Chaque Homme Doit Inventer Son Chemin

artisanale se transforme en une société commerciale et industrielle. Le développement du chemin de fer, de la métallurgie permet cet essor. C’est ainsi que des bourgeois d’industriels et commerçants font fortune. De différents régimes politiques se succédèrent. Le droit de vote universel fut voté. L’école laïque obligatoire de 6 à 13 ans fut instaurée par Jules Ferry. Le chemin de fer et le train furent inventés et toutes les grandes villes de France furent reliées par la voie ferrée. Durant le Second

possible en son genre, à quoi on ne peut rien ajouter ni retrancher. Or ce n'est a priori pas le cas de l'homme, du moins lors de sa venue au monde. Il ne naît pas "complet", "achevé". On ne peut guère plus qualifier l'humanité de finie. (Car le terme homme du sujet nous pousse bien à envisager la double perspective qu’engage forcément ce mot à savoir l’homme en tant qu’individu ou l’homme désignant l’humanité.) Mais l'écrivain et humoriste français Alphonse Allais rétorque : "L'homme est plein d'imperfections

qu’elle doit aller dix-sept fois plus vite que la terre. Mais, non seulement qu’il fallait prouver que la force centrifuge existe, mais même si elle existait, elle s’est démontrée fausse comme la cause de la pesanteur. M. Newton a montré que ces tourbillons n’existaient pas. Premièrement, en ce qui concerne le petit tourbillon de la terre « il est prouvé qu’il doit perdre petit à petit son mouvement ; il est prouvé que si la terre nage dans un fluide, ce fluide doit être de

Stendhal Paul Desalmand   Conférence prononcée le 5 décembre 2001 à la Bilbliothèque historique de la Ville de Paris dans le cadre des activités de l'Association des amis de Stendhal. *****   D'après un propos rapporté, Sartre aurait dit que tout homme qui, à vingt ans, n'a pas été amoureux de la Sanseverina, avait toutes les chances de ne pas être très intéressant. De source plus sûre, on sait qu'entre vingt et trente ans, il a plusieurs fois résumé son ambition en disant qu'il voulait être à la

être réel rencontre des obstacles, ne seraient-ce que les lois physiques, il serait en outre absurde de penser qu’on puisse être libre en suivant qqch, surtout qqch comme le désir, dont on ne décide pas ! Si je suis un guide, je ne suis pas libre du chemin que je prends… et si en plus je n’ai pas choisi le guide, cela éloigne encore plus la liberté. En prenant l’exemple d’un alcoolique, on comprend bien : c’est parce qu’il ne peut QUE suivre son désir de boire, qu’il ne peut pas lui dire non, lui faire

Dissertation Sujet : Le personnage principal doit-il être obligatoirement un héros ?“Le personnage est d'abord un texte.”de Louis Jouvet, il semble être fictif, irréel de papier inventé par l'auteur. Il est au centre de l'intrigue et est le pilier du roman. Il vit les actions de l'intrigue, possède une identité et un caractère et un physique proche de l'être humain. À ce titre, le personnage principal doit obligatoirement être un héros. "Obligatoirement", ce n'est pas uniquement devoir ou des contraintes

volonté ? Problématique : La question posée par le sujet est adressée à l’esclave ou au disciple : doit-il se donner un maître ? Cela est paradoxal, car en règle générale le maître est celui qui décide pour ceux qu’il domine. Nous devons comprendre qu’il n’y a, en vérité, de maître que par la reconnaissance d’autrui. C’est un premier paradoxe. Il en appelle un second : comment un homme peut-il se reconnaître un maître ? Peut-il nier sa liberté pour s’assujettir à un autre ? Cela est incompréhensible

Bernanos) : histoire du mal vu par un chrétien. Mauchette, 16 ans, fille unique est promise à une vie toute réglée. Elle est une âme forte et veut autre chose. Elle s’enfuie et va devenir la maîtresse d’un notaire. Elle le tue et va se suicider. Sur son chemin, elle rencontre l’abbé Donissan qui va lui dire : «ta vie répète d’autres vies» (tu es inscrite dans une histoire du mal). Parallèle avec Giono : l’histoire de Thérèse s’inscrit aussi dans une histoire du mal. Albert Camus : «La mort c’est une aventure

rêve un ange qui lui suggéra : « Construis une maison au moyen de tessons. » Gabriel se mit à collectionner les carreaux brisés, les assiettes, les bibelots et les bouteilles cassés. « Chaque morceau devient beauté », disait-il de son ouvrage. Pendant quarante ans, les habitants du voisinage affirmèrent que cet homme était fou, mais plus tard des touristes découvrirent sa maison et en parlèrent autour d’eux. Gabriel devint un génie. Puis la nouveauté passa, et il retourna à l’anonymat. Cependant, il

simplement une idée qui le dépasse ? Dans un premier temps, nous allons tenter de démontrer que le chemin de la vertu n'est pas très éloigné de celui du bonheur et que celle-ci se travaille ; ensuite que l'homme ne peut pas toujours avoir ce qu'il veut d'un point de vue moral et enfin qu'il ne sait pas réagir face au temps. Quelle est la place de la vertu dans le bonheur ? N'est-ce pas deux chemins qui se rencontrent ? Le bonheur dépend-t-il aussi de l'extérieur ? La vertu, le travail sur soi