Charles de Basse-Lotharingie

fils le bâtard Charles Martel lui succède et donne alors l’essor décisif à cette lignée. En effet Charles poursuit les conquêtes (en Germanie et en Aquitaine) et dans le même temps conjure la menace arabe en 732 à Poitiers. Il devient alors ainsi le sauveur du royaume. Lui aussi, comme son père, continue de se ménager l’appui de l’Église. Quand il meurt en 741 une œuvre considérable est accomplie car il a reconstruit l’unité d’un royaume entièrement chrétien. À la mort de Charles on remarque que

apparaît : celui d'Afflighem. A cette époque, Nivelles n'était plus bénédictine et Gembloux n'était pas encore brabançonne : seule Affli­ ghem, fondée en 1083, rayonnait, non seulement en Brabant d'ail­ leurs avec ses prieurés pour hommes de Frasnes, Basse-'Yavre ou Vlierbeek et pour femmes à Forest et à Grand-Bigard, mais son « empire » s'étendait jusqu'en Flandre avec ses prieurés de Bornem et de Saint-André et même jusque dans la vallée du Rhin, pendant quel­ ques années, avec son prieuré de �Iaria-Laach

puissance religieuse mais aussi une puissance militaire. Ils remontent dans le royaume des Francs jusqu'à Poitiers. A Poitiers, en 732, les arabes sont arrêtés par Charles Martel. Charles Martel était un maire du palais du royaume d'Austrasie. C'est une victoire importante à tous les niveaux. Le prestige rejaillit sur le vainqueur, Charles Martel est celui qui a sauvé le monde chrétien mais pourtant ce n'est pas lui qui va être récompensé mais son fils : Pépin le Bref. C'est Pépin le Bref qui va se

sacre. Ce sacre doit permettre de concrétiser la fonction royale et de légitimer le coup d’Etat. PEPIN le Bref est sacré une première fois en 751 par les évêques du royaume. 754 : PEPIN est sacré une deuxième fois mais avec ses deux fils CHARLES et CARLOMAN. Cette fois ils sont sacrés par le Pape lui-même. Il s’agit ici de marquer une nouvelle dynastie. En sacrant les fils même temps que le père le principe héréditaire est posé. Le Pape interdit aux Franc sous peine d’être excommunié

réunir à l’Austrasie, la Neustrie et la Bourgogne. - Il maintient un roi, restant lui, le maire du palais. Il se cache derrière un roi de façade, incapable, ce qui permet de justifier sa position. - Il meurt en 714 et parmi ses fils, le troisième Charles Martel, lui succède et finit d’asseoir la future dynastie royale notamment en arrêtant les Arabes à Poitiers en 732. Il apparaît comme le sauveur du royaume et s’attire la bienveillance de l’Eglise. - Il meurt en 741 en ayant reconstitué le royaume

l’empire carolingien mais il ne met pas fin aux rivalités entre les trois souverains de trois royaumes de l’empire qui imergent alors : Francis occidentalis Germanie Royaume de Lothaire Leurs succésseurs se disputent le titre impérial. En 888, Charles le Gros disparaît apres avoir été déposé. On peut considerer que c’ets la fin de l’Empire Carolingien. Certes le titre imperial se maintient officiellement jusqu’en 924 mais dans la pratique, il est depourvu de toute signification.  L’année 888

typologiquement, de l’italien. Son lexique 10 reflète certaines influences substratales (méditerranéen, ibère) et quelques traces du grec, mais peu d’influences germaniques. Le Pays basque s’étend largement en France et en Espagne. Labourd, Soule et Basse-Navarre sont les provinces historiques du Pays basque français. Il comprend une région fortement touristique, avec la côte atlantique, une région montagneuse, et une partie de la vallée de l’Adour. Les Basques, volontiers aventureux, tenaces, luttent

Verdun (carte 4). L’Empire carolingien correspond donc à un espace partagé. On voit apparaître un espace qui ressemble à la France d’aujourd’hui : la « Francie occidentale ». Mais les frontières ne sont pas les même à l’Est. Cet espace s’oppose à « Lotharingie » et à la « Francie orientale ».      b)     La monarchie capétienne fait la France (987 → 1792) En 987 a lieu l’avènement d’Hugues Capet. Apparaît alors une nouvelle dynastie (la 3ème dans la lignée des rois de France). La réussite des Capétiens

va se révéler être essentiel au fondement du pouvoir monarchique jusqu’en 1789 1. La prise du pouvoir par les carolingiens. Cette prise du pouvoir on l’a doit a PEPIN de HERSTAL et date de 751. Maire du palais (car son père l’était aussi, Charles Martel). Il est donc l’homme le plus important. Cette prise du pouvoir par les carolingiens s’explique par la monté en puissance des maires du palais et à la faiblesse des derniers rois mérovingiens qui est lié à plusieurs éléments Cette dynastie

de constance. Ce concile (assemblée d'évêques) proclame qu'au sein de l'église la puissance suprême est détenue non pas par le pape mais par un concile suprême. Le pape doit se soumettre à cette autorité, c'est la théorie conciliaire. En 1438 Charles 7 (roi de Fr) réuni à Bourges une assemblée du clergé de France qui va prendre parti en faveur de cette théorie conciliaire. Ces thèses sont reprises dans une ordonnance enregistré en 1439 et connue sous le nom de pragmatique sanction de Bourges.