Charles Ier d'Orléans

textes : La figure de Don Juan en poésie Pierre de Ronsard Objet(s) d’étude : I. Renaissance et Humanisme II. Poésie : Esthétique et quête du sens du Moyen-Age jusqu'à nos jours Né en 1524, à la Possonière, dans le Vendômois, sous François Ier Issu d’une famille de petite noblesse Son père, Louis de Ronsard, participe les 13 et 14 septembre 1515 à la bataille de Marignan Bataille de Marignan permet des contacts entre la France et l’Italie, ce qui provoque la renaissance Italie enrichie

voyages de Cartier21, il serait vain d'y chercher quelques indices sur sa personnalité et sa carrière maritime avant 1530. Pour expliquer la genèse du premier voyage de 1534, et connaître les circonstances entourant le choix de Cartier par François Ier, roi de France, deux documents postérieurs aux événements et, comme l'on peut s'y attendre, relatant différemment les faits, ont été employés par les historiens. Le premier, le plus anciennement utilisé par les auteurs, est tiré de l'Histoire de la

persuade Louis- Philippe d'Orléans, scrupuleux et hésitant, de prendre le pouvoir. Plusieurs fois ministre, il professe des idées libérales avancées tout en appliquant des méthodes de gouvernement autoritaires. En 1840, sa politique trop hardie engage Louis-Philippe à se séparer de son "petit ministre". Déçu par la monarchie, il devient républicain, accueille favorablement la révolution de 1848, soutient la candidature à la Présidence de Louis-Napoléon, neveu de Napoléon Ier, puis dénonce le coup d'état

autoritaire, représentée fondamentalement par Louis XIV (1643-1715). Le premier roi de la monarchie autoritaire, de l'Ancien Regime en France, sera Charles VII, qui sera celui qui finit la Guerre de Cent Ans. Les caractères fondamentaux de l'Ancien Régime sont : Le plan politique : Renforcement du pouvoir du roi, le roi devient source unique de tout pouvoir. (Charles VIII). L'unification territoriale, le but était d'unir tous les fiefs sous domaine royal, qui, initialement, a été limitée à l'Ile de France

partie de sa petite enfance dans la campagne de son pays au château de Coarraze[6]. Fidèle à l'esprit du calvinisme, sa mère Jeanne d'Albret prend soin de l'instruire dans cette stricte morale, selon les préceptes de la Réforme. À l'avènement de Charles IX en 1561, son père Antoine de Bourbon l'amène vivre à la cour de France. Il y côtoie le roi et les princes de maison royale qui sont de son âge. Il est l'un des objets du conflit qui oppose ses parents en désaccord sur le choix de sa religion, sa

et condamné à mort, enfin grâcié d'extrême justesse sur l'échafaud grâce à la relation privilégiée de Diane et du roi de France François Ier. Diane échappe aux conséquences de ce faux-pas paternel. Veuve à 32 ans, c'est une femme d'une grande culture et à la beauté épanouie. Elle s'occupe avec tendresse des fils du roi François 1er.Le deuxième, Henri d'Orléans, a connu la captivité à Madrid et en a gardé une grande mélancolie. Il trouve du réconfort auprès de cette femme supérieure et de dix-neuf

et incorporel) : personne n’a le droit de vendre des terres appartenant au domaine royale. - Les apanages : sont des terres issues du domaine royale que le roi donne à un prince mais qui reviennent à la couronne à la mort de celui ci.( le duché d’Orléans est souvent donné en apanage au fils cadet du roi). Pratique répandue au moyen-âge. - Les grands fiefs : sont des territoires appartenant à de grands seigneurs ayant prêtés hommage au roi de France. Ils possèdent leurs propres terres et sont indépendant

Philippe V en 1322, n’ayant que des filles c’est son frère Charles IV qui lui succéda sans contestation. Puis à la mort de Louis XII en 1515, nul ne songera à ses filles, et encore à la mort de François II en 1560, la couronne passant à ses frères Charles IX puis Henri III. b. La seconde étape : l’exclusion des parents par les femmes. Les principes de masculinité et de collatéralité se sont affinés plus encore à la mort de Charles IV, qui lui aussi n’avaient que des filles. Trois prétendants

[modifier]Les causes du conflit [modifier]Le pouvoir royal en décroissance Ces troubles coïncident avec un affaiblissement de l’autorité royale. Les rois François Ier et Henri II n'ont permis aucune contestation de leur pouvoir. Lorsque Henri II meurt accidentellement le 10 juillet 1559, ses successeurs François II puis Charles IX sont trop jeunes pour pouvoir imposer leur autorité. Ils ne peuvent pas empêcher les Français de s'entredéchirer. Entre les deux camps belligérants, la reine-mèreCatherine

classique (Ve et IVe siècles av. J.-C.), Platon puis Aristote utilisent également l’adage « Qui se ressemble s’assemble », précisant ironiquement « geai contre geai » (le geai est un célèbre prédateur de nids, connu aussi pour ses cris stridents). Au Ier siècle av. J.-C., Cicéron emploie lui aussi cette formule dans un sens pessimiste : « J’ai souvent entendu les plaintes de mes contemporains – suivant un vieux proverbe, on s’assemble volontiers quand on se ressemble –, des personnages consulaires tels