin sur un étang trois cygnes lamenter. Joac him du Bella y R EGRETS , XXXI Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme

School, un pensionnat dans le Connecticut. Lana Del Rey a ensuite étudié la philosophie à l'université Fordham de New York. Autodidacte, elle améliore sa technique vocale dans les églises et les écoles de son enfance10, où elle expérimente d'abord le chant dans les registres aigus avant de se tourner plus âgée vers des notes plus graves, avec l'aide de sa grand-mère qu'elle qualifie d'excellente chanteuse11. Elle n'a donc jamais pris de cours et dit avoir pour seule base technique le plaisir de jouer

gracieux.Les Satyreaux aguetans des montagnes,Courent après : le gentil patoureauDe son flageol éjouit les campagnes.Dans les bosquets sur le verd arbrisseauOn oit chanter en son caquet sauvageEt plaindre Ityl le Daulien oyseau.Le ciel en rit, la prée et le bocage :Et semble encor la Naiade en ses flotsTrepignotant dancer au doux ramage.Mes chants plus gays ce sont tristes sanglots,Et mon bal c'est de mille pas la perte,Tous mes plaisirs mille espoirs vains et sots :Le triste noir, c'est ma couleur plus

une passante, Charles Baudelaire, 1860 * J’ai tant rêvé de toi, Robert Desnos, 1930 III- La tristesse et la solitude dans les poèmes * La complainte du Désespéré, Joachim du Bellay, 1558 * Spleen, Charles Baudelaire, 1857 * Automne, Guillaume Apollinaire, 1913 IV- La mort dans les poèmes * Remords posthumes, Charles Baudelaire, 1857 * Le dormeur du Val, Arthur Rimbaud, 1870 * Epitaphe, Gérard de Nerval, 1877 V- Le voyage dans les poèmes * Heureux

pour les mâles et de 8 à 12 cm pour les femelles. Nourriture Poissons ( petits ), insectes et parfois même leur propre têtards. Habitat Lieux humides avec une présence de nourriture ( mares, étangs,…). Elles hibernent lorsqu'il fait plus froid. Chant (cri) Coassement Prédateurs Gros poissons, hérons, martins-pêcheurs, et aussi l'homme même si les grenouilles sont une espèce protégée. Reproduction Ovipare Peau Assez lisse, parfois de plusieurs couleurs. Développement Métamorphoses ( œuf

ce qui montre que le lecteur a accès à une vision intérieure, l'intériorité du poète. → Il s'agit d'un moment propice apprécié par Baudelaire en raison de l'obscurité "soir" (v1), de la chaleur "chaud" (v1) "chaleureux" (v2), soleil couchant en automne. Une circonstance propice au rêve et à la méditation. → Sensualité provoquée par le moment, c'est le sein de la femme qui en est la source. → Correspondance : Conjonction de subordination "quand" indique la simultanéité entre les deux actions

revelation (3 derniers quatrains) I. La nature comme echo de sa souffrance : dedoublement avec son ame A. Constat d'une double souffrance < present d'enonciation, lexique mort/solitude B. L'amertume du poete correspond au cadre naturel < comparaison automne C. Ce constat amer et douloureux du poete qui s'adresse a son ame mobilise le registre elegiaque < sonorites nasales ≪ on ≫ ≪ i ≫ ≪ in ≫ II. La nature apaisante et consolatrice A. presentee comme une amie ou une mere < present verite generale

tant qu'artiste et ce que je prétends être. Poème en deux parties : 1) l'extase (du début jusqu'à "sans déduction") 2) La détérioration, la crise nerveuse Que les fins de journées d'automne sont pénétrantes ! exclamation, automne : saison du déclin, de la mort, fin de la journée : crépuscule rouge orangé, mais Baudelaire ne décrit ni les couleurs de la nature, ni le coucher de soleil ; absence de "pittoresque". Le poème suggère plus qu'il ne décrit, sorte "d'impressionnisme"