Chiens Perdus Sans Collier

Le Jeu de l’amour et d u ha s a rd , L’ É p r e u v e ; Beaumarchais : Le Barbier de Sévi&e, Le Mariage de Figaro ; Musset : Lorenzaccio ; Hugo : Ruy Blas ; Pirandello : Six personnages en quête d ’a uteur ; Koltès : Combat de nègre et de chiens, Le retour au désert ; Lagarce : Juste la fin du monde. • Invention : Discours d’un metteur en scène à sa troupe pour la représentation du Taruffe. Entraînement à la dissertation en classe : Le maître au théâtre reste-t-il toujours le maître

Marie-Sophie Laborieux raconte à l’auteur plus de cent cinquante ans d’histoire, d’épopée de la Martinique, depuis les sombres plantations esclavagistes jusqu’au drame contemporain de la conquête des villes. D’abord, les amours d’Esternome, le « nègre-chien » affranchi, avec la volage Ninon qui périt grillée dans l’explosion de la Montagne Pelée, puis avec Idoménée l’aveugle aux larmes de lumière, qui sera la mère de Marie-Sophie. Dans les temps modernes, Marie-So erre d’un maître à l’autre, au gré

cette plage; avant la nuit, notre bonne île d'Ithaque serait ici ! Plus besoin de vaisseaux, seulement un grand pas ! (Tous rient.) EURYLOQUE. Les pilotes connaissent-ils bien le chemin du retour ? POLITÈS. Mes croiseurs sont plus fidèles que mes chiens. Même sans un souffle de zéphyr, ils retrouveront leur port. ELPÉNOR. Et le désir de prendre nos femmes, de marcher sur nos dalles, d'embrasser nos fils, de reconnaître notre porte, ce désir-là nous guidera plus sûrement que le meilleur pilote.

matin… Va-t’en, lui disais-je, gueule de flic, gueule de vache, va-t’en je déteste les larbins de l’ordre et les hannetons de l’espérance. Va-t’en mauvais gris-gris, punaise de moinillon. Puis je me tournais vers des paradis pour lui et les siens perdus, plus calme que la face d’une femme qui ment, et là, bercé par les effluves d’une pensée jamais lasse je nourrissais le vent, je délaçais les montres et j’entendais monter de l’autre côté du désastre, un fleuve de tourterelles et de trèfles de la

craignais pas. Je décidai de l'associer à ma joie, de lui ouvrir les portes de mon univers. Il s'intéressa gravement à mes discours, allongea la patte pour toucher mon cabochon de verre taillé, regarda avec étonnement ma chaîne d'or. Je lui en fis un collier. Il se montra d'abord tout fier. Il essaya ensuite de l'arracher. Elle ne céda pas à ses coups de griffes. Il se mit en colère ; s'affola et partit en flèche, la queue hérissée, les yeux dilatés d'inquiétude. Je courus derrière lui pour récupérer

malheurs de l’homme. - Bien sur ! Dis-je, ne voulant pas la heurter. Puis brusquement elle me lance : Marc ne reviendra pas, il s’est approché de l’ombre. L’ombre l’a absorbé. Je ne peux rien pour lui. L’ombre est là, tout en bas ! Elle a un regard perdu. Jeudi 24 juin Mon attention est attirée par un titre et un petit article en quatrième page du quotidien : « Un inconnu a été retiré de la Saône, il a du séjourner longuement dans l’eau. » Je me précipite à l’institut médico-légal, sans en informer

POIL DE CAROTTE (1900) Table des matières Les Poules ..................................................................................5 Les Perdrix ............................................................................... 8 C’est le Chien ........................................................................... 11 Le Cauchemar.......................................................................... 13 Sauf votre Respect .........................................................

plais à mon entretien, je viens vers toi dans cette foule. Pardonne si je m'exprime avec moins de solennité : je crains bien de me faire huer par la compagnie ; mais le pathos dans ma bouche te ferait rire assurément, si depuis longtemps tu n'en avais perdu l'habitude. Je n'ai rien à dire du soleil et des sphères, mais je vois seulement combien les hommes se tourmentent. Le petit dieu du monde est encore de la même trempe et bizarre comme au premier jour. Il vivrait, je pense; plus convenablement, si

sur de le vouloir vraiment, peut-être faut il juste laisser la mémoire s’envoler pour retrouver la joie de vivre. La joie de vivre qu’il a perdue, un soir de décembre il y a huit ans dans les bourrasques de neige, sur le quai de la gare d’une lointaine ville de province, isolée au bout de la terre. Il tourne la tête vers le bout du quai. Un chien traverse les voies tranquillement, il n’y a personne, aucune activité, la ville est endormie dans la fournaise. Quelques papiers, des touffes d’herbe

entrées transgéniques, … omelette synthétique et … soda coloré. Classe entière • Classe les articles que tu as trouvés selon u ce e po qu’ils sont définis ou indéfinis. d p Un chien que je ne connais pas aboie. • Pourquoi n’a-t-on pas utilisé le même article article indéfini devant le nom guide ? Le chien de ma voisine aboie. • Lorsque tu emploies un article défini devant article défini les noms horizon et omelette, lequel choisis-tu ? Pourquoi ? • Observe les deux mots soulignés