Château de Vizille

le type du caractère dauphinois, brave, fin, et jamais dupe. Beyle tient fort à ce dernier trait qui est, à lui, sa prétention: "Lesdiguières, ce fin renard, dit-il, comme l'appelait le duc de Savoie, habitait ordinairement Vizille, et y bâtit 71 DE L'AMOUR un château... Au-dessus de la porte principale, on voit sa statue équestre en bronze; c'est un bas-relief. De loin, les portraits de Lesdiguières ressemblent à ceux de Louis XIII; mais, en approchant, la figure belle et vide du faible

centre de pouvoir, la seigneurie. Cette seigneurie va devenir de plus en plus importante à partir de l’an 1000. L’apparition de ces seigneuries va bouleverser l’exercice du pouvoir politique. Ces seigneuries ont un symbole, elles s’incarnent dans le château. Cette seigneurie va se fonder en droit sur l’exercice de coutumes : les CONSUETUDINES.Paragraphe 1 : La naissance de la seigneurie La seigneurie peut prendre plusieurs formes : elle peut être foncière, banale ou ecclésiastique. L’apparition

renouvellement des idées et des formes. • Cartes : les principaux foyers de l’humanisme et de la Renaissance • Repères chronologiques : la Bible de Gutenberg (milieu du XVe siècle) • Documents : extraits d’oeuvres de Rabelais ; la Chapelle Sixtine ; un château de la Renaissance. BO 5e futur : « La Renaissance renouvelle les formes de l’expression artistique ; Bouleversements culturels : − la vie et l’oeuvre, d’un artiste ou d’un mécène de la Renaissance ou un lieu et ses oeuvres d’art ; − une carte des

applicable à tout transfert d'actions à titre onéreux ou gratuit ; qu'après la prise de contrôle par la Banque de Vizille de la société Cofiralp en janvier 1997 et en application d'une opération de scission réalisée le 30 juin 1997, la totalité du portefeuille des titres non cotés de la société Cofiralp, parmi lequel figuraient les actions de la société Atral, a été attribuée à la Banque de Vizille ; que la société Finatral, signataire du pacte d'actionnaires, a soutenu disposer du droit d'acquérir par préférence

exploitations. L’hiver 1789 est rigoureux, le prix du pain augmente, la famine arrive chez les pauvres. Il y a des réformes physiocratiques qui ont voulu libéraliser le commerce : les prix deviennent libres. Le peuple descend dans les rues, pille les château et accuses les nobles de spéculer sur le prix des matières premières. * crise du pouvoir d’achat §3 Tensions financières et déficit public * Le premier dérapage de la finance : la faillite de Law 1720. Pour relancer l’économie, la royauté

24 25 26 27 28 29 30 Musée du Louvre Tour Eiffel Château de Versailles Centre Pompidou Musée d’Orsay Cité des Sciences de la Villette * Museum national d’histoire naturelle Galeries nationales du Grand Palais Cimetière Américain d’Omaha Arc de Triomphe Musée du quai Branly Musée de l’Armée Merveille de l’abbaye Château et musée des Ducs de Bretagne Sainte-Chapelle Tour Montparnasse Château de Chenonceau Domaine départemental de Vizille Château de Chambord Panthéon Musée Rodin Musée de l’Orangerie

résistance, dans tout le royaume, fut considérable et violente (Toulouse, Dijon, Grenoble : journées des Tuiles – 7 juin 1788). Phénomène remarquable : l'alliance de l'aristocratie et de la bourgeoisie que symbolise l'assemblée qui siège au Château de Vizille (21/07/1788). Brienne capitule. Le 05/07/1788, il promet la réunion des États Généraux. Le 08/08/1788, il suspend la Cour Plénière et fixe la réunion des États Généraux au 01/05/1789. Il démissionne le 24/08/1789. Le Roi se résigne à rappeler

par Lamoignon est enregistrée par lit de justice. C’est à ce moment qu’à lieu à Grenoble la « journée des tuiles » qui prouve que la démarche de séduction du peuple est réussie ; le peuple vient prendre la défense des parlementaires. Fin juillet, à Vizille, les trois ordres du Dauphiné se réunissent spontanément qui réclament les Etats généraux. C’est ici le premier moment d’émancipation populaire et politique à l’égard de la royauté. Dès 1764, Voltaire regarde les événements. Il observe « tout

subitement, ils sont aux mains de nobles qui sont les descendants de l’aristocratie militaire du Xe siècle et qui disposent de leurs propres chevaliers. Il faut renoncer à l’idée de fortifications privées, érigées par usurpation. Celui qui bâtit un château doit être en mesure de faire entériner son érection par le prince et doit être plus ou moins dans sa clientèle. On reste dans le processus de négociations interne à la classe dirigeante. Il faut donc relativiser ce « choc châtelain », d’abord parce

« fief » provient de feodum, à l’origine du mot « féodal » ■ Ces hommes spécialisés dans l’art de la guerre forment la chevalerie dont les armures mais aussi les mentalités (la littérature courtoise) symbolisent la période médiévale. Autour du château, un système d’exploitation des terres est mis en place où les paysans sont au service du seigneur propriétaire des terres : c’est le système du servage. En échange de la protection seigneuriale, les serfs doivent exploiter les terres du seigneur et