Chevalier Double Sous Le Thème Double

de consacrer du temps à cette notion du programme de français, d’autant plus que parallèlement ceux de géographie et d’histoire invitent les élèves à observer et à décrire des paysages, des caricatures, des affiches politiques … J’ai retenu le thème de la peinture comme sujet d’étude car j’avais envie de donner une dimension esthétique à la première séquence de français et de travailler différemment avec les élèves (travail en groupes, au CDI). J’ai trouvé intéressant d’enrichir les textes par

fois synthétique, et thématique, de l’œuvre. C’est en 1731 que l’abbé Prévost publie Manon Lescaut, roman de mœurs qui appartient aux Mémoires et aventures d’un homme de qualité. L’œuvre, sous la forme d’un roman-mémoires, raconte comment un être originellement honnête et de bonne famille, le chevalier Des Grieux, est conduit à la déchéance par la passion qu’il éprouve pour une jeune fille complexe et volage, Manon Lescaut. L’histoire des deux amants, qui constitue la trame du roman, est

calligrammes], on peut aisé­ment dégager quelques modèles fondamentaux [.. ] D'abord, et en évidence, le cercle et la ligne.3 Il n'est pas étonnant que quelques-uns de ces cercles aient une valeur temporelle tout en suggérant l'image du cadran. Le thème du temps est, on le sait, omniprésent dans l'oeuvre d'Apollinaire; les nombreuses études se référant à ce sujet l'ont d'ailleurs montré 4. Mais le cercle comme image du temps apparaît aussi de façon implicite dans Calligrammes, à savoir par des indications

privilèges, est profondément contesté par les Lumières. Pour elles, on doit pouvoir observer les mérites personnels de chacun. D'autre-part, le système politique est tout autant la cible des critiques des Lumières. Pour elles ce système, qui consiste à être sous le régime de la monarchie absolue et héréditaire de droit divin, où le roi qui est le représentant de Dieu est la seul réincarnation du pouvoir, est tyrannique. Leur souhait serait une monarchie parlementaire, comme en Angleterre. Enfin, la religion

qu'il faut aller dormir ». L'éducation, c'est aussi se mettre en retrait. 1. Le Moyen-Âge. Un des grands livre d'amour est « Le Roman de la Rose » de Guillaume de Lorris. Il va lier plusieurs traditions, notamment avec la poésie arabe, pour le thème de l'amour, s'inspire du Sud de la France (amour destructeur). Dans ses textes, l'amoureux s'oppose au sage, voit sa raison vaciller. Au Moyen-Âge, l'amour est souvent une affaire d'adultère. Le mariage n'est pas synonyme d'amour. L'amour est lié à

même « rêvé » d'offrir un asile momentané au roi dans sa correspondance de 1791. Il percevait en effet la Révolution française comme la plus grande incarnation de Satan. C'est ainsi qu'on l'a soupçonné de coopération avec le complot royaliste des Chevaliers du Poignard et qu'il fut traduit devant le tribunal révolutionnaire. Sa sentence, la guillotine, fut prononcée par un illuminé martiniste... Après avoir échappé à cette première condamnation, Cazotte eut de nouvelles visions prophétiques au sujet

première d'un genre qui cherche avant tout à enchanter ses lecteurs, et à les projeter, en ayant recours à un langage imagé, dans un ailleurs poétique. I. La quête de l’ailleurs dans les contes romantiques allemands La quête d'un ailleurs sous-tend néanmoins de nombreux contes romantiques allemands qui projettent d'emblée le lecteur, par leur formule initiale, « Es war einmal »[3], dans un non-lieu et un non-temps[4]. Cette recherche d'un ailleurs est la réponse que les romantiques allemands

objectif d’explorer les différentes interprétations de l’œuf dans le domaine de la peinture, l’étude comporte l’utilisation de l’œuf comme symbole artistique à travers l’Histoire. Nous découvrirons différentes cultures et croyances liées à l’œuf dans le thème religieux, social, puis philosophique, tout en illustrant avec des tableaux de peintres qui ont su utiliser le potentiel artistique de ce symbole. Mots clés : peinture, œuf, symbole, interprétation, tableau. ABSTRACT: What are the main symbolic that

personnages sont nouveaux sur la scène, ont un statut particulier (paysan comme aristocrate). Enfin, ces deux romans vont choisir une forme particulière de roman très à la mode à cette époque : les romans-mémoires, se présentant sous forme d’un récit à la première personne. Ce sous-genre romanesque est ce qui va permettre l’affirmation de la singularité, de l’individu. Aussi bien Prévost que Marivaux choisissent ce genre qu’ils vont perfectionner par des techniques narratives qui seront reprises dans le

trois, elles tirent du fuseau le fil de la destinée humaine, l’enroule sur le rouet et, l’heure venue, le coupent de leurs ciseaux. Madame d’Aulnoy confirme la parenté de ses fées avec les Parques en faisant intervenir en de multiples endroits le thème du fuseau ou du fil. Dans la Princesse Printanière, les parents offrent aux fées, le jour de la naissance de leur enfant, des ciseaux d’or et un étui de fines aiguilles. A son mariage, ils leur enverront des rouets et des quenouilles. De même, la fée