Châtillon-Coligny

Angelica Kostrowicka, et de père inconnu, Guillaume Apollinaire, arrive à Monaco en 1887, puis poursuit des études aux lycées de Cannes et de Nice. Peu avant de s'engager dans l'armée française en décembre 1914, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, qu'il surnomme «Lou», rencontrée à Nice. Mais la jeune femme ne l'aimera jamais, ou du moins, pas comme il le voudrait; et si elle le rejoint au régiment pendant une semaine (il connaîtra dans ses bras un érotisme violent qui marquera à jamais

du recueil Poèmes à Lou. Un classique de la littérature poétique française. Publié par Gallimard en 1969 ce recueil de poèmes est écrit en 1915 alors qu'il affrontait la guerre derrière les tranchées françaises. Il rencontre sa Lou, Louise de Coligny- Châtillon, en Septembre 1914. Après le départ de Guillaume, ils vont s'écrire jusqu'en Janvier 1916. Une partie de ces lettres seront publiées en 1947 sous le titre Ombres de mon amour, puis en 1959 sous la titre Poèmes à Lou. Ce sont d'abord de simples

prononcé par Victor Hugo, son âme et son esprit d'écrivains l'auront accompagné jusqu'à sa mort. Le dernier poème présenté ici est celui de Guillaume Appolinaire, son titre est Poèmes à Lou, il date de 1915. Ce recueil fut pour pour Louise de Coligny-Châtillon, femme dont il était tomber amoureux juste avant de partir au front. Dans ce poème il lui déclare en quelques sorte sa flamme, lui explique que si il meurt au combat, il sera considéré comme un héros. Dans ce texte il parle d'un obus, qui, malheureusement

de Marinetti et à défendre bientôt la peinture « métaphysique » de De Chirico. Les «!Poèmes de la paix et de la guerre!»: Calligrammes Quand il s’engage en décembre 1914 pour la durée de la guerre, le poète vient de vivre avec Louise de Coligny-Châtillon, surnommée «!Lou!», une idylle amoureuse, qu’il exorcise par l’envoi de lettres du front à la bien-aimée. Il en publiera un petit nombre dans Calligrammes (1918), accompagnées de «!poèmes conversations!» et d’«!idéogrammes lyriques!» (les autres

BELLEY Collège Jeanne d'Arc BOURG-EN-BRESSE Collège Saint-Joseph BOURG-EN-BRESSE Collège Saint-Louis Saint-Pierre BOURG-EN-BRESSE Lycée professionnel privé Saint-Joseph BOURG-EN-BRESSE Lycée Saint-Pierre BOURG-EN-BRESSE Collège Saint-Charles CHATILLON SUR CHALARONNE Collège Saint-Louis DAGNEUX Collège Saint-Charles FEILLENS Collège Jeanne d'Arc GEX Lycée Jeanne d'Arc GEX Collège Saint-Pierre MARBOZ Collège Saint-Joseph MIRIBEL Lycée professionnel privé Saint-Joseph MIRIBEL Lycée Saint-Joseph

l'armée française, le conseil de révision refuse sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande sera acceptée, ce qui lancera la procédure de naturalisation. Juste avant de s'engager, il tombera amoureux de Louise de Coligny-Châtillon (Lou), rencontrée en septembre 1914 à Nice, comtesse divorcée, qui mène une vie très libre acceptera ses avances et ira le rejoindre tout une semaine à Nîmes avant son départ au front. Une correspondance naît alors de cette relation, au dos

artistique par « L’intransigeant » en 1914. Le 10 août, Apollinaire dépose une demande d'engagement volontaire assortie d'une demande de naturalisation, celle-ci sera provisoirement rejetée. En septembre, le poète commence à courtiser Louise de Coligny-Chatillon qu’il surnommera Lou. Le 4 décembre 1914, il souhaite s’engager dans la guerre, il signe alors son engagement pour la durée de la guerre à l’époque encore inconnue. Deux jours plus tard, il atterrit au 38ème Régiment d’artillerie de Campagne

mais le conseil de révision ajourne sa demande car il n'a pas la nationalité française. Sa seconde demande en décembre 1914 est acceptée, ce qui lance sa procédure de naturalisation11. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à la Villa Baratier, dans les environs de Nice enseptembre 1914 et la surnomme Lou. La comtesse est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprend d'elle et la courtise d'abord en vain. Puis quand sa demande d'engagement

comme nous l'avons déjà vu, sur la couleur du ciel de nuit, emblème du rêve et de la face cachée de la réalité que révèle ce dernier. La courbe de la trajectoire des obus lui rappelle le corps de la femme aimée, sans doute Lou, Louise de Coligny-Châtillon. C'est d'abord l'éclatement de deux obus qui le fait penser aux seins de sa maîtresse : l'image est étrange, au bord du délire semble-t-il. Mais il est deux éléments qu'il faut garder en mémoire. Le premier est que le bombardement agit puissamment

combat et défendre sa patrie d’élection. Avant de partir au front il rencontre une jeune femme qui se passionne pour l’art et qui a un tempérament un peu sauvage. Il va lui destiner de nombreux poèmes intitulés «Lou». Cette relation avec Louise Coligny-Châtillon ne durera pas longtemps. Puis il rencontre Madeleine Pagès, une relation d’une année. Ce sont de brèves idylles qui l’ont quand même inspiré. Sa carrière militaire : Il est incorporé à l’artillerie, où les soldats s’occupent des canons. Ici