Châtillon-Coligny

fut évacué en 1916 à cause d’une blessure (éclat d’obus). Il ne sera allé au front qu’en Avril 1915. Il meurt à 38 ans de la grippe espagnole. Avant d’aller à sa caserne il passe par la maison d’un ami à Nice. Là bas il y rencontre Louise de Coligny-Châtillon (Lou), une femme jeune, dynamique, libre, se battant pour son indépendance (division de l’héritage du père entre elle et sa mère) mais c’est également une femme mondaine, moderne pour l’époque assez libertine. Apollinaire en tombe rapidement

entre la modernité et la tradition, il s'agissait pour lui de suivre le mouvement du temps et non du passé ou du futur. Le recueil Poèmes à Lou est écrit en 1915 lors de la guerre. Il est le fruit d'une relation brève et ardente avec Louise de Coligny-Châtillon, une belle aristocrate rencontrée à Nice en 1914. Ce recueil est publié à titre posthume en 1955. L'amour et la guerre sont deux thèmes essentiels à sa vie, mais également au recueil. Henri Michaux est un écrivain, poète et peintre du 20ème

heureuse dans son village de Bourgogne. La fillette est particulièrement choyée par sa mère, qui la considère comme un « joyau tout en or ». Adolescente, Colette rencontre Henry Gauthier-Villard, dit « Willy », qu'elle épouse le 15 mai 1893 à Châtillon-Coligny. Willy est écrivain, auteur de romans populaires. Il introduit sa jeune épouse au sein des cercles littéraires et musicaux parisiens en vogue à l'époque. Dans son travail, il s'appuie surtout, et même un peu trop, sur ses collaborateurs. Willy

mais le conseil de révision ajourne sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 est acceptée, ce qui déclenche sa procédure de naturalisation. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomme Lou Affaibli par sa blessure, Guillaume Apollinaire meurt le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris alors que, dans les rues, les Parisiens

deuxième muse ➢ Accusé d’un vol de statuettes au Louvres, ce qui lui vaut de la prison (encore une de ses inspirations) ➢ 1914 : il s’engage dans la 1GM pour avoir la nationalité française. Il a une nouvelle muse/amante, Louise de Coligny-Châtillon, aristocrate hautaine à qui il dédie les Poèmes à Lou (1914-1915), recueil publié en 1947 ➢ Revient trépané de cette guerre et meurt en 1918 de la grippe espagnole ➢ Calligrammes parait en 1918 (mots enfilés, poème qui forme des dessins)

conseil de révision ajourna sa demande car il n'avait pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 fut acceptée, ce qui déclencha sa procédure de naturalisation[6]. Peu avant de s'engager, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomma Lou. Elle était divorcée et menait une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'épris d'elle et lui fit la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimula pas son attachement

En 1914, Apollinaire s’engage volontairement dans les troupes françaises. Il fait la rencontre à Nice de Louise de Coligny-Châtillon, qu’il surnomme Lou et qui devient sa maîtresse. Dans les tranchées il idéalise cette femme qu’il aime, lui écrit tous les jours des lettres et des poèmes… L’amour et la guerre y sont étroitement liés car ils sont alors l’essentiel de sa vie de poète. Les Poèmes à Lou, œuvre posthume (publiée pour la première fois en 1947 sous le titre Ombre de mon amour), ont été

mais le conseil de révision ajourne sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 est acceptée, ce qui lance sa procédure de naturalisation11. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à la Villa Baratier, dans les environs de Nice en septembre 1914 et la surnomme Lou. La comtesse est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprend d'elle et la courtise d'abord en vain. Puis quand sa demande

Amédée de et Foras, grand clerc eu matière voulait qu'on historique, l'un des plus savants gentils- hommes de France, François de Lorraine. attachât le DEDICACE. volume par une chaîne au piédestal de la stahie de ce Coligny, traître à son Dieu, à sa foi, à sa patrie, à son roi, à ses ancêtres. J'ai voulu faire aussi l'histoire de son rival, ce grand homme de guerre, ce grand homme d'honneur, dont Votre Altesse Royale a dit : " De quelque façon que Von juge la

les femmes qui ont traversé sa vie et avec lesquelles il entretiendra une riche correspondance. Ses relations amoureuse seront passionnées et souvent douloureuses : Annie Playden (Annie et la chanson du mal aimé), Marie Laurencin, Louise de Coligny-Châtillon (lettres à Lou), Madeleine Pagès, une jeune fille rencontrée dans un train pendant une permission et avec qui Apollinaire entretiendra une correspondance importante, Jacqueline Kolb (la jolie rousse) qu’il épousera en 1918, six mois avant de