Chargé De Clientele Bmci

S.C.A.E Les deux enjeux principaux du nouveau dispositif Bâle II, définie pour une population très large de banques sont d’une part, de développer une gestion plus efficace du risque de crédit grâce à une meilleure évaluation du risque et des charges en capital associées, d’autre part de renforcer le rôle préventif de contrôle prudentiel. Elle doit, pour le moins, préserver le niveau actuel des fonds propres dans l’ensemble du système bancaire. Dans ce mémoire, il sera présenté dans un premier

sachant éliminer les produits devenus obsolètes. A- La création de nouveaux produits : La création de nouveaux produits bancaires se justifie à double titre : les besoins de la clientèle existante évoluent et il faut savoir anticiper et accompagner les évolutions : de nouveaux produits sont susceptibles d’attirer une clientèle nouvelle. La mise au point de nouveaux produits bancaires relève de l’innovation financière et il est habituel de distinguer les innovations de produit et les innovations de processus

des fourni sseurs et donc des cho ix poss ibles pour les clients. E n plus des banques de réseaux traditi onn e ll es, de nouveaux interlocute urs, à l' im age des assureurs et des grands di stributeurs, ont cherché à conquérir une partie de la clientèle de la banque de déta il (Des Garets, Paquerot et Sueur, 2009). La concurren ce accrue qui existe maintena nt se traduit par un e préoccupation grandissante des instituti ons fin anci ères à ma intenir des relations durabl es avec leurs cli ents (Bergeron

supervise un certains nombres d’employés appelés : Employés Libre Service. - Départements fonctionnels : Comme toute grande entreprise, Marjane se doit d’avoir une organisation interne renforcée et coordonnée, en tété une direction qui se charge de la gestion du magasin, de la gestion du personnel ainsi que de l’expansion de Marjane. Sous cette direction on trouve des départements et des services qui sont opérationnels ou administratifs. 1. Service personnel : Le service

de Développement des Etats de l’Afrique Centrale ; BDG : Banque Gabonaise de Développement ; BEAC : Banque des Etats de l’Afrique Centrale ; BGFI : Banque Gabonaise et Française Internationale ; BMCE : Banque Marocaine de Commerce Extérieure ; BMCI : Banque Marocaine pour le Commerce et de l’Industrie ; BSF : Bons de Société de Financement ; BT : Billet de Trésorerie ; BVMAC : Bourse des Valeurs Mobilières de l’Afrique Centrale ; CAA : Caisse Autonome du Cameroun ; CD : Certificat de Dépôt ;

les dispositions de ladite loi et de la réglementation qui en découle. Elles sont, de par cette loi même, tenues d’adhérer à l’Association Professionnelle des Sociétés de Financement (APSF). Les 10 sociétés membres de l’APSF sont : Attijari Locbail, BMCI Leasing, Caisse Marocaine Des Marches, Chaabi Leasing, Crédit Du Maroc Leasing, Diac Leasing, Maghrebail, Maroc, Leasing, Sogelease, Wafabail. Jusqu’en 1996, date d’entrée en vigueur du code de commerce (loi 15-95 du 1er Août 1996), les contrats de

acteurs du marché boursier casablancais sont : La bourse de Casablanca: La Bourse de Casablanca est une société anonyme en charge de l’organisation et de la gestion du marché boursier. Elle est placée sous la tutelle du Ministère des Finances et de la Privatisation et ses parts sont détenues à parts égales par les sociétés de bourse. Sa gestion est définie par un cahier des charges et concerne principalement l’organisation des introductions en bourse, la gestion des séances de cotation, la diffusion

beaucoup de patience et de pédagogie, à savoir : * MR ABDLOUHAB EL MAALFI : chef d’agence MY KAMEL * Mme NAIMA AIT EL HAJ : agent commercial (responsable administrative) * Mlle MAJDOULINE BENNANI : charge des produits * Mlle KHANSAE MELLOUK : caissière J’exprime ensuite ma gratitude au directeur de l’ENCG de Fès, ainsi que mon encadrant Mr Hmioui et toute personne ayant contribué de près ou de loin a l’élaboration de ce modeste travail

09 4/23 École Supérieure des Industries de Textile et de l’Habillement ATLANTA II. LE METIER D’ASSURANCE : Le mécanisme du métier d’assurance s’appuie sur la compensation des risques. L’assureur doit être capable de prévoir les charges qu’il aura à supporter du fait des risques qu’il couvre lorsqu’il établit ses polices d’assurances. Ces évolutions sont effectuées grâce au calcule de probabilité réalisé par un actuaire. Le montant des polices d’assurance est fonction de la probabilité

rédigés à plusieurs mains ou de longues heures de « gymnastique » intellectuelle aussi épuisantes que tardives devant un tableau noir. Je tiens à présenter mes sincères remerciements à l’ensemble des ressources humaines de la Direction Régionale de la BMCI qui, grâce à leurs encouragements et encadrements, j’ai pu m’intégrer aisément au sein de l’équipe de travail. Je tiens à remercier en particulier l’équipe des analystes financiers pour leurs encouragements, leurs encadrements et leurs conseils