Charognard

os. Elle reçut quand même les cinq œufs, mais ne les utilisa pas rationnellement, et cassa au lieu de la première, mais la dernière et fut-elle dévorée par les fauves, et seul son cœur fut épargné car les animaux n’en voulait pas et même Tann-le-Charognard s’en saisi, et le laissa tomber dans le village « en chantant ironiquement ». "Khalé ba démone Guédjou Danyane Khol ba n’gué é é é". c. La situation finale Binta rentre triomphalement avec ses récompenses : Elle arriva au village avec

immédiate par l’exhalaison morbide. La campagne sent “l’urine des sangliers, la senteur tièdement ambrée des bouses, la terre pourrie des feuilles” (1), et les paysans offrent des trognes aux appendices nasaux monstrueux habitués aux émanations charognardes. La ville, dans ce qu’elle révèle de l’humaine condition, n’échappe pas au délétère. Les maisons hument “l’eau des tombes, la senteur de vieux bois, de plâtre mou, de filasse humide et de cave” (1), la cuisine fleure “la viande qui putride” ou

[pic] Titre : couple de Vautour fauve lors de croisement (Source : yvon.toupin.oiseaux.net/vautour.fauve.1.html ) II-3-Alimentation Le vautour fauve est classé parmi les charognards. C'est, officiellement, un nécrophage strict, c'est à dire qu'il se nourrit exclusivement de cadavres. La littérature scientifique officielle nous dit que " sa morphologie et ses grosses pattes de poule inaptes à la préhension le rendent incapable

la carcasse d'un animal mort récemment ou non, dans un état plus ou moins avancé de décomposition. Le terme est plus ou moins synonyme de cadavre : le terme, utilisé pour décrire un cadavre humain, est déjà une provocation. Qui dit charogne dit charognards mentionnés aux vers 17-24.  ❖ Synesthésie macabre : vue, odeur, ouïe (v.25)goût (v.10), toucher (v.21) et éléments naturels (le soleil, la nature, la terre, l’eau) participent de cette décomposition ❖ Apostrophe femme aimée : présent

cruauté : il veut faire mal moralement à Hector sachant l’importance qu’il accorde au salut de son âme, il compare le sort réservé à Patrocle qui recevra « les honneurs funèbres », à l’inverse Hector sera mangé comme un vulgaire animal, dévoré par les charognards « les chiens et les oiseaux te déchireront honteusement » l.42.Hector occupe ses derniers instants à sauver son honneur mais pas seulement le sien, celui de ses parents « mon père et ma mère » qu’il présente comme « vénérables » l.45 cad qui méritent

Première strophe : « le vol noir » fait référence aux stukas (avion de guerre allemand) et « noir » à l’uniforme SS. « Les corbeaux » sont les soldats allemands qui pillent le pays et vivent sur le dos des Français, ils sont donc décrits comme des charognards. « Les cris sourds » soulignent la répression sur les opposants et résistants (« le parti communiste » en est l’une des premières victimes, il devient d’ailleurs le parti des fusillés). « Le pays qu’on enchaîne » nous montre la volonté d’écraser

le cadavre en putréfaction et en dessous dans la terre. Ce travail est confié à des entomologistes qui vont déterminer l'espèce à laquelle appartiennent les insectes et ainsi savoir depuis quand la victime est décédée, sachant que les insectes charognards n'arrivent pas tous au même moment sur le cadavre en fonction de leur espèce. En effet, les mouches arrivent en début de putréfaction, puis il y a certains papillons qui arrivent et enfin des coléoptères. Les larves récoltées vont être mises en

travers ses pages pourquoi elle ne pourra pas répondre. "J'aurais [...] honte de sentir tout au fond de moi, sous ma façade de self-control, un si vivace et si vain appétit de SAVOIR, de sentir se réveiller le petit moi à l'affût, impudique petit charognard prêt à suçoter les débris de ce qu'ils furent." (p. 144) Au début du chapitre, elle évoque aussi un homme plus âgé et amoureux qui avait essayé de la convaincre de parler de ses parents, estimant (lui qui avait fait une analyse) que taire le passé

organique de plantes ou d'animaux morts, il y a des dizaines de millions d'années. Quand un organisme vivant meurt à la surface de la Terre, la matière qui le compose est généralement recyclée de deux manières différentes :    • des prédateurs, des charognards ou des bactéries s'en nourrissent ; • exposée à l'air ambiant, la matière restante s'oxyde : les atomes d'hydrogène et de carbone qu'elle contient se combinent avec les atomes d'oxygène présents dans l'air. Ainsi, la matière organique se change

depuis la « crypte », le souvenir réponde à « l’appel », et que son écho parvienne jusqu’à celui qui l’a lancé. Or, La singularité et le trouble de cette situation a retardé le renflouement du souvenir. L’intrusion des cris de hyènes, animaux charognards, compagnons de la Mort, sont comme une interjection mal à propos au milieu de la prière, perturbant, par un « sursaut », la bonne marche de la logorrhée. Les rires des hyènes, comme des appels avortés, sans écho, atroces exagérations, comme l’obstination