Chevaliers de la Table ronde

Emmanuelle Baumgartner, in La légende arthurienne, Le Graal et la Table ronde, édition établie sous la direction de Danielle Régnier-Bohler, Paris, Laffont collections « Bouquins », 1989. • Robert de Boron, Le Roman de l’Histoire du Graal, traduction Alexandre Micha, Paris, Champion, 1995. • Perlevaus, Li Haut Livre du Graal (anonyme), traduction Christiane Marchello-Nizia, dans La Légende arthurienne, le Graal et la Table Ronde, Robert Laffont, collections Bouquins, 1989. • La Quête du

* Naam : P.J. van der Bent studentnummer : 0376264 datum: 22 maart 2006 * Sous la direction de Prof. dr. M.B. van Buuren. * Mémoire de fin d’études de langue et de culture françaises. * Université d’Utrecht, Faculté des lettres. Table des matières Pages

Arthur saisit une des boites de munition, déchirant le film plastique de ses dents, puis posant le petit et lourd carton sur la table. L'esprit ailleurs, il saisit le magasin sis à côté et commença à y introduire les morceaux de poudre et de métal poli. Parvenu à la trentième, il attrapa son fusil d'assaut soviétique et y enclencha le chargeur courbe, avant de l'armer dans un lourd claquement sonore. Il reposa doucement la merveille métallique, et s'autorisa un soupir. Il était fatigué. Cela faisait

principal des tournois, grands divertissements de l'époque, était la joute équestre. Un duel à cheval pendant lequel chaque cavalier essayait de désarçonner son adversaire à l'aide d'une lance. Les chevaliers pouvaient montrer ainsi leur dextérité à monter à cheval et à manier les armes mais de nombreux chevaliers y furent grièvement blessés ou même tués, malgré les précautions prises : lance sans pointe, règles, armures... Au moyen âge, on appréciait les jeux de société, les plus pratiqués étant

l'Homme a) Ils accomplissent des actes extraordinaires Accomplissant de nombreux exploits ce genre de personnages font souvent rêver et revêtent le caractère de légendes ; ils appartiennent au genre épique ex :! - Le roi Arthur et ses Chevaliers de la Table Ronde ET Robin des Bois appartenant tout les deux au légendes anglo-saxonnes ! - Aragorn (dans Le Seigneur des anneaux de J. R. R. Tolkien) qui incarne la lutte contre les forces du mal même au delà de tout espoir ! - Les super-héros de comics

contraste entre la sacralité de cet objet qui apparaît ici comme cité dans des textes religieux, et la destruction généralisée qu'il est réputé provoquer. La sainte Grenade d'Antioche est une relique que possède Frère Maynard et qu'il apporte aux chevaliers pour qu'ils puissent se débarrasser du lapin tueur qui garde la grotte de Caerbannog. Les instructions d'utilisation se trouvent dans le Livre des Armes (fictif), chapitre 2, versets 9 à 21 ; elles parodient notamment la Bible du roi Jacques et

Jean de La Fontaine Est un poète français de la période classique née le 8 juillet 1621 à Château-Thierry et mort le 13 avril 1695 à Paris. En 1642 il commence des études de droit et commence à fréquenter les chevaliers de la table ronde, où il rencontre Pellion, François Charpentier, Tallemant des Réaux et Antoine de Rambouillet de La Sablière. Il obtient par la suite un diplôme d’avocat au parlement de Paris en 1649. Il commence par la suite une carrière de poète avec la publication d’un premier

histoire de Lusignan. Morgane Morgane fille d’Ygerne (Ygraine) et du duc de cornouailles, et selon les légendes, Morgane est considérée comme l’ennemie du roi, de guenièvre et les chevalier de la table ronde. A la mort de son père elle fut élever par son beau-père Uther Pandragon. Elle fut mise très tôt aux Lettres et devint habile en toutes sciences, dans les 7 arts et surtout en ceux de la médecine, d’astronomie, de magie et d’ingromancie

controversés. Essentiellement, l’amour courtois est l’amour entre un amant, souvent un chevalier, et une femme noble qui teste son ardeur en échange pour sa faveur (Boase). Beaucoup d’historiens portent à croire que le terme « fin’amour », l’amour raffiné, comme un concept similaire (Verdon). Le terme moderne, « l’amour courtois », était popularisé par Gaston Paris en 1883 dans son article « Études sur les romans de la Table Ronde : Lancelot du Lac, II » (Boase). Quel que soit l’étymologie complexe, les idées

assiste à des enchainements de tableaux avec des actions loufoque, incongrue. Des personnages apparaissent que chacun peut interpréter à sa manière. Est-ce ces voisins qui tue l’ennuie des repas où les discours sont faux, convenu, en imaginant qu’un chevalier arrive, est-ce qu’on se trouve dans un asile ? Dans la réalité ? Est-ce que ce qu’on voit est le reflet des envi inconsciente refoulé des protagonistes ? En résumé les pistes sont brouillées. Impossible de poser une lecture intelligible pour ce spectacle