Châtillon-Coligny

Poèmes à Lou. Parmi ceux-ci, « Adieux » est le plus poignant, marquant de tous. Ce poème a été, comme tous ceux destinés à Lou, rédigé alors qu’il combattait au front lors de la première guerre mondiale. Lou qui de son vrai nom est Louise de Coligny-Châtillon, était un des amours d’Apollinaire. Lorsqu’il écrivait ses lettres dans les tranchées, il oubliait ce qu’il vivait au front et tous les moments difficiles auquel il était confronté en permanence. En lisant ce poème on a l’impression que c’est

l’impression d’être au Far West (lui donne l’impression de combats entre cow boys et indiens).Il trouve un caractère esthétique à la guerre : ébloui par les prouesses techniques.Il rencontre, au moment de sa mobilisation pour la guerre, Louise de Coligny-Châtillon avec qui il aura une brève liaison (elle rompt et laisse Apollinaire momentanément désespéré). Elle lui inspire à l’époque de nombreux poèmes qui sont écrits au dos des lettres que le poète envoyait à Lou. Elles ont été réunies dans un recueil

Au début de la guerre en 1914, il fait une demande, en tant que citoyen russe, pour être incorporé dans l'armée française. Il sera finalement affecté en décembre dans l'artillerie. Entre-temps, il tombe amoureux en septembre 1914 de Louise de Coligny-Chatillon surnommée Lou. Mais la jeune femme rompt rapidement cette liaison. Il rencontre Madeleine Pagès en 1915 avec qui il se fiance. Mais en 1916, Apollinaire, est blessé par un éclat d'obus au niveau de la tête. Affaibli par sa blessure, il doit être

(images sacrés) et prêtres (toute la quincaillerie papiste). B) Révolte nobiliaire De grands lignages se sont ralliés aux réformes. Ex : les Bourbons (Henri IV). Et Antoine de Condé sera chef des protestants en 1562. Famille des Châtillon (avec l’Amiral de Coligny), bien que dedans certains soient encore catho (modérés, les Montmorency). Les Guise : princes étrangers (branche cadette des ducs de Lorraine). Duc François de Guise (le + grand chef de guerre du XVIè), et le plus grand cardinal du

né le 26 aout 1880 est un auteur français de nouvelles et de poésie il est aussi l'inventeur du calligramme. Au début de la guerre de 14, Guillaume Apollinaire fait une demande d'engagement restée sans suite. Apollinaire rencontre Louise de Coligny-Chatillon (celle qui sera Lou dans son oeuvre "Calligrammes"). Elle le rejette. Il tente de nouveau une démarche pour s'engager. Fructueuse cette fois, le 5 décembre 1914 il rejoint les casernements du 38e d'artillerie de campagne situés route d'Uzès à

mobilisation générale est décrétée. Guillaume toujours pas naturalisé français (il est italien et russe selon ses documents officiels ) voit sa demande d’engagement rejetée jusqu’au 5 décembre. Acceptée à Nice, il part à Nîmes où Lou (Louise de Coligny Châtillon) le rejoint. Nouvel amour de courte durée. 1915 – 2 décembre Madeleine rencontre Guillaume dans un train allant de Nice à Marseille. Admis élève officier de réserve, il part en Champagne nommé brigadier. Apollinaire s’éloigne peu à peu de Lou

Albert Włodzimierz Apolinary et sera naturalisé Français en 1916. Il serait né d’après sa fiche militaire le 28 août 1880 et serait mort pour la France en novembre 1918. Il s’engagea dans l’armée un peu après être tombé amoureux de Louise de Coligny-Châtillon Peu. Il fut envoyé à Nimes puis partit au front d’où il créa une correspondance avec son amour. C’est au dos des lettres qu’il écrivit ce poème. Le 2 janvier 1915, il fit la connaissance de Madeleine Pagès dans un train. Il se fiança à Madeleine

Rousseau, se En 1913, il publie Alcools, somme de son travail poétique depuis 1898. Il s’engage dans l'armée française en décembre 1914 , ce qui déclenche sa procédure de naturalisation[]. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomme Lou. Elle est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprend d'elle et lui fait la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimule pas son attachement pour

Rousseau, se En 1913, il publie Alcools, somme de son travail poétique depuis 1898. Il s’engage dans l'armée française en décembre 1914 , ce qui déclenche sa procédure de naturalisation[]. Peu avant de s'engager, il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon, rencontrée à Nice en septembre 1914, qu'il surnomme Lou. Elle est divorcée et mène une vie très libre. Guillaume Apollinaire s'éprend d'elle et lui fait la cour. Elle finit par accepter ses avances mais ne lui dissimule pas son attachement pour

livre. Bien que dédié à la reine de Navarre, ce livre fut également condamné. Rabelais s’enfuit à Metz et y devient médecin de la ville, puis part de nouveau en Italie avec le cardinal du Bellay. Il dédie le Quart livre à un autre cardinal, Odet de Chatillon. Il a alors deux cures où, d’ailleurs, il ne réside pas, dont celle de Meudon. Mais le Quart livre est condamné par le Sorbonne et poursuivi par le Parlement. Cependant, on obtint que l’arrêt ne soit pas exécuté. On perd ensuite trace de Rabelais