Chatiment De Tartuffe

On adopte un plan dialectique. I. Le poète s'engage A. La poésie : une arme ex : liberté, Paul Eluard B. Utilisation de genres variés (la fable par exemple,) ou de registres très divers (pathétique, satirique, polémique dans les Châtiments de V. Hugo). II. Mais il reste un artiste avant tout A. L'écriture poétique, une écriture particulière. C'est ce qui donne la force à l'engagement. Durant le Seconde Guerre Mondiale, on assiste à un retour à une tradition esthétique

que celle d’Elvire. Elle le coupe au milieu de sa belle tirade par une insulte sans équivoque : « Ah scélérat ! ». Dom Juan semble échoué dans sa tentative et pourtant il a utilisé le moyen le plus adapté a la circonstance. Elvire à desceller le Tartuffe II) Elvire : un personnage émouvant : le registre sérieux 1) Un récit romanesque La première tirade d’Elvire nous montre une femme blessée qui raconte ses malheurs. La narration fait intervenir du romanesque, comme un départ précipité, une

chauve. –Molière, Le Bourgeois gentilhomme ; l'Avare ; Tartuffe (à lire en priorité pour les 1° ES) ; le Malade imaginaire ; Dom Juan ; Le Misanthrope. –Musset, On ne badine pas avec l'amour. –Racine, Andromaque ; Britannicus ; Phèdre. –Sartre, Huis- clos. –Shakespeare, Roméo et Juliette; Hamlet; Macbeth; Othello. * Poésie * –Apollinaire, Alcools ; Calligrammes ; Poèmes à Lou. –Baudelaire, Les Fleurs du Mal. –Hugo, Les Contemplations ; Les Châtiments. –La Fontaine, Fables. –Verlaine, Poèmes saturniens

Ophélie ! Il a pourtant eu la tentation de tuer son beau-père (III, 3) et sa mère (III, 4). Ø En ce sens, Shakespeare et Musset s’écartent de la tragédie antique et du drame médiéval qui présentaient un enchaînement logique du crime au châtiment. La vengeance s’accomplit dans les deux cas de façon imprévisible. Les différences : Ø Hamlet se termine par un bain de sang purificateur et Hamlet meurt réconcilié avec lui-même après avoir vengé son père et donné sa voix de roi à Fortimbras

conduite puisque il fera détruire toutes les caricatures contre son règne. Au XVIIe siècle, les principaux sujets de caricature sont la bourgeoisie et les mœurs. Molière a d’ailleurs fait des caricatures, mais par texte, avec par exemple sa comédie Tartuffe, appelée « comédie de mœurs » , qui est censurée par la Reine Mère. Ce siècle est également marqué par La Fontaine et ses Fables qui caricaturent des personnes par des animaux, ce qui lui assure une sécurité contre la censure, car à cette époque

metteur en scène et sa vision de la scène. Le dénouement de Dom Juan peut être vu sous une forme comique, la mort du personnage devenant donc une bouffonnerie ou alors être une vraie tragédie avec un aspect dramatique où l’on a l’impression d’un vrai châtiment divin avec des flammes, les cris de douleur de Dom Juan, le tonnerre menaçant… la manière dont le metteur en scène se représente la scène conditionnera donc la représentation qu’il en donnera. De la même manière, dans Aulularia de Plaute, nous pouvons

l’ombre et de la lumière: l’opposition entre le bien et le mal, entre la pureté et le péché, donc incarne l’opposition. CONFESSION Synthèse: Dans la ville d'Athène, Phèdre est tombée amoureuse d’Hippolyte, qui est le fils de son mari. Elle y voit un châtiment (punizione) de Vénus qu’elle supplie par des voeux, en vain. Elle fait semblant de vouloir l’exit du jeune homme. Mais son mari l’a amenée à Trézène où elle retrouve Hippolyte. La seule solution qu’elle a trouvée pour vaincre son amour est la mort

seconde caractéristique du mythe de Dom Juan, l'antisocial. 3) Molière utilise un comique de geste à la scène un de l'acte III. Quand Dom Juan veut mettre une gifle à Pierrot et que quand Sagnarelle s'interpose celui-ci prend la gifle. Comme dans Tartuffe, il veut faire passer un message. Celui de se méfier des hommes que dernière des belles paroles peut se cacher un homme qui enchaîne conquête sur conquête. 4) Pour commencer, Dom Juan va d'aventures en aventures. Au début du l'acte I on apprend

l’absence de doute évoquent tous une violence faite par autrui : « je m’érigerai en censeur », « jugerai mal », « pousserai mes ennemis »  Avec l’expression hyperbolique : « haine irréconciliable » Un grand « seigneur méchant homme » Dom Juan en tartuffe. Des références aristocratiques : la classe, la guerre, mais méprise les hommes et leurs faiblesses dont il profite. Opportunisme et coté intéressé du libertin. A un lieu de sauver son âme, Dom Juan cherche à préserver ses « douces habitudes »

des femmes qui suscite la jalousie de ses rivaux et la colère des dévots. Ensuite dans Tartuffe il dénonce les faux dévots et tous ceux qui simulent la pitié pour satisfaire leurs ambitions personnelles. Les dévots font interdire la pièce comme ils feront interdire celle suivante Don Juan. Ces difficultés épuisent Molière qui sombre dans la tristesse et frôle la mort. En 1669, une troisième version de Tartuffe, enfin autorisée, obtient un succès triomphal, cependant Molière décide d'éviter les sujets