Chapeau de paille

souterraines jetaient à la rue, par leurs fenêtres basses, les miasmes infâmes des eaux de vaisselle et des vieilles sauces. Les concierges, en manches de chemise, à cheval sur des chaises en paille, fumaient la pipe sous des portes cochères, et les passants allaient d’un pas accablé, le front nu, le chapeau à la main. Quand Georges Duroy parvint au boulevard, il s’arrêta encore, indécis sur ce qu’il allait faire. Quelquefois cependant, grâce à sa belle mine et à sa tournure galante, il volait, par-ci

ces ruelles infestées de rats? -Je rentre à mon appartement, et vous donc? -Rien, je vis ici moi.. dit-il en lui tournant autour.. “Pouvez-vous me dire a quoi vous servent tout ses vêtements?” reprit-il -Comme vous pouvez le constater, il s'agit de chapeau, et de robes, se sont mes costumes pour le théâtre. -Ah, vous etes comedienne? Dit l'homme d'un rire sournois -Oui, je joue davantage dans les tragedies, comme Phèdre, elle reste ma preferée. Dit Eve en souriant doucement -N'commencez pas a m'embrouillez

amoindris et mis au même niveau que les chiens.   1er plan   Au premier plan, on aperçoit un homme cul-de-jatte qui circule dans un chariot à roulette. C’est un bourgeois : il est bien rasé, a de l’embonpoint, le teint rose, un blazer bleu et un chapeau melon. Il porte également une croix de guerre, un insigne de bravoure. Ainsi, on sait que cet homme est allé à la guerre. Il roule sur un tract antisémite où on peut lire : « Juden raus ! » (Dehors les juifs !) A gauche, on aperçoit une main appuyée

du Grand-Balcon,..., et, derrière lui, la petite Adèle ». III-Lancement de l'intrigue : Couple -On s'attend a voir le couple se séparer. On parle d'une malle de voyage et de son contenu avec le champs lexical des vêtements : « Vieux chapeau », « chemises », « chaussettes », « châle », « pantalon », « habits ». -accumulation de termes qui indiquent une séparation : « derrière lui , avait apparu la petite Adèle », « pour la première fois elle découchait », « croyait reconnaitre », « Lantier

personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis p lus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amour eusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire,

L’histoire commence vers 1817 lorsqu’un vieil homme arrive dans une étude d’avoués. Vêtu d’un manteau démodé et d’une cravate sale, pâle et affamé, il ressemble à un cadavre. Lorsqu’il ôte son chapeau, la perruque graisseuse se détache, révélant un crâne chauve déchiré par une profonde . Soumis aux railleries des clercs et traité comme un indésirable, on lui dit en plaisantant de ne revenir qu’à une heure du matin pour un rendez-vous avec de Maître Derville, le patron de l’étude. En le quittant

Claude Monet et Auguste Renoir, elle est la recherche de la couleur et de la lumière juste. De Manet : « Je peins ce que je vois et non ce qui plaît aux autres de voir ». Quelques peintres impressionnistes : Monet, Renoir ( Jeune fille au chapeau de paille ), Van Gogh ( Les tournesols), Gauguin ( Autoportrait ), Manet ( Le déjeuner sur l’herbe ),Cézanne ( Nature-morte aux pommes et aux oranges ) et Pissarro ( Le boulevard Montmartre la nuit ). Le bassin des nymphéas : Il a été peint en

plus frappants: - Elle est d'abord « assise », « toute seule », « éblouissement » de « ses yeux » - Sa tête est caractérisée par la rondeur harmonieuse de ses traits: « chapeau », « bandeau », « ovale du visage». Cela lui confère une première impression de douceur et de sensualité créée par le contraste des couleurs paille, rose et noir. - pureté des lignes découpées ( « se découpait sur le fond de l'air bleu ») - vêtements: douceur et légèreté du tissu (« mousseline» ); luminosité du motif

"lambeau", "ficelle", "paille", "fer" marquent la simplicité et le dénuement, un mobilier à la fois répugnant ("table graisseuse") et encombrant, inadapté à un espace étriqué ("lit de fer qui emplissait les deux tiers de la pièce"). Lieu exigu où la présence de la malle (pathétique personnification avec ses "flancs nus") témoigne de la situation précaire des occupants. Les marques de l'usure et de la destruction sont omniprésentes : adjectifs "pot ébréché", "vieux chapeau", "châle troué". Seule note

Poucet aperçut son père, il lui cria : - Tu vois, père, me voilà avec la charrette. Fais-moi descendre. Le père retint le cheval de la main gauche et, de la droite, il sortit son petit garçon de l'oreille. Celui-ci alla s'asseoir sur un brin de paille, tout joyeux. Lorsque les deux étrangers virent le Petit Poucet, ils restèrent muets d'étonnement. L'un d'eux prit l'autre à l'écart et lui dit : - Écoute voir : ce petit pourrait faire notre bonheur si nous le montrions pour de l'argent dans une