Charles III le Simple

du XIIème siècle, l’interdépendance entre l’hommage vassalique et la concession du fief est définitivement acquise. Les juristes vont formaliser les règles régissant le lien féodo-vassalique. Souvent ce fief est une terre mais peut aussi être un simple revenu foncier. A la fin de ce siècle, des rentes monétaires sans assise foncière seront concédées comme fiefs-rentes. Enfin, on relève l’existence de fiefs-fonctions. C’est la concession de fonctions publiques d’agent local. B : la concession

une notion qui deviendra commune à tous au XIXe siècle : lorsque l’on vit en France, on doit parler français. A la mort du dernier Capétien direct, Charles IV, les barons choisirent pour lui succéder son cousin Philippe de Valois, certes parce qu’il les avait corrompus, mais indéniablement aussi parce qu’ils refusaient viscéralement d’obéir à Edouard III d’Angleterre, pourtant neveu du défunt, parce qu’il comprenait mal la langue de Paris. Prenant acte de ceci, Philippe de Valois devenu Philippe VI

partie de l’ancien Royaume Franc. Son fils, Charles Martel, se rendit indispensable en mettant fin, à Poitiers, en 732, aux "razzias" des arabes (déjà installés en Espagne   751 * Pépin convoque à Soissons l’assemblée des Francs et se fait élire roi. Les Carolingiens (751-987)   755-756 * Pépin part en expédition en Italie contre les Lombards, les ennemis du pape, et leur prend 22 villes.   768 * décès de Pépin le Bref(715-768) (Le fils de Charles Martel) , * Pépin le Bref, avec l’appui

mérovingien s’appelle Childéric III. On ne sait pas qui est son père, on ne sait pas qui est sa mère, on ne sait même pas quand il est né et, de toute façon, il s’appelait peutêtre Childéric II. Place à Charlemagne ! Place à l’an 800. Voyezvous, sur la côte, son phare rouge percer le brouillard ? 22 Charles Martel C’est aller un peu vite que commencer la nouvelle lignée, dite carolingienne, par l’empereur Charlemagne. Intéressons-nous d’abord à son grand-père, Charles Martel. Et à son père, Pépin

de guerre et de paix, mais également du droit d'imposer. Au Moyen Age, le roi a du réunir les états généraux pour établir sa fiscalité sur tout le royaume. Cela n'est plus nécessaire et c'est ainsi qu'aux 17 et 18è des impôts furent établit par la simple autorité du roi. La royauté dirige la vie économique dans une large mesure. Section II: La subordination de la société I- La noblesse et la cour La royauté a permis de mettre au pas une noblesse qui a souvent été indocile et turbulente. Dans

une grande régularité tous les vingt ans. Deux empires (le premier Empire 1804-1814 et le second Empire 1851-1870), deux restaurations ( la première Restauration 1814-1815 et la seconde Restauration -avec ses 3 monarchies- Louis XVIII 1815-1824, Charles X 1824-1830, Louis-Philippe 1830-1848), deux républiques (la seconde République 1848-1851 et la troisième République 1870) et trois révolutions (la Révolution de Juillet en 1830 et celles de 1848 et 1870. Cette liste récapitule un siècle de vives

la défaite française ramène en Italie les anciens souverains. L'Autriche domine une grande partie du nord de la péninsule. L'empereur d'Autriche est souverain du royaume lombard-vénitien, François IV de Habsbourg redevient duc de Modène et Ferdinand III de Habsbourg grand-duc de Toscane. Le duché de Parme est donné à l'archiduchesse Marie-Louise, deuxième épouse de Napoléon Ier. Des garnisons autrichiennes sont installées dans le nord, et des Légations dans les États pontificaux. Les Bourbons retrouvent

comme il continuera jusqu’en 1914. Ne pas oublier non plus que la transformation a été pensée par Napoléon III et que le Baron Haussmann n’arrive sur le chantier qu’en 1853. 2 Le Paris de Napoléon III La signature est haussmannienne mais la volonté est impériale. Volonté qui a plusieurs visages :  Symbole Politique : Voir par la capitale transformée le triomphe de son régime. Napoléon III veut faire de Paris la capitale des capitales. Politique libérale totalitaire. .  Symbole totalitaire :

et les conseils de justice et d’administration, dans lesquels on retrouve le Conseil d’Etat, le Conseil privé ou des Parties et le Conseil des Finances.[5] Le Grand conseil et le Conseil du roi ne se fixeront à Paris seulement sous le règne d’Henri III. Avant cela, ils suivent le roi dans ses déplacements. Parallèlement au Conseil du roi, les cours souveraines évoluent et connaissent elles-aussi des scissions. On distingue bientôt le Parlement de Paris, qui est la Cour souveraine la plus ancienne

Introduction : Charles Loyseau, nait en 1566 à Nogent-le-Roi (près de Chartres) et meurt en 1627 à Paris. Il est jurisconsulte. Il écrit le Livre des ordres et simples dignités en 1610. C’est un traité dans lequel il analyse la de l’Ancien Régime, il décrit plus particulièrement la séparation des 3 ordres. Il affirme que chaque ordre est divisé en plusieurs catégories. L’auteur soutient que l’ordre est possible qu’à travers une hiérarchie : c’est-à-dire que certains doivent commander, tandis