Chapeau de paille

Romantisme L’un des principaux mouvements littéraires du XIXe siècle, actif approximativement de 1790 à 1850. 1851 Labiche, Un chapeau de paille d'Italie [pic]Eugène Labiche, maître de la comédie et du vaudeville, manie le burlesque pour mieux pointer le ridicule d'une bourgeoisie rentière assoiffée de beaux mariages mais empêtrée dans l'adultère. Un chapeau de paille d'Italie est le type par excellence du vaudeville dans la seconde moitié du XIX siècle. 1857 Baudelaire (1821-1867), les Fleurs

joueurs s’assoient. Celui qui n’a pas de chaise est éliminé. 14. Chapeaux musicaux Variante de la chaise musicale. Les joueurs sont en cercle et chacun porte un chapeau sauf un. Lorsque la musique commence, on doit ôter son chapeau et le passer à son voisin de droite et mettre celui qu’on reçoit et ainsi de suite. Celui qui n’a pas de chapeau lorsque la musique arrête est éliminé. 4 15. Colin Maillard Un joueur a les yeux bandés. On le fait tourner trois fois sur lui-même et les autres se placent

distingua personne, dans l’éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu’il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses, qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée

disait ça ? ESTRAGON. — Tu ne veux pas m'aider ? VLADIMIR. — Des fois je me dis que ça vient quand même. Alors je me sens tout drôle_. (Il ôte son chapeau, regarde dedans, y promène sa main, le secoue, le remet.)_ Comment dire ? Soulagé et en même temps... (Il cherche) ... épouvanté. (Avec emphase.) É-POU-VAN-TÉ. (Il ôte à nouveau son chapeau, regarde dedans.) Ça alors ! (Il tape dessus comme pour en faire tomber quelque chose, regarde à nouveau dedans, le remet.) Enfin... (Estragon, au prix

Raymond Queneau Exercices de style © Editions Gallimard, 1947. Le narrateur rencontre, dans un bus, un jeune homme au long cou, coiffé d’un chapeau orné d’une tresse au lieu d’un ruban ; Le jeune homme change quelques mots assez vifs avec un autre voyageur, puis va s’asseoir à une place devenue libre. Un peu plus tard, le narrateur rencontre le même jeune homme en grande conversation avec un ami qui lui conseille de faire remonter le bouton supérieur de son pardessus. Cette brève histoire

qu’il mettait les perles, le serpent devait faire marche arrière pour les récupérer. La semaine qui suivit, le serpent à son tour alla au marché et rapporta un joli chapeau à son amie. La chauve-souris, ravie le mit sur sa tête et sortit de la maison. Mais quand elle volait, elle devait toujours s’arrêter pour récupérer son chapeau tombé au sol. Une fois de retour elle s’emporta contre le serpent pour ce cadeau empoisonné et mit fin à leur amitié. Depuis ce jour le serpent et la chauve-souris sont

Avoir une (très) forte érection (vulgaire). Baptiser au sécateur Circoncire. Bâtir des châteaux en Espagne Vivre de rêves irréalisables. Synonyme : « Tirer des plans sur la comète ». Bavard comme une pie Très bavard. En baver des ronds de chapeau Souffrir. Bête à manger du foin très bête. Blanchir quelqu'un Mettre quelqu'un hors de cause. Blanchir sous le harnais Obtenir de l'expérience. Boire du petit-lait Savourer une situation. Boire la coupe jusqu'à la lie Assumer les conséquences

regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était

? Oui, je les vois, Tous les deux. Ils sont deux, ils pourraient être trois. Voici l'heure d'aller se promener dans l'ombre Des grands bois, pleins d'oiseaux dont Dieu seul sait le nombre Et qui s'envoleront aussi dans l'inconnu. Il a son chapeau blanc, elle montre un pied nu, Tous deux sont côte à côte ; on marche à l'aventure, Et le ciel brille, et moi je pousse la voiture. Toute la plaine en fleur a l'air d'un paradis ; Le lézard court au pied des vieux saules, tandis Qu'au bout des

distingua personne, dans l'éblouissement que lui envoyèrent ses yeux. En même temps qu'il passait, elle leva la tête ; il fléchit involontairement les épaules ; et, quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l'ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée