Chapeau de paille

peintre. On ne peut pas le savoir parce qu'il n'y montre pas son matériel de peinture. Rien ne traîne, pas même une boîte dans un coin ou un pinceau. Il travaillait dehors pendant des heures et des heures chaque jour (on voit ses vestes et son chapeau de paille au fond). Cette chambre au contraire était faite pour la détente. Là, il pouvait enfin oublier sa fatigue, se réconforter, dormir en paix. Il voulait que son tableau exprime cette idée du repos. Analyse Dans une lettre adressée à son frère

d’une amitié d’enfance. Les premiers échanges se font souvent grâce à des intermédiaires, le curé, le colporteur ou une connaissance, du moins dans les premiers temps, comme le confie Louis Simon dans ses mémoires, sur son idylle avec Anne Chapeau en 1765 : […] Elle hazarda de confier Son Secret a une femme mariée a un jardinier nommé Lemer ou St Louis [ …] …Elle lui dit donc une veille de toussaints en balayant leglise du Couvent toute deux [ …] … « O mon Dieu quil y a ici un garçon qui me

descend est déserte. Il déjeune dans un café-restaurant et demande où est la rue des Coquelicots. On lui indique le quartier ouvrier. En chemin, il hésite sur la direction à prendre. Il s'adresse à deux femmes. La plus jeune, brune, coiffée d'un chapeau de paille, le dévisage avec insistance. Elle lui propose de l'accompagner, et se détourne en rougissant. Il lui indique le numéro de la rue (le 7). Elle pâlit. C’est Marie-Pierre. Elle a les yeux noirs, la peau mate, les pommettes hautes, le cou altier

des roses,. Elle s'égayait des merveilles que la nature lui offrait. Ses boucles noirs s'envolaient sous la brise légère du vent, et à chaque instant ses beaux yeux bleus se rassasiaient de bonheur. D'un geste gracieux, elle replaça son petit chapeau de paille sur sa belle chevelure. Elle revînt d'un pas léger vers son village, tenant de sa fine main, sa robe bleu clair qui traînait par terre. Doucement, ses fines lèvres rosées, laissèrent apparaître ses belles dents blanches dans un jolie sourire

pour qu’ils puissent se rapprocher de la nuance originale. La naissance du Dauphin, premier fils de la Reine, offrit une multitude d’opportunités en ce qui concerne les modes. Une nouvelle teinte, surnommé « Caca Dauphin » fit fureur comme le « chapeau à la Malborough » mis à la mode par la berceuse de la nourrice du prince. Adolf Ulrich Wertmuller, Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France, et ses enfants Cette année là, Marie Antoinette imposa le blanc qui deviendra sa couleur

semblera débarquer sur un tournage ! Les hommes portent la barbe, sont vêtus de bure noire grossière et d’un large chapeau également noir. Les femmes n'ont pas le droit d’être habillées de robes avec des boutons (trop voyants) ; alors elles utilisent des lanières et des agrafes pour fermer leurs vêtements, très simples, et attacher leurs tabliers. Elles doivent aussi porter un chapeau ou plutôt un bonnet. Le plus frappant, c’est leur maintien : ils sont droits, fiers, minces, hauts dans leur allure

que je chasserais avec le Roi dans la forêt de SaintGermain. Je m'acheminai de grand matin vers mon supplice, en uniforme de débutant, habit gris, veste et culotte rouges, manchettes de bottes, bottes à l'écuyère, couteau de chasse au côté, petit chapeau français à galon d'or. Nous nous trouvâmes quatre débutants au château de Versailles, moi, les deux messieurs de Saint-Marsault et le comte d'HautefeuiIle. Le duc de Coigny nous donna nos instructions : il nous avisa(1) de ne pas couper la chasse

l’entraînement des Gardiens… Soudain, j’entends un : - Un ange tombé du ciel à la mer ! Remplis d’espoir, je lève pour la énième fois depuis le début de mon périple la tête, vois le navire et… son pavillon noir avec une tête de mort et un chapeau de paille ! One Piece ! J’étais devenue la Gardienne d’One Piece ! « Et ben : ça va pas être de la tarte de surveiller cette dimension… ! » On me lance une bouée que j’attrape avec reconnaissance et un blond aux sourcils en spirale qui ne pouvait

la petite cuiller Il a tourné Il a bu le café au lait Il a reposé la tasse Sans me parler Il a allumé Une cigarette Il a fait des ronds Avec la fumée Il a mis les cendres Dans le cendrier Sans me parler Sans me regarder Il s’est levé Il a mis Son chapeau sur sa tête Il a mis Son manteau de pluie Parce qu’il pleuvait Et il est parti Sous la pluie Sans une parole Sans me regarder Et moi j’ai pris Ma tête dans ma main Et j’ai pleuré. La force de ce poème réside dans l’enchaînement des actions. Noms

mit une capote3 blanche avec un seul nœud rose : elle le noua d’une main fine et potelée4, une de ces mains dont on rêve longtemps et qu’on brûlerait de baisers. 1. Pelisse : manteau, double ou garni de fourrure. 2. Festonné : bordé. 3. Capote : chapeau de femme, garni de rubans. 4. Potelée : qui a des formes arrondies et pleines. Texte 2 Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, première partie, chapitre I, 1869 Le 15 septembre 1840, sur un bateau, La Ville-de-Montereau, qui descend la Seine