Châtillon-Coligny

petite église, ce qui favorise a un retour à l’indépendance. De même la reforme se repend dans la bourgeoisie des villes. La reforme gagne même les princes du sang. Antoine de bourbon, roi de navar et sa femme, Louis de Condé son neveu, l’amiral de Coligny passent a la reforme ce qui favorise la progression du protestantisme. 2 camps se forment. Henry 2 vient au parlement pour tenir une séance solennel pour aider le parlement a lutter contre cette hérésie. L’un des conseillers au parlements Anne du

alphabétisés des les villes universitaires comme Bourges et Poitiers. Il n’y a cependant pas de schématisation possible. Aristocratie et calvinisme sont très fortement liés. A partir de 1550, grands lignages nobiliaires proches du roi (Bourbons, Condés, Châtillon) sont séduits. Les conversions de grands seigneurs sont lourdes de conséquences, car beaucoup de gens se convertissent à leur suite. Le désarroi des guerres d’Italie, la faiblesse des pensions accordées par le roi, constituent des causes de l’adhésion

qu’il ne leur prêtait sans doute pas lui-même. C’est particulièrement dans sa dernière publication, Le Quart Livre. La lettre-préface au cardinal de Châtillon, entraîné au reste presque malgré lui quelques années plus tard dans le camp de la Réforme par le choix confessionnel de ses frères, François d’Andelot dès 1555, et l’amiral Gaspard de Coligny en 1557, l’exprime clairement. Et Rabelais croit même nécessaire désormais de clore son ouvrage par un lexique, dans lequel il explicite à l’intention

les Anglais de Marie Tudor et le duc de Savoie. Cette fois, l'ennemi délaissa Metz et entra en France par la frontière des Pays-Bas, la grande route de l'invasion. Le duc de Savoie, par une marche rapide, arriva jusqu'à Saint-Quentin que défendait Coligny. Une tentative du connétable de Montmorency pour débloquer la ville fut malheureuse : l'armée française fut écrasée, la route de Paris était ouverte. Seule, à ce moment, l'hésitation de Philippe II, sa crainte de compromettre le fruit d'une campagne

les Anglais de Marie Tudor et le duc de Savoie. Cette fois, l'ennemi délaissa Metz et entra en France par la frontière des Pays-Bas, la grande route de l'invasion. Le duc de Savoie, par une marche rapide, arriva jusqu'à Saint-Quentin que défendait Coligny. Une tentative du connétable de Montmorency pour débloquer la ville fut malheureuse : l'armée française fut écrasée, la route de Paris était ouverte. Seule, à ce moment, l'hésitation de Philippe II, sa crainte de compromettre le fruit d'une campagne

(la perte de la maison fut pour la petite Sidonie Gabrielle l’exclusion du paradis, la fin de l’enfance heureuse ; mais elle ne fut mise en vente qu'en 1925, les acquéreurs lui en laissant alors l'usufruit jusqu'en 1950) pour Châtillon-sur-Loing (actuellement Châtillon-Coligny, dans le Loiret), chez Achille, qui venait d'y installer son cabinet de médecin. Ce début de ruine provoqua aussi la brouille des parents avec Juliette, l'aînée, qui s'était mariée en 1885 et qui ne supporta pas de voir ainsi

Rouveyre au moment où la guerre fut déclarée, la mobilisation générale décrétée. Lui, qui était citoyen russe, fit sa demande de naturalisation française pour être incorporé dans l'armée française. En septembre, il tomba amoureux de Louise de Coligny-Chatillon, qu’il surnommait Lou et avec laquelle il eut une liaison très sensuelle. En décembre, il fut affecté au trente-huitième régiment d'artillerie de campagne, à Nîmes. Lou l'y rejoignit le lendemain. Il la couvrit de poèmes sublimes : _______

Dans un manifeste L’Antitradition futuriste, Apollinaire indique les voies que la poésie de l’avenir devra explorer. En décembre 1914  Apollinaire s’engage pour la durée de la guerre ; deux mois auparavant il a rencontré Lou Louise de Coligny-Chatillon à laquelle il consacrera des poèmes d’amour : Poèmes à Lou. Il fut blessé d´un éclat d´obus à la tête en 1916 ; trépanation, hôpitaux ; néanmoins, il publie le Poète assassiné et prépare l’édition de ses Calligrammes. Atteint par l’épidémie

rencontre un nouvel amour. Dans une fumerie d’opium, il fait la connaissance de Louise de Coligny-Châtillon, surnommée Lou, avec qui il vit une liaison aussi brève que violente. En d’autres termes, il s’éprend très vite de cette femme dont le génie indépendant et fantasque lui fait subir un « jeu cruel d’avance et de refus ».88 La décision d’Apollinaire d’aller à la guerre fléchit Mlle de Coligny-Châtillon qui a été indifférente à sa cour. Elle décide de rejoindre à Nîmes le poète qui s’y trouve

dans le 96e régiment d’infanterie avec le grade de sous-lieutenant. Blessé à la tête par un éclat d’obus, le poète mesure vite les réalités de la guerre en tant que soldat d’infanterie. Puis, au mois de septembre il tombe amoureux de Louise de Coligny-Châtillon qu’il surnomme lui-même « Lou » à qui il dédie des poèmes comme « je pense à toi ». Heureusement pour l’auteur, elle qui finit par accepter ses avances, est une femme amoureuse, passionnée qui lui inspire d’importants poèmes (Poèmes à Lou). La