Chatterton Georges Sand

aussi peint beaucoup de portraits. Et on y voit un contraste entre la photo et le portrait de Delacroix. Un portrait à la romantique n’était pas fait pour exalter la beauté du personnage. C’était en fait la perception de l’artiste. Evidemment, George Sand n’a guère aimé la façon de Delacroix de l’avoir aperçue! Cet artiste a connu un grand essor dans son carrier quand il a été invité au Palais Bourbon pour décorer le Salon du roi. Les paroles sont insuffisantes pour décrire la beauté du salon

en 1835, à Leipzig, il rencontra Schumann qui tient ses œuvres en haute estime et qui a écrit des articles enthousiastes à son propos. Devenu professeur recherché, il continua simultanément son activité de compositeur. Sa liaison avec George Sand (de 1838 à 1847) arracha Frédéric Chopin à la vie parisienne (séjours à Nohant, Majorque). En 1848, il donna un dernier concert parisien chez Pleyel le 16 février et réalisa une dernière tournée en Angleterre et en Ecosse d'où il revint

poètes loin d’être désespérés, veulent exprimer leur joie de vivre et leur amour, éphémère ou éternel. Le registre lyrique est toujours présent mais les champs lexicaux sont portés sur le bonheur, l’amour, ou la tendresse. Comme le poème de « a George Sand » de Alfred de Musset ou il déclare son amour pour sa bien aimée mais encore ceux de Pablo Neruda dans son recueil « Centaine d’amour » son premier poème est porté sur un message adressé aux lecteurs et c’est celui de vivre sa vie sans avoir de

grande facture tels que Les Misérables (1862) de Victor Hugo, La Mare au Diable (1846) de George Sand. Il s’agit de prendre en compte les nouvelles données de la réalité socio-historique du demi-siècle. Les écrivains sont engagés et militants, et offrent les prémices d’une littérature populaire : le peuple entre dans le roman et c’est une réelle nouveauté. Ceci est un peu étonnant de la part de George Sand, qui professe le pacifisme, la solidarité des classes ou l’équité dans le partage des terres :

pour se laver des ses péchés. Les confessions de Rousseau sont d'avantage des confessions littéraires, et répondent aux accusations de Voltaire, L'auteur désire rectifier les images que ses ennemis ont de lui en écrivant le récit de son existence. George Sand, souhaite également donner une vision plus juste de ce qu'elle est dans son livre « Histoire de ma vie », elle souhaite rayer l'image que l'on a d'elle comme l'illustre la phrase « J'ai laissé publié sur mon compte un assez grand nombre de biographies

introduit dans le Cénacle d’Hugo et commence à écrire. En 1830 l’échec de La Nuit vénitienne l’incite à ne plus écrire pour la scène et à inventer le concept du « théâtre dans un fauteuil »; sa liaison houleuse avec Georges Sand à partir de 1833 le marque durablement.Musset part à Venise avec G. Sand. Il y tombe malade et découvre que sa bien aimée le trompe. Cette période trouble donne naissance aux plus grandes pièces : Lorenzaccio, Les Caprices de Marianne, Fantasio. Dans cette première scène, Musset nous

vari�t� de sentiments et relate aussi bien ses amours dans Namouna qu'un d�go�t de la d�bauche et un r�ve de puret� dans La Coupe et A quoi r�vent les jeunes filles. Il propose un Roman par lettres en 1833. Il a une relation d'amour explosive avec Georges Sand de 1833 � 1835. En sa compagnie, il montre des signes de faiblesse physique et mentale. Au cours d'un voyage en Italie il manque de mourir de la fi�vre. De plus en plus misogyne, il publie dans La Revue des Deux Mondes, les pi�ces Andr�a del Sarto

On ne badine pas avec l'amour, Alfred de Musset XIXe si�cle Th�me Au terme de ses �tudes, Perdican rentre au ch�teau paternel accompagn� de son gouverneur Ma�tre Blazius. Le m�me jour, escort�e de Dame Pluche, arrive aussi sa cousine Camille qui sort du couvent. C'est le Baron, p�re de Perdican qui a combin� cette rencontre : il veut marier ces enfants qui "s'aimaient" d'ailleurs fort tendrement d�s le berceau. La premi�re entrevue est plut�t d�cevante : Camille, tr�s r�serv�e, refuse d'embrasser

recueils poétique plus philosophique (Les Contemplations ; La légende des siècles ) - dans des récits, après occupation sociaux-politique (Les Misérables ; Quatre-Vingt-Treize ; L’homme qui rit) NB : + texte satirique contre Napoléon III George Sand, de son vrai nom aurore Dupin, elle commence à l’époque romantique par des romans d’aventure mais acquière à partir de 1840 la célébrité par des engagements politique et féministe ; des romans régionalistes (situés dans le Berry) ➢ La mare

de la majorité des Français. Tous les grands écrivains français de l'époque se montrèrent hostiles à la Commune, y compris ceux-là même qui montraient le plus de sympathie pour les idées patriotiques, républicaines et sociales, tels Victor Hugo, George Sand, Émile Zola et Anatole France.