Charles Baudelaire Les Tenebres

BAUDELAIRE : LES FLEURS DU MAL : HARMONIE DU SOIR Introduction : · Ce poème des "Fleurs du Mal" de Charles Baudelaire fait partie du cycle de l'amour : c'est l'avant dernier poème consacré à Mme de Sabatier. · Il est fondé sur l'harmonie, avec un ensemble de 4 quatrains formés d'alexandrins, et de rythmes et sonorités organisés : le pantoum. Lecture : Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du

BEAUTE DE BAUDELAIRE problématique : comment ce poème exprime-t-il l'admiration du poète pour la Beauté et sa recherche d'une définition ? Plan : I-L'origine et la nature de la Beauté a) recherche de l'origine, un mystère qui s'interroge b) Une oscillation entre le Bien et le Mal c) une nature et des effets contradictoires II) une hymne à la toute puissance de la Beauté a) un pouvoir de fascination b)le rôle dans l'existance du poète c)un hymne d'amour et de mort INTRODUCTION : Charles Baudelaire

c)Jeanne DUVAL 3. Spleen et idéal a)le spleen b) les expressions permettant d’illustrer le spleen ressenti par Baudelaire c)l’idéal pour Baudelaire 4. Jeanne…spleen ou idéal ? a)une médiatrice entre le réel et le rêve b) le rôle salvateur de Jeanne DUVAL

Commentaire composé « Le Vieux Saltimbanque » de Charles Baudelaire. Publié pour la première fois dans la Revue fantaisiste le 1er novembre 1861, le poème « Le Vieux Saltimbanque » de Charles Baudelaire se présente sous la forme d’une anecdote urbaine. A se perdre dans les faubourgs ou sur les boulevards, il gagne d’assister à des scènes étonnantes et dans les cas présent, le poète nous fait part de sa vision d’une fête foraine. Le poème repose sur une confrontation, une rencontre entre

Documents A – Charles Baudelaire, « Rêve parisien », Les Fleurs du mal, 1857. B – Paul Verlaine, « Cauchemar », Poèmes saturniens, 1866. C – Raymond Queneau, « En cas d’arrêt même prolongé », Courir les rues, 1967. m 1. Par quels éléments le lecteur se rend-il compte que ces poèmes présentent des rêves ou des rêveries ? (3 points) m 2. Relevez, en les commentant, les marques de l’angoisse dans chacun de ces textes. (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter

l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Charles GUÉRIN   (1873-1907) Fleurs de neige * Requiem d'automne Tout ce que le monde m'offre ici-bas  pour me consoler me pèse. Imitation de Jésus-Christ.  L'automne fait gronder ses grandes orgues grises  Et célèbre le deuil des soleils

poétique la boue et l’or Charles Baudelaire est un auteur du XIXe siècle, né en 1821 et mort en 1867. Il se démarque des courants et des mouvements de son temps parce qu'il les englobe tous. Il appartient à une famille aisée mais il est en conflit avec son beau-père et il vit une adolescence agitée. On retrouve chez lui des caractéristiques propres au mouvement romantique comme la fascination pour la mort ou un sentiment d'angoisse existentielle qui prend chez Baudelaire d'ailleurs le nom de

François-René de Chateaubriand, 1861 Le Soir dans une Vallée, François-René de Chateaubriand, 1861 Nuit de Printemps, François-René de Chateaubriand, 1861 Poème préféré de Nelson Mandela, William Ernest Henley Tristesse de la lune, Charles Baudelaire Recueillement, Charles Baudelaire A travers ces

Laura VANEL-COYTTE Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval  Mémoire de Maîtrise sous la direction du professeur Patrick Marot, soutenu le 25 septembre 2001 à l’université de Toulouse le Mirail, UFR  de Lettres, Philosophie et Musique, département de Littérature Française. TABLE DES MATIERES (avec modifications post-impression et soutenance) Page N° INTRODUCTION

pavillon de ténèbres tendues, Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond ; Sur les bords duvetés de vos mèches tordues Je m'enivre ardemment des senteurs confondues De l'huile de coco, du musc et du goudron. Longtemps ! Toujours ! Ma main dans ta crinière lourde Sèmera le rubis, la perle et le saphir, Afin qu'à mon désir tu ne sois jamais sourde ! N'es-tu pas l'oasis où je rêve, et la gourde Où je hume à longs traits le vin du souvenir ? La chevelure Poèmes de Charles Baudelaire