Chiens de prairie

degré mesurer la longueur, Pour ôter au peuple rimeur Ce beau nom de machine ronde, Que nos flasques auteurs, en chevillant leurs vers, Donnaient à l’aventure à ce plat univers. Les astres étonnés, dans leur oblique course, Le grand, le petit Chien, et le Cheval, et l’Ourse, Se disent l’un à l’autre, en langage des cieux : ” Certes, ces gens sont fous, ou ces gens sont les dieux. “ Et vous, Algarotti, vous, cygne de Padoue, Élève harmonieux du cygne de Mantoue, Vous allez donc aussi, sous

une évocation des étoiles, du ciel, de la nuit qui peuvent favoriser l'imaginaire. « Stupéfiants pareils aux fraiches fleurs des prairies » : l'auteur évoque ensuite les drogues. L'allitération en « f » donne une harmonie à l'expression, et permet, en plus du terme comparant «  pareils » de mettre sur le même plan les « stupéfiants » et les « fraiches fleurs des prairies ». Les stupéfiants altèrent la réalité puisqu'ils offrent une vision douce de la campagne, ce qui peut contraster avec le fait qu'Aragon

le narrateur intervient dans le récit tout en racontant l’histoire - « Il n’est pire compagnie que celle-là, pire tourment que sa présence obsédante » (l. 2-3) ; « on ne cesse pas d’avoir faim quand on a faim » (l. 3) ; - « Ils avaient nommé leur chien « Estula » : c’est une idée comme une autre ! » (l. 23-24). Pourquoi le narrateur ressent-il le besoin d’intervenir ainsi? Il intervient pour expliquer la situation à son auditoire et se moquer de certains personnages. Le cadre et les

ROQUE I     Le piéton Médéric Rompel, que les gens du pays appelaient familièrement Médéri, partit à l'heure ordinaire de la maison de poste de Roüy-le-Tors. Ayant traversé la petite ville de son grand pas d'ancien troupier, il coupa d'abord les prairies de Villaumes pour gagner le bord de la Brindille qui le conduisait, en suivant l'eau, au village de Carvelin, où commençait sa distribution.     Il allait vite, le long de l'étroite rivière qui moussait, grognait, bouillonnait et filait dans son

vérifier cela, Zadig se fait passer pour moi. Son épouse finit par se consoler dans les bras de son ami, Cador. III Zadig, les ennuques, le roi Zadig s’en va observer la nature. Il se retrouve au milieu d’une injustice, où il est accusé de décrire le chien de la reine et le cheval du roi. Zadig finit par ne payer qu’une simple amende grâce à un fructueux discours. IV Zadig, Arimaze Zadig fréquente des gens de la haute société comme des savants et se sent heureux. Arimaze, son voisin, est jaloux. Il

garde étourdie. (fatigué de poursuivre un chevreuil) et Colin. Ils finissent par échanger leurs rôles. Péripéties Ils « s’en vont dans les eaux qui couvrent le pays ». Colin part avec le chien Sultan sur les traces du chevreuil. Le chien repère le chevreuil, mais Colin manque la bête et blesse le chien. Colin revient à son pré, les vaches ont disparu. Colin cherche ses vaches sans les trouver. Retour à la maison paternelle. Appel au secours de Chloé. L’abeille se pose sur les lèvres de la

lecture) P. 16 2 A, B Tomek : un conte (après la lecture du livre) P. 17-18 3 Le rêve (après la lecture du livre) P. 19 4 Le mythe (après la lecture du livre) P. 20 5 A, B L’épicier du village (après le ch. III) P. 21-22 6 A, B La Forêt de l’Oubli et la prairie (après le ch. VII) P. 23-24 7 Le village des Parfumeurs (après le ch. XI) P. 25 8 A, B La traversée de l’Océan (après le ch. XIV) P. 26-27 9 A, B Découverte de la rivière Qjar (après le ch. XVII) P. 28-29 10 A, B, C De retour à la maison ((après le

et il n’est pas rare d’avoir 1 m de neige pendant plusieurs semaines pour le plus grand bénéfice du tourisme hivernal. Le bassin hydrographique se compose de nombreuses rivières prenant leurs sources soit en fagne, soit en forêt, soit encore en prairie. Elles se rassemblent dans ou en aval de 4 lacs artificiels. Au nord près d’Eupen : le barrage de la Vesdre avec une capacité de réserve en eau de 25 millions de m3, au nord-ouest le lac de la Gileppe (26 millions de m3), au sud-est le lac de Bütgenbach

quand on lui fait une piqûre. Zadig surtout ne se vantait pas de mépriser les femmes et de les subjuguer. Il était généreux ; il ne craignait point d'obliger des ingrats, suivant ce grand précepte de Zoroastre : Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent-ils te mordre. Il était aussi sage qu'on peut l'être, car il cherchait à vivre avec des sages. Instruit dans les sciences des anciens Chaldéens, il n'ignorait pas les principes physiques de la nature tels qu'on les connaissait alors, et savait

quand on lui fait une piqûre. Zadig surtout ne se vantait pas de mépriser les femmes et de les subjuguer. Il était généreux ; il ne craignait point d'obliger des ingrats, suivant ce grand précepte de Zoroastre : Quand tu manges, donne à manger aux chiens, dussent-ils te mordre. Il était aussi sage qu'on peut l'être, car il cherchait à vivre avec des sages. Instruit dans les sciences des anciens Chaldéens, il n'ignorait pas les principes physiques de la nature tels qu'on les connaissait alors, et savait